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Submergé par le stress, le cerveau peut dérailler
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[QUOTE="mam80, post: 15644823, member: 228134"] De nombreux travaux de neurosciences montrent qu’une exposition à un stress chronique affecte l’hippocampe, le siège de la mémoire et des émotions. Une neurotoxicité qui explique les troubles de mémoire chez les dépressifs. Accélération du rythme cardiaque, souffle court, muscles crispés… Le stress gâche la vie à plus d’un Français sur deux. Surnommé le mal du siècle, le stress est pourtant indispensable à notre survie. Grâce à la sécrétion du cortisol et de l’adrénaline, il déclenche la fuite d’une proie face à un prédateur ou accroît notre vigilance face un danger. Mais lorsque cet état se prolonge, le corps flanche. Et en premier lieu le cerveau, rappelle la Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRC) à l’occasion de la semaine nationale dédiée à cet organe essentiel (12 au 25 mars). «Le stress correspond à toutes les situations qui nous éloignent de notre point d’équilibre. Mais lorsque ce déséquilibre devient chronique et que la personne n’arrive plus à résister, des effets néfastes apparaissent», explique Karim Benchenane du Laboratoire Plasticité du Cerveau de l’École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles (ESPCI) de Paris. [B]» LIRE AUSSI - Surmenage: détecter les signes d’alerte [/B] Chez le rat, des chercheurs ont démontré qu’une exposition à long terme aux hormones de stress (cortisol et adrénaline) entraîne un dysfonctionnement dans l’hippocampe, le siège de la mémoire. Les cobayes de laboratoire hyperstressés présentent moins de neurones dans cette région que les animaux plus détendus. Un mécanisme similaire découvert chez l’homme, et notamment chez les patients souffrant de dépression. Soumis à un stress psychologique important, les personnes déprimées présentent elle aussi une atrophie de l’hippocampe. «Il semblerait que chez les dépressifs des connexions neuronales, aussi appelées synapses, disparaissent dans l’hippocampe. Or la mémorisation se fait grâce à la formation et la consolidation de ces connexions», explique Karim Benchenane qui dédie ses recherches à la mémoire. [B]Perte de connexions et de neurones[/B] Certains travaux scientifiques suggèrent également que la dépression affecte la genèse de nouveaux neurones. Une perte cellulaire qui contribue à l’apparition de troubles cognitifs, émotionnels et mnésiques. Et plus la dépression est résistante, plus les effets neurotoxiques sont observés. Une étude française réalisée par le Pr Philip Gorwood a montré que l’importance des troubles cognitifs dépend du nombre d’épisodes dépressifs. Mais bonne nouvelle cette neurotoxicité n’est pas définitive. Un traitement antidépresseur adapté permet de bloquer les effets neurotoxiques du stress. Ils suggèrent également qu’une prise en charge précoce de la dépression permettrait de diminuer ces effets. Et pourquoi ne pas agir avant l’apparition de la dépression? S’attaquer directement au stress? «Il est possible de prévenir ou compenser la perte de synapses. Le cerveau s’adapte à son environnement.(...) suite intéressante sur [URL]http://info.sante.lefigaro.fr/article/submerge-par-le-stress-le-cerveau-peut-derailler/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante[/URL] mam [/QUOTE]
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