Théorie de la connaissance / epistémologie

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A

AncienMembre

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Bonsoir à tous,

1 - Comment peut-on qualifier une personnalité ayant les caractéristiques suivantes :
  • L'état d’âme de cette personnalité ayant un niveau de certitude 100% que l'ensemble des connaissances qu'elle a acquise sont à 100 % fiables. L'état d’âme est en parfaite certitude et confiante en elle. Absence de fatigue au niveau mentale due aux intrigues, hésitation et déraisonnabilité en cherchant par la pensée à atteindre la vérité.
  • Le cumul du savoir et des connaissances acquises instantanément par cette personnalité sont reçus avec un état de certitude atteignant 100 % de degré. C'est à dire, absence totale de doutes. Ce qui entraîne une personnalité forte de caractère, pertinente, flexible et agile, ne doute jamais dans ses prises de décisions, n'hésite pas dans ces attitudes. Réflexes rapides. Très confiant en lui.
2 - Quel courant de théorie de la connaissance ou épistémologique adopte ses principes ci-dessus, de certitude totale dans l'acquisition du savoir en le mettant en épreuve ?

3 - Est ce qu'il est possible d'atteindre ces deux caractéristiques décrites çi dessus en meme temps et comment ?

Merci d'avance.
 
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Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Bonjour,

Ce que tu décris ressemble à une posture dogmatique, ou plus familièrement à une rigidité de la pensée.

Par contre, oui certains philosophes ont bien affirmé qu’on pouvait avoir des certitudes, au moins sur un certain nombre de choses fondamentales. Des philosophes aussi divers que Platon, Aristote, les stoïciens, Thomas d’Aquin, Descartes, Spinoza, Leibniz, des marxistes.

À partir du 18e siècle, la pensée philosophique occidentale prend un tournant nettement sceptique, d’abord par l’influence de l’empirisme et du kantisme. Aux siècles suivants, le scepticisme s’approfondit avec le développement d’une perspective historique sur les idées et croyances, puis ensuite par des soupçons psychologiques sur l’équilibre mental ou les pulsions obscures des dogmatiques, ainsi que par des analyses linguistiques dissolvantes. Sans parler de la sociologie de la science ou de l’épistémologie féministe. De nos jours, le scepticisme gagne les masses : ce n’est plus seulement la religion qui est rejetée et méprisée, mais la plupart des institutions héritées du monde moderne : l’école, la science, la médecine institutionnelle, la politique, les médias.

Donc l’époque est peu propice aux certitudes absolues.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Merci beaucoup pour cette réponse Ebion. ça montre que tu as bien saisi l'idée que j'avais du mal à exprimer vu mon niveau encore faible en Français. Je n'ai appris la philosophie qu'en langue arabe depuis que j'étais au Lycée. Merci encore une fois.

Tu parles de scepticisme. Quel est le nom du courant philosophique qui s'oppose à ce courant de scepticisme ? et quels sont ses grands traits et ses positions envers la théorie de la connaissance et l'épistémologie en particulier ? et il s'appuie sur quels forts arguments ?
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Merci beaucoup pour cette réponse Ebion. ça montre que tu as bien saisi l'idée que j'avais du mal à exprimer vu mon niveau encore faible en Français. Je n'ai appris la philosophie qu'en langue arabe depuis que j'étais au Lycée. Merci encore une fois.

Tu parles de scepticisme. Quel est le nom du courant philosophique qui s'oppose à ce courant de scepticisme ? et quels sont ses grands traits et ses positions envers la théorie de la connaissance et l'épistémologie en particulier ? et il s'appuie sur quels forts arguments ?

Bonjour,

Honnêtement, je saurais pas dire quel est le nom précis de la position philosophique qui est le contraire du scepticisme. Historiquement, on a utilisé le nom "dogmatisme", mais ce mot en est venu à signifier quelque chose d'un peu différent dans la langue moderne... Aux 17-18e siècle, il y avait un débat entre les rationalistes à tendance dogmatique et les empiristes à tendance sceptique. Il y a aussi une philosophie, populaire chez les catholiques et d'autres chrétiens, appelée le réalisme, qui affirme qu'on peut connaître des choses avec certitude en métaphysique et en morale. Notamment des choses en lien avec la religion.

