Les syndicats de la sncf sur le qui-vive

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
[un peu tard...]

- Après la remise du rapport Spinetta sur le transport ferroviaire, le gouvernement a entamé les réunions de concertation avec les différents syndicats de la SNCF.

Le ballet des rencontres de concertation entre le gouvernement et les parties prenantes de la réforme ferroviaire à venir a démarré comme prévu lundi. Les quatre organisations syndicales représentatives (CGT Unsa, CFDT et SUD-rail) se sont succédé au ministère des Transports. Élisabeth Borne n'a pas dévoilé ses cartes.
À la sortie, les représentants des syndicats étaient dans l'expectative.
S'ils sont opposés aux 43 recommandations du rapport Spinetta, ils attendent de connaître le projet du gouvernement.

«Nous restons sur nos gardes» après la remise d'un rapport qui «taille dans le vif», a déclaré Roger Dillenseger, secrétaire général de l'Unsa ferroviaire.
«La bataille n'est pas gagnée d'avance pour le gouvernement»
Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-cheminots
De son côté, Laurent Brun, le secrétaire général de la CGT-cheminots, estime que «la bataille n'est pas gagnée d'avance pour le gouvernement».
Sur France Info, il a appelé à l'unité des syndicats de cheminots.
Bien que pour l'heure une manifestation seulement soit programmée le 22 mars, tous préparent une action plus impressionnante. «Nous saurons aussi (…), si nous voyons que les choses ne changent pas, être capables de montrer les muscles et de faire réagir le rapport de forces, a prévenu Didier Aubert, secrétaire général de la CFDT-cheminots. On n'en est pas encore là.»
» LIRE AUSSI - Cheminot, un statut hérité du début du XXe siècle

Lundi matin, le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, a ajouté sa note personnelle au débat. Interrogé sur la suppression du statut de cheminot sur BFMTV, il a déclaré qu'il n'y était pas opposé: «Je pense qu'il n'y a pas de tabou. Je ne suis pas opposé à cela.»

Ces prochains jours, le gouvernement recevra les représentants des régions, soucieux de conserver les lignes secondaires. Le rapport Spinetta préconise leur évaluation socio-économique quitte à les abandonner aux régions en dernier recours.
Les associations d'usagers auront aussi leur mot à dire. La Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) a d'ores et déjà jugé le rapport Spinetta «très conformiste». Il «est basé sur les préoccupations financières de l'État et les orientations déclinistes de la SNCF. Il ignore les conditions de concurrence entre modes de transport, le transport du quotidien et l'environnement hors zones denses, et les succès du rail à l'étranger».
Le ballet continue.

http://info.economie.lefigaro.fr/so...ce=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie


mam
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
On va galéré le 22 mars voilà se qui m'importe moi :fou:
 
Toujours ce Hold up CGTiste à lâcher leurs propres dates pour tirer la couverture......tfou.
Inchallah la réforme passe comme elle est écrite dans le rapport et plus encore.....llah y n3el ces bourgeois communistes
 
SNCF : derrière les « résultats », la quasi-faillite
Cumulant une dette supérieure à son chiffre d’affaires malgré un total de subventions de 28 000 millions €, une situation de monopole et des facilités comptables, la SNCF est aujourd’hui une société exsangue.
c est en faillite cette societe reste plus que le depot bilan
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
<
Le gouvernement pourrait recourir aux ordonnances pour la réforme de la SNCF, au moins sur une partie des sujets, afin d'accélérer le tempo, écrivent mercredi Les Echos sur leur site.

Mais, selon les services du Premier ministre Edouard Philippe, "aucune décision n'est arrêtée quant aux modalités législatives de cette réforme". "Cela fait partie des questions de méthode et de calendrier sur lesquelles le gouvernement travaille actuellement et qui seront précisés lundi", a-t-on dit de même source.

Le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Christophe Castaner, a indiqué jeudi que le recours aux ordonnances était une "possibilité" envisagée par le gouvernement pour réformer la SNCF, jugeant qu'"il faut aller vite" sur ce dossier.
"Bien sûr c'est une possibilité", a-t-il reconnu sur BFMTV et RMC, appelant à "ne pas avoir peur des ordonnances". Le délégué général de LREM a souligné que "la discussion aujourd'hui n'est pas arrêtée, mais il faut aller vite". "Je n'exclus rien. Ensuite il y a un Premier ministre qui prend les décisions", a-t-il encore dit.

