Un ex-général accusé de propos antisémites

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Le parquet de Paris a indiqué vendredi avoir ouvert une enquête concernant un ex-général, Dominique Delawarde, signataire de la tribune dite « des généraux », accusé d’avoir proféré des propos antisémites​

« La communauté que vous connaissez bien »​

Vendredi, sur Cnews, le communicant Claude Posternak lui a demandé « qui contrôle » cette « meute ».

À la retraite depuis les milieux des années 2010, le général sourit : « Vous savez bien qui contrôle la meute médiatique dans le monde et en France ». « Qui contrôle le Washington Post, le New York Times, chez nous BFMTV et tous les journaux qui viennent se grouper autour, qui sont ces gens… ? », fait mine de s’interroger l’ex-militaire.

« Qui ? », insiste M. Posternak. « C’est la communauté que vous connaissez bien », répond M. Delawarde.

« On va pas partir là-dessus, on va arrêter là mon général, je suis désolé », a immédiatement coupé l’animateur de l’émission, Jean-Marc Morandini. « On ne peut pas laisser dire ça sur l’antenne, je suis désolé, on coupe, on enlève le général ».

 
Quand on est dans un rôle d’influenceur : informateur, il est très difficile de sortir d’une vulgate ancienne qu’on sait fausse, (Surtout si sur le moment on l’a validée), sans sacrifier la dénonciation vitale des nouvelles arnaques présentes et à venir.

Pour un gars comme Dominique Delawarde entamer une polémique sur un sujet qui domine les médias mainstream c’est fusiller tous les sujets actuels brûlants sur lesquels il enquête. Du moins c’est mon avis sur le sujet.
 

Le parquet de Paris a indiqué vendredi avoir ouvert une enquête concernant un ex-général, Dominique Delawarde, signataire de la tribune dite « des généraux », accusé d’avoir proféré des propos antisémites​

« La communauté que vous connaissez bien »​

Vendredi, sur Cnews, le communicant Claude Posternak lui a demandé « qui contrôle » cette « meute ».

À la retraite depuis les milieux des années 2010, le général sourit : « Vous savez bien qui contrôle la meute médiatique dans le monde et en France ». « Qui contrôle le Washington Post, le New York Times, chez nous BFMTV et tous les journaux qui viennent se grouper autour, qui sont ces gens… ? », fait mine de s’interroger l’ex-militaire.

« Qui ? », insiste M. Posternak. « C’est la communauté que vous connaissez bien », répond M. Delawarde.

« On va pas partir là-dessus, on va arrêter là mon général, je suis désolé », a immédiatement coupé l’animateur de l’émission, Jean-Marc Morandini. « On ne peut pas laisser dire ça sur l’antenne, je suis désolé, on coupe, on enlève le général ».

Le problème est là. Le délit de blasphème n'existe pas en France et donc dans ce domaine tout est permis, mais critiquer le sionisme est interdit ce qui montre l'infiltration de la République par Sion et la maçonnerie. La liberté d'expression s'arrête quand on parle et on dit des vérités à leur encontre.
 


« On va pas partir là-dessus, on va arrêter là mon général, je suis désolé », a immédiatement coupé l’animateur de l’émission, Jean-Marc Morandini. « On ne peut pas laisser dire ça sur l’antenne, je suis désolé, on coupe, on enlève le général ».


dixit, le type qui est accusé de plusieurs viols et attouchements ...Et qui squatte encore les plateaux tv
 
Quand on est dans un rôle d’influenceur : informateur, il est très difficile de sortir d’une vulgate ancienne qu’on sait fausse, (Surtout si sur le moment on l’a validée), sans sacrifier la dénonciation vitale des nouvelles arnaques présentes et à venir.

Pour un gars comme Dominique Delawarde entamer une polémique sur un sujet qui domine les médias mainstream c’est fusiller tous les sujets actuels brûlants sur lesquels il enquête. Du moins c’est mon avis sur le sujet.


ça fait plaisir d'entendre des vérités de la bouche de ce général, "vérités" que morandini qualifie de "surréalistes" mdr
 
Le problème est là. Le délit de blasphème n'existe pas en France et donc dans ce domaine tout est permis, mais critiquer le sionisme est interdit ce qui montre l'infiltration de la République par Sion et la maçonnerie. La liberté d'expression s'arrête quand on parle et on dit des vérités à leur encontre.
Quand ce sont eux qui l’affirment dans le Times of Israël ça pose pas de problème apparemment… Qu’en dirait le Crif.?


https://archive.is/Vpb6A
 
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