Quant aux arguments anti-sceptiques, il y en a quelques-uns :

- La contradiction interne au scepticisme. Si rien n'est certain, n'est-il pas certain que rien n'est certain, et donc c'est que quelque chose est certain. Si un sceptique doute même du principe de contradiction, alors il ne peut pas être "réfuté", mais il s'interdit par là même de tenir tout discours intelligible. Un discours intelligible doit au minimum être constitué de mots qui existent dans une langue, il doit se soumettre aux règles de la grammaire, et il doit accepter le principe de contradiction. Si dans un discours je dis A, c'est que j'affirme que non-A n'est pas vrai.

- L'impossibilité pratique de vivre avec le scepticisme. Un sceptique cohérent avec lui-même ne pourrait pas mener une vie quotidienne normale. Par exemple quelle certitude aurait-il que son petit déjeuner ne va pas l'empoisonner? Ou que l'air à l'extérieur de sa maison n'est pas devenu toxique? Ou que ma mère n'a pas été remplacée par un extra-terrestre déguisé en elle? Psychologiquement, un tel scepticisme est non seulement paralysant, mais il produit aussi une angoisse permanente. Pour agir dans le monde, on a besoin, sinon toujours de certitudes absolues, au moins de fortes probabilités, et d'une bonne dose de bon sens.

- Les succès de la science et de la technologie : le fait que les diverses disciplines scientifiques, notamment les sciences naturelles, aient fait des progrès indéniables et qu'elles aient créé un large consensus parmi les spécialistes et éducateurs, en plus de mener à des applications technologiques qui nous entourent, cela mine la crédibilité du scepticisme qui dit qu'on ne peut rien connaître. La science et la technologie nous suggèrent que, d'une manière ou d'une autre, la réalité est connaissable, au moins en partie. Dans certains cas, les théories des scientifiques ont anticipé de façon spectaculaire des découvertes, comme en physique des particules (positron, boson de Higgs) ou autre (ondes gravitationnelles, rayonnement micro-ondes vestige du Big Bang).

Et aussi d'autres arguments.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Merci beaucoup Ebion. :)
C'est exactement le genre d'arguments que je cherchais. Tu réussis à mettre le doigt sur la plaie facilement à ce sujet. C'est soulageant.
Merci encore une fois.
Cordialement.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Si dans un discours je dis A, c'est que non-A n'est pas vrai.

Bonjour Ebion :

On va bifurquer un peu vers quelques anomalies de la logique : :)
Oui, ''Si dans un discours je dis A, c'est que non-A n'est pas vrai'' est le fameux principe de non contradiction en logique classique.
Certains courants autres que les courants classiques comme les intuitionnistes rejettent ce principe de non contradiction et s'accordent que : non ( non (A) ) est différent de A.
La logique intuitionniste est un type de logique mathématique qui ne se trouve pas etre pas valide dans la nature ou dans la réalité physique, mais reste quant meme une logique sophistiquée utilisée par exemple pour organiser certains flux d'informations et de données dans le fonctionnement des ordinateurs : Lambda - calcul. Donc, ce principe qui relève de l'intuitionnisme est plus un outil considéré inventé qu'une vérité. Mais, il ne colle pas à la notion de vérité. Dans l'intuitionnisme, on ne vérifie pas des vérités. Mais, on crée des théorèmes qui sont cohérents avec des axiomes d'une théorie.basée sur ce principe intuitionniste.
 
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Bonsoir à tous,

1 - Comment peut-on qualifier une personnalité ayant les caractéristiques suivantes :
  • L'état d’âme de cette personnalité ayant un niveau de certitude 100% que l'ensemble des connaissances qu'elle a acquise sont à 100 % fiables. L'état d’âme est en parfaite certitude et confiante en elle. Absence de fatigue au niveau mentale due aux intrigues, hésitation et déraisonnabilité en cherchant par la pensée à atteindre la vérité.
  • Le cumul du savoir et des connaissances acquises instantanément par cette personnalité sont reçus avec un état de certitude atteignant 100 % de degré. C'est à dire, absence totale de doutes. Ce qui entraîne une personnalité forte de caractère, pertinente, flexible et agile, ne doute jamais dans ses prises de décisions, n'hésite pas dans ces attitudes. Réflexes rapides. Très confiant en lui.
2 - Quel courant de théorie de la connaissance ou épistémologique adopte ses principes ci-dessus, de certitude totale dans l'acquisition du savoir en le mettant en épreuve ?

