amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
La justice espagnole a décidé de rouvrir lenquête concernant le cas dun ressortissant marocain, Ahmed Tommouhi, condamné (ainsi quun autre compatriote, Abderrazak Mounib, décédé en prison) à 100 ans de prison dans une affaire de viol jamais prouvée et qui remonte à 1991.
Cest un ressortissant espagnol, Manuel Borraz, qui a saisi la justice il y a deux mois, après avoir lu un livre-enquête consacré à ce cas, proposant au tribunal de prendre en considération une preuve ADN, laissée de côté et qui pourrait innocenter M. Tommouhi.
Ces analyses ADN qui seraient toujours conservées à lInstitut de Toxicologie de Madrid, pourraient identifier lun des présumés auteurs de ces viols, un Espagnol Antonio Garcia Carbonell habitué des bancs des accusés poursuivis à plusieurs reprises pour viols et agressions sexuelles.
Natif de Nador, Ahmed Tommouhi, en liberté conditionnelle depuis 2007, a toujours refusé de demander la grâce, clamant son innocence et exigeant son acquittement et sa réhabilitation. Il refuse de revenir au Maroc pour voir sa famille tant que sa réputation na pas été réhabilitée.
Dans un livre-enquête intitulé Condamnés pour leur visage, le journaliste espagnol Braulio Garcia Jaén relate comment toute cette affaire a été bâclée et comment la justice espagnole a refusé, malgré toutes les preuves, de reconnaître son erreur.
Aufait.com
Cest un ressortissant espagnol, Manuel Borraz, qui a saisi la justice il y a deux mois, après avoir lu un livre-enquête consacré à ce cas, proposant au tribunal de prendre en considération une preuve ADN, laissée de côté et qui pourrait innocenter M. Tommouhi.
Ces analyses ADN qui seraient toujours conservées à lInstitut de Toxicologie de Madrid, pourraient identifier lun des présumés auteurs de ces viols, un Espagnol Antonio Garcia Carbonell habitué des bancs des accusés poursuivis à plusieurs reprises pour viols et agressions sexuelles.
Natif de Nador, Ahmed Tommouhi, en liberté conditionnelle depuis 2007, a toujours refusé de demander la grâce, clamant son innocence et exigeant son acquittement et sa réhabilitation. Il refuse de revenir au Maroc pour voir sa famille tant que sa réputation na pas été réhabilitée.
Dans un livre-enquête intitulé Condamnés pour leur visage, le journaliste espagnol Braulio Garcia Jaén relate comment toute cette affaire a été bâclée et comment la justice espagnole a refusé, malgré toutes les preuves, de reconnaître son erreur.
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