© belga.
Louise Whitby est une employée sans histoire de Kirkby, en Angleterre. Elle a pourtant loupé la chance de sa vie quand elle est tombée malade pendant une dizaine de jours. Quand elle a repris le travail, ses collègues venaient de gagner 33 millions d'euros à l'Euromillions, après avoir organisé une cagnotte. Et évidemment, ils refusent de partager leurs gains.
Malade à cause de sa grossesse lors de la récolte des mises, Louise ne touchera donc pas un seul cent du jackpot, tombé ce mardi 9 juillet. Frustrée, elle a déjà engagé un avocat pour obtenir sa part du gâteau, qui a doit être réparti entre dix personnes.
Louise a confié au Daily Mail qu'elle avait pourtant participé à toutes les cagnottes depuis deux ans et qu'elle avait demandé qu'on mise 2£ pour elle lors de son absence. Ce qui n'a pas été fait...
Les gagnants, eux, ont préféré rester anonymes. Ils ont empoché 3,3 millions d'euros. De quoi se la couler douce pour le restant de leurs jours. Mais si Louise obtient une partie de l'argent, ils n'empocheront "que" 3 millions.
"Cet argent n'achètera jamais leur bonheur", déclare-t-elle au Daily Mail, légèrement amère. "Je les considérais comme mes amis mais maintenant, je ne pourrai plus jamais leur parler. Cela fait deux ans, chaque semaine, que je participe aux cagnottes. Cette fois, je n'ai pas pu car j'étais malade. Quand je suis revenue travailler cette semaine, j'ai dit que j'étais toujours disposée à payer. Ils m'ont répondu que je pouvais avoir un penny si je le voulais. Incroyable."
L'entreprise désertée
L'entreprise, quant à elle, a du souci à se faire. Il semble que plus aucun membre du personnel n'ait envie de se présenter au travail. "Il n'y a pratiquement personne qui est venu travailler", raconte un travailleur du même zoning industriel.
L'un des employés l'a même avoué à demi-mots dans un tweet. "Dans l'enfer du travail... Tous les collègues sont partis après avoir gagné à la loterie." Le tweet a toutefois été supprimé rapidement.
Contacté par le Daily Mail, le porte-parole de la société n'a pas souhaité faire de commentaire.
Louise Whitby est une employée sans histoire de Kirkby, en Angleterre. Elle a pourtant loupé la chance de sa vie quand elle est tombée malade pendant une dizaine de jours. Quand elle a repris le travail, ses collègues venaient de gagner 33 millions d'euros à l'Euromillions, après avoir organisé une cagnotte. Et évidemment, ils refusent de partager leurs gains.
Malade à cause de sa grossesse lors de la récolte des mises, Louise ne touchera donc pas un seul cent du jackpot, tombé ce mardi 9 juillet. Frustrée, elle a déjà engagé un avocat pour obtenir sa part du gâteau, qui a doit être réparti entre dix personnes.
Louise a confié au Daily Mail qu'elle avait pourtant participé à toutes les cagnottes depuis deux ans et qu'elle avait demandé qu'on mise 2£ pour elle lors de son absence. Ce qui n'a pas été fait...
Les gagnants, eux, ont préféré rester anonymes. Ils ont empoché 3,3 millions d'euros. De quoi se la couler douce pour le restant de leurs jours. Mais si Louise obtient une partie de l'argent, ils n'empocheront "que" 3 millions.
"Cet argent n'achètera jamais leur bonheur", déclare-t-elle au Daily Mail, légèrement amère. "Je les considérais comme mes amis mais maintenant, je ne pourrai plus jamais leur parler. Cela fait deux ans, chaque semaine, que je participe aux cagnottes. Cette fois, je n'ai pas pu car j'étais malade. Quand je suis revenue travailler cette semaine, j'ai dit que j'étais toujours disposée à payer. Ils m'ont répondu que je pouvais avoir un penny si je le voulais. Incroyable."
L'entreprise désertée
L'entreprise, quant à elle, a du souci à se faire. Il semble que plus aucun membre du personnel n'ait envie de se présenter au travail. "Il n'y a pratiquement personne qui est venu travailler", raconte un travailleur du même zoning industriel.
L'un des employés l'a même avoué à demi-mots dans un tweet. "Dans l'enfer du travail... Tous les collègues sont partis après avoir gagné à la loterie." Le tweet a toutefois été supprimé rapidement.
Contacté par le Daily Mail, le porte-parole de la société n'a pas souhaité faire de commentaire.