Suggestion :un cinéma au-dessus du quelconque

La plupart des fois on entendait dire que le cinéma marocain lui défaillait cruellement des textes du moins peu ou prou édifiants. Je n’ai pas tout à fait le sens de la formule pour vous expliquer comment j’imaginais influer sur la destinée de cet art. En dépit de mes scrupules et mes obstinées inhibitions, je tente une action téméraire, prétendant à la faculté de m’essayer à satisfaire l’attente des gens de l’industrie cinématographique nationale.

En mettant les formes, je prie messieurs les producteurs de cinéma, marocains et étrangers, interessés de bien vouloir me communiquer leur e-mail. Assurément, je ne vais pas manquer le coche. Aussitot après, je vais leur envoyer une copie de mon scénario « Tu es Rajaoui ou Widadi »

En peu de mots, l’histoire est manifeste et valable pour tout esprit. Toutefois, je m’engage formellement à prendre sur mon compte de ne pas déranger inutilement personne. Le titre en arabe « Nta rajaoui oula widadi » suffit de pitch pour cette œuvre. Il faut pourtant qu’on tienne de vraisemblable ma déterminante intention. Je porte mes désirs vers l’entreprise de faire un excellent spectacle avec qui se presserait d’apprécier mon imagination.

Pour juger et avoir nne idée de l’attribut de ce travail, veuillez prendre connaissance du condensé de ce scénario en ce qui suit :


Note d'intention :


L’action et l‘intrigue dans cette oeuvre composent une chronique destinée à illustrer par la bande un principe salutaire. Sur ce, je prends sur moi de vous expliquer gravement que le sujet de l’histoire est pas mal interessant. L’épilogue du récit est sans commune mesure. C’est une sorte de feed-back correctif suceptible de changer en mieux le comportement incivil d’un public qui regarde un match de football. Par suite de cette indication significative, j’argumente du tissu des accidents qui se produisent de temps à autre. Les esprits survoltés ne s’arretent toujours pas de s’enthousiasmer et de perdre la tete. Après tout, je vous laisse à penser que les gens cassent, démolissent et s’entretuent. Il est le propre d’un homme de bon sens dans ce cas de s’indigner de ce hooliganism dévastateur.

Par une fuite en avant, il est donc de première nécessité d’associer le septième art à l’idée de plier les déprédateurs à une nouvelle discipline morale édifiante.
 
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