Moscou n’apprécie pas que Washington veuille déployer des moyens dans la zone pétrolière de Deir Ezzor.
Et si la finalité avait été le pétrole ? À moins qu'il ait été compliqué de rapatrier des centaines d'hommes d'un claquement de doigts ? Après avoir retiré les dernières troupes américaines de la frontière turco-syrienne, laissant le champ libre à une offensive éclair de la Turquie contre les Kurdes, Donald Trump entend protéger les champs pétroliers de l'est-syrien. Avec l'aide des combattants kurdes.
Mercredi, le président américain a annoncé qu'un « petit nombre de soldats » américains resterait en Syrie, « dans les zones où il y a du pétrole ». « Nous sommes en train de prendre des mesures pour renforcer notre position à Deir Ezzor pour interdire l'accès aux champs pétroliers » aux djihadistes du groupe Etat islamique (EI), a confirmé vendredi le ministre américain de la Défense Mark Esper.
Environ 200 soldats américains sont encore présents à Deir Ezzor. Le Pentagone « est en train de renforcer cette position, et cela inclura des forces mécanisées », a ajouté son chef, interrogé au cours d'une conférence de presse à Bruxelles, au siège de l'OTAN, sur l'envoi possible de chars de combat.
Un revirement dans l'argumentaire américain
Un peu avant, le président américain avait raillé sur Twitter les « imbéciles experts ». « S'ils demandent que nous nous retirions de l'accord, je dis tout simplement : le pétrole, et nous ramenons nos soldats à la maison »...............................
Et si la finalité avait été le pétrole ? À moins qu'il ait été compliqué de rapatrier des centaines d'hommes d'un claquement de doigts ? Après avoir retiré les dernières troupes américaines de la frontière turco-syrienne, laissant le champ libre à une offensive éclair de la Turquie contre les Kurdes, Donald Trump entend protéger les champs pétroliers de l'est-syrien. Avec l'aide des combattants kurdes.
Mercredi, le président américain a annoncé qu'un « petit nombre de soldats » américains resterait en Syrie, « dans les zones où il y a du pétrole ». « Nous sommes en train de prendre des mesures pour renforcer notre position à Deir Ezzor pour interdire l'accès aux champs pétroliers » aux djihadistes du groupe Etat islamique (EI), a confirmé vendredi le ministre américain de la Défense Mark Esper.
Environ 200 soldats américains sont encore présents à Deir Ezzor. Le Pentagone « est en train de renforcer cette position, et cela inclura des forces mécanisées », a ajouté son chef, interrogé au cours d'une conférence de presse à Bruxelles, au siège de l'OTAN, sur l'envoi possible de chars de combat.
Un revirement dans l'argumentaire américain
Un peu avant, le président américain avait raillé sur Twitter les « imbéciles experts ». « S'ils demandent que nous nous retirions de l'accord, je dis tout simplement : le pétrole, et nous ramenons nos soldats à la maison »...............................
En Syrie, Etats-Unis et Russie prêts à se disputer le pétrole
Moscou n’apprécie pas que Washington veuille déployer des moyens dans la zone pétrolière de Deir Ezzor.
www.leparisien.fr