Les représentants de la filière horticole départementale ont rendez-vous en préfecture cet après-midi pour éviter l’interdiction de l’arrosage et une deuxième annus horribilis pour la profession.......
Les horticulteurs des Pyrénées-Orientales donnent de la voix et ont rendez-vous ce mardi après-midi en préfecture pour parler d’un sujet désormais à demeure sur le bureau du préfet : l’eau. « Nous prenons les devants pour ne pas nous retrouver dans la même situation catastrophique que l’année dernière où l’interdiction d’arroser nous a fait perdre 40 % de notre chiffre d’affaires », explique Daniel Geoffroy, horticulteur-pépinériste à Céret, qui a pris la ête du CHOC pour Collectif Horticulture Ornementale Catalane, affilié à la FDSEA 66.
Ils sont une vingtaine de professionnels dans le département à regretter de ne pas avoir été conviés aux discussions du comité eau de la semaine dernière. Dans les pépinières, les boutures et les semis sont prêts à être replantés pour lancer la production mais mis en stand-by en attendant les réponses du préfet. « L’année dernière, nous avons été obligés de jeter les végétaux que nous avions plantés ou de les cultiver jusqu’en septembre sans finalement trouver d’acheteurs.
Les horticulteurs des Pyrénées-Orientales donnent de la voix et ont rendez-vous ce mardi après-midi en préfecture pour parler d’un sujet désormais à demeure sur le bureau du préfet : l’eau. « Nous prenons les devants pour ne pas nous retrouver dans la même situation catastrophique que l’année dernière où l’interdiction d’arroser nous a fait perdre 40 % de notre chiffre d’affaires », explique Daniel Geoffroy, horticulteur-pépinériste à Céret, qui a pris la ête du CHOC pour Collectif Horticulture Ornementale Catalane, affilié à la FDSEA 66.
Ils sont une vingtaine de professionnels dans le département à regretter de ne pas avoir été conviés aux discussions du comité eau de la semaine dernière. Dans les pépinières, les boutures et les semis sont prêts à être replantés pour lancer la production mais mis en stand-by en attendant les réponses du préfet. « L’année dernière, nous avons été obligés de jeter les végétaux que nous avions plantés ou de les cultiver jusqu’en septembre sans finalement trouver d’acheteurs.