Edouard Philippe doit en effet présenter lundi la manière dont le gouvernement compte s'y prendre pour cette réforme nourrie par un rapport commandé à l'ancien PDG d'Air France, Jean-Cyril Spinetta.


Ce rapport recommande d'examiner la pertinence de maintenir des lignes peu utilisées, d'envisager de ne plus embaucher sous le statut de cheminot et d'enrayer l'expansion des lignes TGV.
Les ordonnances ont déjà été utilisées par Emmanuel Macron pour réformer le Code du travail, ce qui a provoqué une mobilisation syndicale forte mais infructueuse.

http://decouverte.challenges.fr/ent...a-sncf_569209#xtor=CS1-93-20180222&xts=562191

mam
 
te cas
<
Le gouvernement pourrait recourir aux ordonnances pour la réforme de la SNCF, au moins sur une partie des sujets, afin d'accélérer le tempo, écrivent mercredi Les Echos sur leur site.

Mais, selon les services du Premier ministre Edouard Philippe, "aucune décision n'est arrêtée quant aux modalités législatives de cette réforme". "Cela fait partie des questions de méthode et de calendrier sur lesquelles le gouvernement travaille actuellement et qui seront précisés lundi", a-t-on dit de même source.

Le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Christophe Castaner, a indiqué jeudi que le recours aux ordonnances était une "possibilité" envisagée par le gouvernement pour réformer la SNCF, jugeant qu'"il faut aller vite" sur ce dossier.
"Bien sûr c'est une possibilité", a-t-il reconnu sur BFMTV et RMC, appelant à "ne pas avoir peur des ordonnances". Le délégué général de LREM a souligné que "la discussion aujourd'hui n'est pas arrêtée, mais il faut aller vite". "Je n'exclus rien. Ensuite il y a un Premier ministre qui prend les décisions", a-t-il encore dit.

Edouard Philippe doit en effet présenter lundi la manière dont le gouvernement compte s'y prendre pour cette réforme nourrie par un rapport commandé à l'ancien PDG d'Air France, Jean-Cyril Spinetta.


Ce rapport recommande d'examiner la pertinence de maintenir des lignes peu utilisées, d'envisager de ne plus embaucher sous le statut de cheminot et d'enrayer l'expansion des lignes TGV.
Les ordonnances ont déjà été utilisées par Emmanuel Macron pour réformer le Code du travail, ce qui a provoqué une mobilisation syndicale forte mais infructueuse.

http://decouverte.challenges.fr/ent...a-sncf_569209#xtor=CS1-93-20180222&xts=562191

mam
te casse pas la tête mam ca sert a rien, une discution de quoi quand les caisse sont vide c est comme
tu fais tes courses et une fois que tu arrive a la caisse tu n a pas un rond et tu veux t arranger avec
la caissière pour la payer dans 2 ans, quand c est en faillite c est en faillite y a rien a discuter
on attends les huissiers c est tout, c est le cas pour la sncf et pour toute la france d ailleur et
la belgique est guere meilleur
 
te cas

te casse pas la tête mam ca sert a rien, une discution de quoi quand les caisse sont vide c est comme
tu fais tes courses et une fois que tu arrive a la caisse tu n a pas un rond et tu veux t arranger avec
la caissière pour la payer dans 2 ans, quand c est en faillite c est en faillite y a rien a discuter
on attends les huissiers c est tout, c est le cas pour la sncf et pour toute la france d ailleur et
la belgique est guere meilleur
Certes même si le diagnostic semble imparable la discussion sur ce sujet reste intéressante et nécessaire.
Comment des entreprises en situation de monopole et sur des prestations de "premières nécessités" font pour se retrouver dans des situations économiques de faillites et malgré les dispositions avantageuses sociales dans des situations sanitaires non enviables?
Va falloir que ce pays se pose les bonnes questions sur le rôle contreproductif des apparatchiks de la représentation du personnel.
En ce qui me concerne c'est tout simple: ils conduisent à la ruine de l'appareil productif avec le cynisme de se payer au passage (attitude que l'on retrouve dans le monde de la finance)
 
Certes même si le diagnostic semble imparable la discussion sur ce sujet reste intéressante et nécessaire.
Comment des entreprises en situation de monopole et sur des prestations de "premières nécessités" font pour se retrouver dans des situations économiques de faillites et malgré les dispositions avantageuses sociales dans des situations sanitaires non enviables?
Va falloir que ce pays se pose les bonnes questions sur le rôle contreproductif des apparatchiks de la représentation du personnel.
En ce qui me concerne c'est tout simple: ils conduisent à la ruine de l'appareil productif avec le cynisme de se payer au passage (attitude que l'on retrouve dans le monde de la finance)
c est trop tard la guillotine est deja sur la place public manque plus que louis 16
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Les syndicats menacent d'employer la manière forte si le gouvernement veut recourir aux ordonnances.

