Un lycéen se suicide près de son école à Evry

miasssa

Fiona aka Habouba
VIB
Un lycéen de 16 ans s’est donné la mort en se pendant jeudi midi sur le chemin entre son domicile, à Evry, et son lycée de Courcouronnes (Essonne)


Le jeune garçon, scolarisé en seconde au lycée Georges-Brassens de Courcouronnes, a été retrouvé jeudi, vers 12H30, pendu à un arbre, entre son domicile dans le quartier des Pyramides à Evry et son lycée.

Le proviseur de l’établissement avait signalé l’absence de cet élève en cours jeudi matin. Le jeune garçon aurait auparavant déjà manifesté son intention de se donner la mort. Le commissariat d’Evry est chargé de l’enquête.

source : http://www.leprogres.fr/actualite/2012/01/05/un-lyceen-se-suicide-pres-de-son-lycee-a-evry

:(
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
hier ou avant hier au Jt ils ont parlé d'une jeune fille de 12 ans qui s'est suicidée aussi avec le fusil de chasse de son père..c'est quoi ce monde o_O
 

Naveen

VIB
Miskine, ça me fait de la peine.

Probablement des difficultés vis-à-vis de ses camarades de classe. Souvent malheureusement le personnel de la scolarité ne prend pas au sérieux l'importance du harcèlement par exemple, ou des conséquences que cela peut avoir à court et long terme.

Ou n'ébruitent pas certaines affaires de manière à ne pas nuire à la réputation de l'établissement.

C'est triste pour ce jeune homme :(.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
On le saura surement jamais... : (



Ca fait peur, je te jure...
parce que la societé n'épargne plus personne

http://www.leprogres.fr/actualite/2...e-suicide-avec-le-fusil-de-chasse-de-son-pere

«A notre connaissance, c’était une élève qui n’était pas victime de harcèlement», a confirmé à l’AFP aux abords de l’établissement Pascal Decaix, le principal du collège Jean-Jaurès de Lens où la jeune fille était scolarisée.
Selon lui, la collégienne ne se s’est jamais plainte de harcèlement ou de violences auprès des adultes de l’établissement.
Il avait rencontré la mère de l’adolescente début décembre, laquelle n’a pas évoqué de plainte de sa fille de cet ordre.
«Nous sommes actuellement dans la douleur, qu’on partage avec celle des familles», a déclaré M. Decaix, qui évoque «un drame qui endeuille l’ensemble de la communauté éducative: nous somme sous le choc». Une cellule psychologique a été mise en place au collège.
«Elle avait certainement un mal-être qui n’était pas d’origine scolaire», a ajouté le principal, avant de décrire une élève qui avait «des résultats honorables mais perfectibles» et qui était suivie par une assistante sociale, comme d’autres élèves de l’établissement.
 
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