La région de Tadla-Azilal a désormais son contrat programme pour le tourisme. Celui-ci a été signé le 19*juin.
Le Haut Atlas souhaite ainsi mettre en valeur la diversité de ses sites naturels.
Les traditions et la culture des populations locales ne sont pas en reste.
L’enjeu pour la région est donc de se positionner en destination phare de l’écotourisme et du développement durable.
Quelque 5*900*nouveaux lits sont prévus d’ici 2020, ce qui devrait permettre à ce territoire d’accueillir 490*000*touristes chaque année.
Cela implique 2*270*créations d’emplois.
Pour s’assurer un vivier de jeunes diplômés, le contrat programme régional (CPR) prévoit un système de formation afin d’accompagner le développement du tourisme en montagne. Le CPR se compose de 10*projets structurants et de 48*projets complémentaires pour un investissement de 1,851 milliard de DH. Parmi les développements envisagés, à noter les stations vertes du barrage de Aït Ouarda et celle d’Ahmed El Hansali, toutes deux construites à proximité d’un barrage et financées par des investisseurs privés.
Elles seront dotées chacune d’une capacité de 200*lits. Ces stations offriront toute une gamme de loisirs comme la randonnée, l’escalade, l’équitation, la pêche et les sports nautiques.
Le site des cascades d’Ouzoud sera aménagé, ainsi que des sentiers pour relier Souika à Doar Mmoudaa. Plus original, un dino-parc, dont la construction est prévue sur la période*2016-2017. Cet espace sera créé dans la commune de Sidi Boulkhlef à Azilal.
Il permettra de consolider le Géoparc du M’Goun et de valoriser les traces de dinosaures sur site.
Ce projet atypique prévoit en plus la mise sur pied d’un atelier de fouilles, l’exposition de reconstitutions archéologiques et l’organisation d’un parcours permettant au public de s’informer sur les dinosaures et la préhistoire au Maroc. Le dino-parc sera érigé sur un hectare et nécessitera un investissement total estimé à 150*MDH. Les spécimens découverts au Maroc, l’Atlasurus d’Azilal et le Tasodasurus d’Ouarzazate en seront d’ailleurs les vedettes. Pour le grand public, un Club Biladi sortira de terre à Taghbalout, à proximité de Béni Melllal.
Doté d’une capacité de 4*000*lits, ce club nécessitera, à lui seul, un investissement de 330*MDH pour encourager le tourisme national.*
lire la suite sur Le Matin
Le Haut Atlas souhaite ainsi mettre en valeur la diversité de ses sites naturels.
Les traditions et la culture des populations locales ne sont pas en reste.
L’enjeu pour la région est donc de se positionner en destination phare de l’écotourisme et du développement durable.
Quelque 5*900*nouveaux lits sont prévus d’ici 2020, ce qui devrait permettre à ce territoire d’accueillir 490*000*touristes chaque année.
Cela implique 2*270*créations d’emplois.
Pour s’assurer un vivier de jeunes diplômés, le contrat programme régional (CPR) prévoit un système de formation afin d’accompagner le développement du tourisme en montagne. Le CPR se compose de 10*projets structurants et de 48*projets complémentaires pour un investissement de 1,851 milliard de DH. Parmi les développements envisagés, à noter les stations vertes du barrage de Aït Ouarda et celle d’Ahmed El Hansali, toutes deux construites à proximité d’un barrage et financées par des investisseurs privés.
Elles seront dotées chacune d’une capacité de 200*lits. Ces stations offriront toute une gamme de loisirs comme la randonnée, l’escalade, l’équitation, la pêche et les sports nautiques.
Le site des cascades d’Ouzoud sera aménagé, ainsi que des sentiers pour relier Souika à Doar Mmoudaa. Plus original, un dino-parc, dont la construction est prévue sur la période*2016-2017. Cet espace sera créé dans la commune de Sidi Boulkhlef à Azilal.
Il permettra de consolider le Géoparc du M’Goun et de valoriser les traces de dinosaures sur site.
Ce projet atypique prévoit en plus la mise sur pied d’un atelier de fouilles, l’exposition de reconstitutions archéologiques et l’organisation d’un parcours permettant au public de s’informer sur les dinosaures et la préhistoire au Maroc. Le dino-parc sera érigé sur un hectare et nécessitera un investissement total estimé à 150*MDH. Les spécimens découverts au Maroc, l’Atlasurus d’Azilal et le Tasodasurus d’Ouarzazate en seront d’ailleurs les vedettes. Pour le grand public, un Club Biladi sortira de terre à Taghbalout, à proximité de Béni Melllal.
Doté d’une capacité de 4*000*lits, ce club nécessitera, à lui seul, un investissement de 330*MDH pour encourager le tourisme national.*
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