Bonjour
La science « réfute-t-elle » le libre arbitre?
Dans des domaines comme la psychologie ou les neurosciences, on dirait que chaque année, il y a de nouvelles études qui montrent que les humains sont influencés inconsciemment par toutes sortes de variables, alors qu'auparavant, on croyait ces comportements spontanés ou « libres »... c'est comme si l'espace laissé à la liberté humaine allait en rétrécissant constamment depuis plus de 100 ans, à mesure qu'on comprend mieux les lois qui régissent le comportement humains! Arrivera-t-on à un point, un jour, où il ne restera rien de « libre » ou de « mystérieux » à propos des comportements humains, et où on sera pleinement réintégré à la nature physique?
Et cependant, c'est pas uniquement négatif. Quand on comprend que certains comportements inadaptés ou déviants sont dus à des déficiences ou désordres biologiques, par exemple, on est moins porté à juger négativement les personnes, car on sait alors que c'est pas de leur faute, que c'est pas un mauvais choix dont il faudrait les tenir responsables, et peut-être les punir!! Spinoza disait déjà quelque chose du genre dans sa perspective déterministe.
La science « réfute-t-elle » le libre arbitre?
Dans des domaines comme la psychologie ou les neurosciences, on dirait que chaque année, il y a de nouvelles études qui montrent que les humains sont influencés inconsciemment par toutes sortes de variables, alors qu'auparavant, on croyait ces comportements spontanés ou « libres »... c'est comme si l'espace laissé à la liberté humaine allait en rétrécissant constamment depuis plus de 100 ans, à mesure qu'on comprend mieux les lois qui régissent le comportement humains! Arrivera-t-on à un point, un jour, où il ne restera rien de « libre » ou de « mystérieux » à propos des comportements humains, et où on sera pleinement réintégré à la nature physique?
Et cependant, c'est pas uniquement négatif. Quand on comprend que certains comportements inadaptés ou déviants sont dus à des déficiences ou désordres biologiques, par exemple, on est moins porté à juger négativement les personnes, car on sait alors que c'est pas de leur faute, que c'est pas un mauvais choix dont il faudrait les tenir responsables, et peut-être les punir!! Spinoza disait déjà quelque chose du genre dans sa perspective déterministe.