Difkoum
Anti sioniste et khawa khawa.
Un bras de fer oppose cette faculté de 13.000 étudiants aux salafistes depuis le 28 novembre. Habib Kazdaghli a reçu le soutien de nombreux universitaires étrangers et des professeurs et juristes.
L'affaire fait scandale en Tunisie depuis plusieurs mois. Déjà reporté une fois, le procès du doyen d'une faculté tunisienne accusé d'avoir agressé une étudiante en niqab, aura lieu jeudi au tribunal de La Manouba, dans la banlieue de Tunis.
Habib Kazdaghli, doyen de la faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba, Kazdaghli est poursuivi pour "acte de violence commis par un fonctionnaire dans l'exercice de ses fonctions", un délit passible de cinq ans de détention. Ces faits remontent au mois de mars, lorsque deux étudiantes portant le voile intégral ont mis à sac son bureau, selon lui. L'une d'entre elles, qui avait été exclue de la faculté pour avoir porté le niqab en salle de cours, accuse l'universitaire de l'avoir giflée.
Tollé en Tunisie
"Je souhaite que ce dossier soit classé le plus tôt possible car il use l'énergie des universitaires qui sont censés s'occuper d'autres choses en ce moment plus importantes pour le pays", avait déclaré M. Kazdaghli fin octobre, qui avait accusé la mouvance salafiste jihadiste d'être à l'origine de ses déboires judicaires.
"Les personnes qui ont intenté ce procès contre moi, ce sont les mêmes qui se sont attaquées aux artistes, se sont attaqués aux journalistes, se sont attaqués à l'ambassade américaine" le 14 septembre, avait-il indiqué. Les poursuites contre le doyen ont déclenché un tollé en Tunisie et lancé un débat sur l'autorisation ou non du voile intégral durant les cours dans les universités.
Source sur TF1 News : Tunisie : procès du doyen d'une fac accusé par une femme en niqab
L'affaire fait scandale en Tunisie depuis plusieurs mois. Déjà reporté une fois, le procès du doyen d'une faculté tunisienne accusé d'avoir agressé une étudiante en niqab, aura lieu jeudi au tribunal de La Manouba, dans la banlieue de Tunis.
Habib Kazdaghli, doyen de la faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba, Kazdaghli est poursuivi pour "acte de violence commis par un fonctionnaire dans l'exercice de ses fonctions", un délit passible de cinq ans de détention. Ces faits remontent au mois de mars, lorsque deux étudiantes portant le voile intégral ont mis à sac son bureau, selon lui. L'une d'entre elles, qui avait été exclue de la faculté pour avoir porté le niqab en salle de cours, accuse l'universitaire de l'avoir giflée.
Tollé en Tunisie
"Je souhaite que ce dossier soit classé le plus tôt possible car il use l'énergie des universitaires qui sont censés s'occuper d'autres choses en ce moment plus importantes pour le pays", avait déclaré M. Kazdaghli fin octobre, qui avait accusé la mouvance salafiste jihadiste d'être à l'origine de ses déboires judicaires.
"Les personnes qui ont intenté ce procès contre moi, ce sont les mêmes qui se sont attaquées aux artistes, se sont attaqués aux journalistes, se sont attaqués à l'ambassade américaine" le 14 septembre, avait-il indiqué. Les poursuites contre le doyen ont déclenché un tollé en Tunisie et lancé un débat sur l'autorisation ou non du voile intégral durant les cours dans les universités.
Source sur TF1 News : Tunisie : procès du doyen d'une fac accusé par une femme en niqab