3 - Est ce qu'il est possible d'atteindre ces deux caractéristiques décrites çi dessus en meme temps et comment ?

Merci d'avance.

Bonsoir,

Lire Crusius (dont Kant s'est inspiré) peut être intéressant dans ta recherche.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
On peut bien faire le malin et dire que rien n’est certain, par exemple dans des discussions sur Internet ou dans une classe de philosophie. Mais tout le monde sait qu’il faut quand même payer nos factures, sans quoi on aura de grands problèmes. Le scepticisme est peut-être d’apparence sophistiquée... mais la réalité rattrape les sceptiques assez vite.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
C’est comme le relativisme moral. C’est peut-être amusant d’attaquer les certitudes absolues des uns et des autres, leur naïveté, leur absence d’autocritique, ou les failles psychologiques des personnes qui se manifestent dans leurs croyances aveuglément dogmatiques et imperméables à la critique.

Mais c’est moins drôle quand on voit que des gens qu’on aime sont persécutés par des brutes ou des escrocs qui ne croient en rien sauf le pouvoir et l’argent, et que logiquement le relativisme moral s’interdit de condamner.
 
A

AncienMembre

Non connecté
@Ebion :
Voici pourquoi les intuitionnistes adoptent le principe : non(non(A)) est différent de A, et rejettent sa version classique :
Voici un exemple de la vie quotidienne :
A = Mon pantalon est de couleur blanche.
Donc :
non( A) = B = Mon pantalon n'est pas de couleur blanche, mais verte.
D'où :
non (non(A)) = non (B) = Mon pantalon n'est pas de couleur verte, mais de couleur maron.
Par conséquent, on voit bien que : non (non(A)) est différent de A.
:)
 

funambule1

Sur la corde vitale
@Ebion :
Voici pourquoi les intuitionnistes adoptent le principe : non(non(A)) est différent de A, et rejettent sa version classique :
Voici un exemple de la vie quotidienne :
A = Mon pantalon est de couleur blanche.
Donc :
non( A) = B = Mon pantalon n'est pas de couleur blanche, mais verte.
D'où :
non (non(A)) = non (B) = Mon pantalon n'est pas de couleur verte, mais de couleur maron.
Par conséquent, on voit bien que : non (non(A)) est différent de A.
:)
Il y a un glissement dans ce raisonnement au niveau des référentiels et même une erreur d'extension par induction
Mon pantalon est de couleur blanche est un élément et non un ensemble.
Que veut dire non(élément) ?
Reprend le raisonnement avec l'ensemble des pantalons et des sous ensembles (partition modulo) la couleur.
En fait pour rejoindre la théorie des logiques non duales, il faut introduire les probabilités.
Ton pantalon reste comme il est, il ne change pas de couleur comme un caméléon ...
 
A

AncienMembre

Non connecté
Il y a un glissement dans ce raisonnement au niveau des référentiels et même une erreur d'extension par induction
Mon pantalon est de couleur blanche est un élément et non un ensemble.
Ok.
Que veut dire non(élément) ?
Reprend le raisonnement avec l'ensemble des pantalons et des sous ensembles (partition modulo) la couleur.
Pour l'ensemble des pantalons, il s'agit d'un singleton : { P }.
Pour l'ensemble de ses parties, on a : P({P }) = { vide , {P} }. Non ?
En fait, je ne saisis pas bien ici la notion modulo une partition. Tu peux me l'expliquer stp ?
En fait pour rejoindre la théorie des logiques non duales, il faut introduire les probabilités.
Je ne sais pas ce que c'est que logique duale. Est ce que ça a un lien avec notre problème, celui de trouver un exemple simple de la vie quotidienne où non(non(A)) est différent de A. Je n'ai pas envie de compliquer les choses avec l'introduction d'autres notions comme la probabilité ... etc :)
Ton pantalon reste comme il est, il ne change pas de couleur comme un caméléon ...
Oui, je vois où se trouve l'erreur dans ce que j'ai dit. Merci.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
@Ebion :
Voici pourquoi les intuitionnistes adoptent le principe : non(non(A)) est différent de A, et rejettent sa version classique :
Voici un exemple de la vie quotidienne :
A = Mon pantalon est de couleur blanche.
Donc :
non( A) = B = Mon pantalon n'est pas de couleur blanche, mais verte.
D'où :
non (non(A)) = non (B) = Mon pantalon n'est pas de couleur verte, mais de couleur maron.
Par conséquent, on voit bien que : non (non(A)) est différent de A.
:)

Bonjour,

Dire que B = mon pantalon est de couleur verte, c’est dire quelque chose de différent de non(A) = mon pantalon n’est pas de couleur blanche.

