Tunisienne violée : « Je n'ai jamais pensé à renoncer »

Cette jeune tunisienne a vécu un calvaire. Violée par deux policiers dans la nuit du 3 au 4 septembre 2012, elle a ensuite été poursuivie pour « atteinte à la pudeur ». Victime, elle s’est retrouvée sur le banc des accusés. Si son procès a abouti à un non-lieu, elle se sent aujourd’hui « rejetée de la part d'une frange de la société ». Dimanche, celle qui se fait appeler Meriem pour préserver son anonymat, s’est confiée à « La Voix du Nord ». Dans une longue interview, elle revient sur son combat contre la justice tunisienne. « C'était très, très difficile, surtout le regard des autres mais je n'ai jamais pensé à renoncer », explique-t-elle. Si Meriem dit « adorer son pays », elle ajoute : « J'ai peur de rester ici, peur de représailles des familles de mes agresseurs aussi. Je veux quitter mon pays pour tourner la page et avoir une nouvelle vie. Oui, je me sens encore condamnée à vivre au ban de la société à cause du regard des autres. »

Combattre les violences faites aux femmes en Tunisie

Pour se reconstruire, Meriem a raconté son histoire dans un livre *. Elle souhaite poursuivre son combat pour les droits des femmes. « J'ai très envie de mener un combat pour défendre la condition de la femme dans les pays arabes parce que vous n'avez pas la moindre idée combien la femme arabe souffre tous les jours et comment elle est traitée. Je rêve que cela cesse un jour, que la femme soit traitée en tant qu'être humain, égale à l'homme », confie-t-elle à « La Voix du Nord ». Malgré sa détermination, la jeune femme reste pessimiste. « Je ne crois pas qu'un jour, la Tunisie parvienne à s'orienter vers une démocratie plus libre. Tant que les islamistes seront au pouvoir, les préjugés ne vont pas devenir moins sensibles. C'est une question de mentalités et de traditions. Et c'est très difficile de changer tout ça », conclut-elle.

* « Coupable d'avoir été violée. Femmes en Tunisie : liberté en péril », de Meriem Ben Mohamed, avec Ava Djmashidi. Éditions Michel Lafon. 284 pages. 16,95 euros. Sortie le 25 avril.

http://www.elle.fr/Societe/News/Tunisienne-violee-Je-n-ai-jamais-pense-a-renoncer-2427947
 
En Tunisie, la femme n'est pas moins traitée que dans la très grande majorité des pays du monde.
Connaissant bien les femmes tunisienne, je dirais meme qu'elles sont des femmes dominantes qui tirent leurs maris par le nez.
Certaines veulent se faire de la pub pour en tirer des profits!
Sans oublier que ces femmes sont des grandes profiteuses, elle sucent leurs maris, leurs fiancés jusqu'à l'os!
 
Certain que beaucoup de choses sont à ameliorer en Tunisie et ailleurs.

Mais, les Tunisiennes et les Egyptiennes ont decouvert la bone recette.
 
En Tunisie, la femme n'est pas moins traitée que dans la très grande majorité des pays du monde.
Connaissant bien les femmes tunisienne, je dirais meme qu'elles sont des femmes dominantes qui tirent leurs maris par le nez.
Certaines veulent se faire de la pub pour en tirer des profits!
Sans oublier que ces femmes sont des grandes profiteuses, elle sucent leurs maris, leurs fiancés jusqu'à l'os!
le rapport avec le viol?
 
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La voilée qui dit : " honte à vous les femens, le voile est mon droit "

Et la Femen sur le voile intégral de la voilée : " au moins ils vous ont laissé vos yeux " .
 

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La voilée qui dit : " honte à vous les femens, le voile est mon droit "

Et la Femen sur le voile intégral de la voilée : " au moins ils vous ont laissé vos yeux " .

la majorité des femmes se trouvent au milieu, tu choisie de montrer une minorité.
si t'aimes bien tant mieux pour toi
 
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