Soulager vos douleurs

LE plan secret de Big Pharma pour interdire les médecines douces

Rendez-nous nos herboristes !

Imaginez un instant que :

Pour soulager vos douleurs articulaires, on vous recommande de l’arnica alors que vous pensiez que seuls les anti-inflammatoires étaient efficaces.

Pour soigner votre dépression, on vous donne des extraits de millepertuis au lieu d’une ordonnance d’anti-dépresseurs.

Pour lutter contre votre insomnie, vous sachiez remplacer les somnifères par une tisane de passiflore et valériane.

Pour stopper une toux rebelle, on vous conseille du sirop naturel à base de radis noir à la place des sirops anti-tussifs habituels.

Pour calmer vos douleurs et lutter contre les maladies, vous seriez aiguillé spontanément vers des remèdes naturels au lieu de l’arsenal chimique de l’industrie pharmaceutique.

Voilà qui permettrait de reprendre confiance dans notre système de santé.

Malheureusement, en France, c’est loin d’être une réalité.

On continue de nous bourrer de médicaments chimiques au lieu de nous orienter sur des solutions naturelles et sans danger.

Et pourtant, il suffit de regarder de l’autre côté de la frontière pour voir qu’il est possible de faire autrement.

Les Belges, les Allemands, les Suisses peuvent se procurer librement des plantes médicinales dans leurs herboristeries. Là, on prend le temps de leur expliquer les effets thérapeutiques des plantes. On leur recommande les meilleures préparations. On leur indique les précautions d’usage.

Car, dans ces pays, il existe un diplôme officiel d’herboriste. On assiste même à un vrai renouveau de la profession : de nombreux emplois sont créés et c’est tout le monde qui en profite.

Traités comme de vulgaires vendeurs de drogue

Pour exercer leur profession, les herboristes français sont contraints de prendre des risques insensés qui les exposent aux foudres de la justice.

En 2016, c’est une herboristerie à Chatellerault qui a été condamnée pour exercice illégal de la médecine.

Et c’est un pharmacien qui a été condamné !

Ce qu’on lui reproche ? De vendre certaines plantes comme l’harpagophytum relevant du monopole de la pharmacie.
 
« Ce qui est aberrant aujourd’hui, c’est qu’un pharmacien compétent en plantes ne peut pas s’installer en dehors d’une officine classique, c’est-à-dire une officine qui vend aussi des médicaments allopathiques », explique Jean-François Cavallier. « Même pour une simple tisane à base de ronce, de rose, d’erysimum, de coquelicot et de mauve, je n’ai pas le droit de marquer qu’elle est conseillée en cas d’angine ». [1]

Surtout ne pas dire que ça soigne !

C’est un comble.

La réglementation française est totalement inadaptée : elle interdit aux professionnels les plus compétents et les mieux formés de vous expliquer comment les plantes peuvent vous soigner.

Si un pharmacien diplômé décide de vendre uniquement des plantes médicinales – et aucun médicament de synthèse, il se verra interdire l’inscription à l’Ordre des Pharmaciens. C’est pourtant la condition sine qua none pour avoir le droit de conseiller les acheteurs de plantes médicinales.

On marche sur la tête !

Depuis plusieurs années, les condamnations se multiplient :

Jean-Pierre Raveneau, docteur en pharmacie, de l’herboristerie de la place de Clichy, condamné à un an de prison avec sursis en 2016.

Nicole Sabardeil, propriétaire de l’herboristerie de la rue Saint-André-des-Arts, condamnée à 2000 milles euros d’amende et trois mois de prison avec sursis. En 2013, c’était Michel Pierre, depuis cinquante ans à la tête de l’herboristerie du Palais Royal à Paris, qui était poursuivi par l’Ordre des pharmaciens et condamné en appel.

A chaque fois, sous prétexte de vouloir protéger le grand public, l’Ordre des Pharmaciens agit pour protéger ses privilèges.
 
« Ce qui est aberrant aujourd’hui, c’est qu’un pharmacien compétent en plantes ne peut pas s’installer en dehors d’une officine classique, c’est-à-dire une officine qui vend aussi des médicaments allopathiques », explique Jean-François Cavallier. « Même pour une simple tisane à base de ronce, de rose, d’erysimum, de coquelicot et de mauve, je n’ai pas le droit de marquer qu’elle est conseillée en cas d’angine ». [1]

Surtout ne pas dire que ça soigne !

C’est un comble.

La réglementation française est totalement inadaptée : elle interdit aux professionnels les plus compétents et les mieux formés de vous expliquer comment les plantes peuvent vous soigner.

Si un pharmacien diplômé décide de vendre uniquement des plantes médicinales – et aucun médicament de synthèse, il se verra interdire l’inscription à l’Ordre des Pharmaciens. C’est pourtant la condition sine qua none pour avoir le droit de conseiller les acheteurs de plantes médicinales.

On marche sur la tête !

Depuis plusieurs années, les condamnations se multiplient :

Jean-Pierre Raveneau, docteur en pharmacie, de l’herboristerie de la place de Clichy, condamné à un an de prison avec sursis en 2016.

Nicole Sabardeil, propriétaire de l’herboristerie de la rue Saint-André-des-Arts, condamnée à 2000 milles euros d’amende et trois mois de prison avec sursis. En 2013, c’était Michel Pierre, depuis cinquante ans à la tête de l’herboristerie du Palais Royal à Paris, qui était poursuivi par l’Ordre des pharmaciens et condamné en appel.

A chaque fois, sous prétexte de vouloir protéger le grand public, l’Ordre des Pharmaciens agit pour protéger ses privilèges.
merci pour le sujet
 
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