Plus exactement, B n’est qu’un élément de l’ensemble formé par non(A).

Platon a proposé un sophisme un peu comme ça dans le Phédon pour « prouver » la vie après la mort. Il dit que dans un changement quelconque, une chose vient de son contraire. Ce qui devient chaud était froid. Ce qui devient clair était obscur, ce qui devient grand était petit, etc. Or, qu’est-ce que le contraire de la vie? La mort. Ce qui est vivant meurt. Mais pour la même raison, ce qui est vivant vient de ce qui est mort, donc on est censés revivre. Et Platon adhère aussi à un temps cyclique où les contraires se transforment éternellement en leurs contraires.
 

funambule1

Sur la corde vitale
Ok.

Pour l'ensemble des pantalons, il s'agit d'un singleton : { P }.
Pour l'ensemble de ses parties, on a : P({P }) = { vide , {P} }. Non ?
En fait, je ne saisis pas bien ici la notion modulo une partition. Tu peux me l'expliquer stp ?

Je ne sais pas ce que c'est que logique duale. Est ce que ça a un lien avec notre problème, celui de trouver un exemple simple de la vie quotidienne où non(non(A)) est différent de A. Je n'ai pas envie de compliquer les choses avec l'introduction d'autres notions comme la probabilité ... etc :)

Oui, je vois où se trouve l'erreur dans ce que j'ai dit. Merci.
Partition
P = Ensemble des pantalons "regroupés" en sous ensembles de même couleur P =(Pb) U (Pr) U (Pv) U (Pbl) U (....), avec blanc, rouge, vert, bleu, etc ... et U pour la réunion.
((Pi) et (Pj)) vide et au sens de l'intersection, cela quelque soit i et quelque soit j
 
Dernière édition:

Sharm

لَا يَحِيقُ ٱلْمَكْرُ ٱلسَّيِّئُ إِلَّا بِأَهْلِهِ
VIB
Partition
P = Ensemble des pantalons "regroupés" en sous ensembles de même couleur P =(Pb) U (Pr) U (Pv) U (Pbl) U (....), avec blanc, rouge, vert, bleu, etc ... et U pour la réunion.
((Pi) et (Pj)) vide et au sens de l'intersection, cela quelque soit i et quelque soit j

Je fais mon relou, avec i # j.

212512
 

funambule1

Sur la corde vitale
blaguant et pinaillant ...

Yep le dièse n'est pas le signe "différent de" ;)
i n'est pas j tant que l'ensemble des indices n'est pas défini, ni spécifiés variant de ... à ... nécessitant un ordre ...
Ensembles finis, dénombrables, de sraoual 9andrissa pour s'aérer, pas de bicolores, ou zid ou zid ...
 
Dernière édition:

Sharm

لَا يَحِيقُ ٱلْمَكْرُ ٱلسَّيِّئُ إِلَّا بِأَهْلِهِ
VIB
blaguant et pinaillant ...

Yep le dièse n'est pas le signe "différent de" ;)
i n'est pas j tant que l'ensemble des indices n'est pas défini, ni spécifiés variant de ... à ... nécessitant un ordre ...
Ensembles finis, dénombrables, de sraoual 9andrissa pour s'aérer, pas de bicolores, ou zid ou zid ...

En effet dièse n'est pas le signe "différent de", mais c'est le signe le plus proche de "différent de" que j'ai sur le clavier. La preuve tu l'as compris :p

L'ensemble des indices I est omis, et c'est généralement un sous-ensemble de N. Ici I = {b, r, v, bl,...}. i et j décrivent tout I (quelque soit i et j), et donc forcément, l'intersection entre Pi et Pj n'est pas vide si i = j. S'il existe des sources sur l'utilisation d'indices décrivant le même ensemble sans risque que i = j, je suis preneur.