Edouard Philippe doit annoncer, ce lundi 26 février au matin, son plan de marche pour réformer le secteur ferroviaire, dix jours après la publication d'un rapport critique qui a crispé les syndicats. Selon Matignon, le Premier ministre précisera "les questions de méthode et de calendrier" et "les grands axes" de sa réforme.

Il expliquera quelles sont ses ambitions et comment il compte s'y prendre pour préparer l'ouverture à la concurrence, transformer la SNCF, reprendre éventuellement une partie de sa dette et recentrer les efforts de l'Etat sur les lignes les plus fréquentées, qui ont besoin d'une sérieuse rénovation.

"Si nous voulons sauver le système ferroviaire, disons-le clairement, nous devrons prendre des décisions", assurait le chef du gouvernement le 20 février devant les députés.

Les syndicats de cheminots seront particulièrement attentifs : s'ils n'appellent encore qu'à une manifestation le 22 mars, ils ont convenu de se concerter mardi, pour déclencher une grève le cas échéant.

"Je défie qui que ce soit de me dire que le problème de la SNCF, le problème des trains en retard, le problème des trains annulés et des voies qui sont mal entretenues, c'est à cause du statut des cheminots", a fustigé le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, sur France 3 ce dimanche.

"Quand le gouvernement ne veut pas discuter, eh bien il faut passer un ton au-dessus."
Les fédérations CGT, Unsa, Sud-Rail et CFDT ont notamment prévenu le gouvernement "qu'elles réagiraient de manière forte et avec détermination s'il entendait utiliser l'ordonnance en tout ou partie dans le cadre de la nouvelle réforme ferroviaire", menaçant d'"un conflit majeur".

La France paie des décennies de "tout TGV"
Le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Christophe Castaner, a en effet indiqué jeudi qu'un recours aux ordonnances était "une possibilité", imité ce dimanche par le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. Le gouvernement devra de toute façon aller vite sur une partie du problème, car le "quatrième paquet ferroviaire" européen qui prévoit l'arrivée de la concurrence sur les rails devra être transcrit dans le droit français avant le 25 décembre.

Le rapport rendu le 15 février à Edouard Philippe par l'ancien patron d'Air France Jean-Cyril Spinetta doit servir de base à la réflexion du gouvernement.
Il a fait, selon le Premier ministre, "un constat précis, lucide, sur ce qui fonctionne bien dans le système ferroviaire et ce qui fonctionne moins bien".

Le constat est clair, et partagé tant par le gouvernement que la SNCF : la France paie des décennies de "tout TGV", pendant lesquelles l'entretien du réseau ordinaire a été sacrifié.
D'où des pannes, des retards, des annulations et des frustrations.

Mais "le vieillissement du réseau n'explique pas tout, loin de là", juge Jean-Cyril Spinetta, qui estime que la SNCF n'est pas assez efficace.
Il faut selon lui "recentrer le transport ferroviaire sur son domaine de pertinence : les transports du quotidien en zone urbaine et périurbaine, et les dessertes à grande vitesse entre les principales métropoles".

Conséquence qui a fait couler beaucoup d'encre ces derniers jours, il pense qu'il vaut mieux fermer les "petites lignes" dont la remise à niveau coûterait trop cher.
Et mettre le paquet – avec davantage de moyens – sur la partie la plus fréquentée de réseau. Matignon a déjà répondu qu'il faudrait agir au cas par cas, en collaboration avec les régions, et que l'Etat respecterait ses engagements.

suite sur https://actus.nouvelobs.com/economi...ia-_-edito&from=wm#xtor=EREC-10-[WM]-20180226

mam

 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
Bonne chance pour se gouvernement les autres ont voulu essayer de reformer mais se sont heurté au syndicat de tout façon il va falloir reformé d'une manière ou d'une autre
 
Bonne chance pour se gouvernement les autres ont voulu essayer de reformer mais se sont heurté au syndicat de tout façon il va falloir reformé d'une manière ou d'une autre
A mon avis c'est plutôt bonne chance aux français.....de toute façon maintenant nous avons atteint le point de non retour avec ce vieux modèle.
 
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