L'un des affluents du Oued Sebou ..... C'est devenu un égout à ciel ouvert !!!!
Alertée, la Gendarmerie royale est à pied d’œuvre pour mesurer l’étendue des dégâts et analyser leurs effets. Cela étant, le mal est fait. Premières constatations.
La région est censée être un havre de paix, au micro-climat bienveillant et à la nature abondante, mais il est des signes qui ne trompent pas quant aux dangers environnementaux qui guettent le Maroc.
Exemple en est cette fois l’état déplorable des eaux de l’Oued Baht, qui traverse la ville et dont l’état de pollution est aujourd’hui des plus alarmants.
Dans son édition de vendredi 4 octobre, le quotidien Al Akhbar établit un constat inquiétant: des eaux stagnent à de nombreux points de l’oued, notamment au niveau du pont du boulevard de la Résistance et de l’avenue Hassan II, des rejets liquides émanant de l’abattoir municipal sont déversés directement dans le canal et sans le moindre traitement, et enfin des odeurs nauséabondes empestent tout au long du lit de cette rivière.
Résultat: une situation écologique qui n’a pas manqué d’impacter la population, notamment dans les quartiers de Khouribga, Oulad Ghazi, Slimania, Al Masjid, Ghamarine, Oulad Malek, Hajoura ou El Warka. A noter également que de nombreuses écoles et établissements scolaires se trouvent à proximité de l’oued.
fr.le360.ma
Alertée, la Gendarmerie royale est à pied d’œuvre pour mesurer l’étendue des dégâts et analyser leurs effets. Cela étant, le mal est fait. Premières constatations.
La région est censée être un havre de paix, au micro-climat bienveillant et à la nature abondante, mais il est des signes qui ne trompent pas quant aux dangers environnementaux qui guettent le Maroc.
Exemple en est cette fois l’état déplorable des eaux de l’Oued Baht, qui traverse la ville et dont l’état de pollution est aujourd’hui des plus alarmants.
Dans son édition de vendredi 4 octobre, le quotidien Al Akhbar établit un constat inquiétant: des eaux stagnent à de nombreux points de l’oued, notamment au niveau du pont du boulevard de la Résistance et de l’avenue Hassan II, des rejets liquides émanant de l’abattoir municipal sont déversés directement dans le canal et sans le moindre traitement, et enfin des odeurs nauséabondes empestent tout au long du lit de cette rivière.
Résultat: une situation écologique qui n’a pas manqué d’impacter la population, notamment dans les quartiers de Khouribga, Oulad Ghazi, Slimania, Al Masjid, Ghamarine, Oulad Malek, Hajoura ou El Warka. A noter également que de nombreuses écoles et établissements scolaires se trouvent à proximité de l’oued.

Scandale environnemental: à Sidi Slimane, l’oued Baht se meurt
Kiosque360. Alertée, la Gendarmerie royale est à pied d’œuvre pour mesurer l’étendue des dégâts et analyser leurs effets. Cela étant, le mal est fait. Premières constatations.