Des fois on peut formuler la règle mathématique en français sans se mouiller avec les symboles. La dernière condition peut être reformulée en : Les sous ensembles de P sont deux à deux disjoints, o ha 7n khrojna men baba wasse3 :D
 

funambule1

Sur la corde vitale
Prend donc cette formulation :
Soit K l'ensemble des indices, tandis que i parcoure K, j parcoure K\(i)
C'est ce que font les programmeurs simplement en utilisant une double boucle
Autres formulations, au lieu de celles ensemblistes extensives passer par celles intensives fonctionnelles en utilisant les fonctions caractéristiques.

L'important c'est le concept et dire que Pi Inter Pj est vide (condition) alors nécessairement i et différent de j ...

Yep c'est parfois le problème de l'écriture symbolique mathématique, avec un code page azerty, sans disposer des symboles sous la main
 
A

AncienMembre

Non connecté
Bonsoir à tous,

1 - Comment peut-on qualifier une personnalité ayant les caractéristiques suivantes :
  • L'état d’âme de cette personnalité ayant un niveau de certitude 100% que l'ensemble des connaissances qu'elle a acquise sont à 100 % fiables. L'état d’âme est en parfaite certitude et confiante en elle. Absence de fatigue au niveau mentale due aux intrigues, hésitation et déraisonnabilité en cherchant par la pensée à atteindre la vérité.
  • Le cumul du savoir et des connaissances acquises instantanément par cette personnalité sont reçus avec un état de certitude atteignant 100 % de degré. C'est à dire, absence totale de doutes. Ce qui entraîne une personnalité forte de caractère, pertinente, flexible et agile, ne doute jamais dans ses prises de décisions, n'hésite pas dans ces attitudes. Réflexes rapides. Très confiant en lui.
2 - Quel courant de théorie de la connaissance ou épistémologique adopte ses principes ci-dessus, de certitude totale dans l'acquisition du savoir en le mettant en épreuve ?

3 - Est ce qu'il est possible d'atteindre ces deux caractéristiques décrites çi dessus en meme temps et comment ?

Merci d'avance.

bonjour Bryan,
je vois que tu recherches depuis longtemps des vérités ultimes et que tu cherches à systématiser d'une manière presque scientifique le domaine que tu as le plus de mal à comprendre, à savoir la psychologie d'une personne. Cela te cause sans doute de l'anxiété de ne pouvoir modéliser même ce fait là, je comprends mieux ta fascination pour les maths :)
 

origami

Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ?
VIB
bonjour Bryan,
je vois que tu recherches depuis longtemps des vérités ultimes et que tu cherches à systématiser d'une manière presque scientifique le domaine que tu as le plus de mal à comprendre, à savoir la psychologie d'une personne. Cela te cause sans doute de l'anxiété de ne pouvoir modéliser même ce fait là, je comprends mieux ta fascination pour les maths :)
Les MP:D

Sinon tu va déterrer tous les vieux sujets 😅
 

origami

Et sinon, tu as d'autres projets dans la vie ?
VIB
elle est chercheuse, elle sait ce qu'elle fait
là à cet instant, elle recherche le génie qui pourrait bien se cacher en lui, génie djinn math autisme, tt cela semble rimer
hâte de découvrir le diagnostic final
Oui mais remonter un sujet pour dire "Cool tu aime bien les maths" , elle peut aussi aller directement en MP :D
 
A

AncienMembre

Non connecté
non ce n'est pas cela le but.
Relisez bien le post numéro 1 à l'origine de ce fil, très parlant
Les réponses d'Ebion sont intéressantes aussi, tout comme le dialogue entre Ebion et Ryan, et les discussions avec les autres bladinautes qui s'y connaissent en math.
nous avons en tous cas un bon corpus de textes rédigés par Bryan qui nous permettent de voir le cheminement de sa pensée.
A propos, il est très modeste, mais il maîtrise remarquablement bien la langue française pour un garçon qui n'a jamais quitté le Maroc.
 
A

AncienMembre

Non connecté
elle est chercheuse, elle sait ce qu'elle fait
là à cet instant, elle recherche le génie qui pourrait bien se cacher en lui, génie djinn math autisme, tt cela semble rimer
hâte de découvrir le diagnostic final

Elle est pas médecin.

Conseil amical, méfie toi d'elle ; )
 
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