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Suède : après l’agression d’une voilée, les suédoises lancent une journée hijab
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[QUOTE="Pareil, post: 12038756, member: 291949"] Ca, c'est plus compliqué. En France, l'immigration devait être temporaire avec seulement les travailleurs, qui étaient alors rassemblés pour plu de facilités logistiques, puis, les familles sont arrivées après. Ces familles sont restées ensemble, avec donc très peu de possibilités d'intégrations.. Les changements ont été trop lent et cette séparation géographique a entrainé/encourager certains problèmes. Pour la Belgique, tu parles principalement des écoles ghettos et de certains quartiers. Le truc, c'est que c'est aussi et surtout lié au niveau de vie : ceux qui arrivent iront directement dans des quartiers communautaires : combien iront d'eux-même choisir un autre coin ? C'est un comportement naturel qu'on trouve partout. Mais les différences culturelles, linguistiques et religieuses sont telles qu'il a été impossible de favoriser une immigration communautaire comme on a pu en voir aux états-unis. Mais les écoles ghettos : qu'est-ce qui empêche les parents d'inscrire leurs enfants dans une autre école ? RIEN ! Le problème est le communautarisme, la langue et l'origine sociale. selon qu'ils sont d'une origine pauvre ou plus aisée, leur parcours sera différent. Le gamin du premier cas sera vite largué dans une '"école belge" car personne ou presque ne parle français à la maison. Tu as encore des grands-parents ici en belgique qui ne parlent pas un mot de français. Alors que s'il est originaire d'un milieu plus aisé, il aura une meilleure connaissance du français - et idem pour ses parents qui pourront suivre leurs enfants dans leurs parcours scolaires. Les quartiers ghettos s'expliquent aussi par la politique régionalistes : wallonie et flandre font leur maximum pour éviter d'accueillir trop d'immigrés : laissant une énorme part de l'immigration à Bruxelles. Cela se voit avec les services d'immigrations qui n'existaient pas (jusqu'à récemment) ailleurs qu'à Bruxelles. Et lié avec la tendance au communautarisme (provoqué par les trop grandes différences déjà évoquées (langue, religion, culture), les quartiers communautaires se forment encore plus facilement. [/QUOTE]
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