Un navire russe bloqué dans l'Antarctique attend du secours
Le brise-glace chinois qui devait porter secours au navire scientifique russe bloqué depuis mardi par les glaces en Antarctique a dû faire demi-tour, et les 74 scientifiques, touristes et membres d'équipage à bord de l'Akademik Shokalskiy placent désormais leur espoir dans un brise-glace australien, attendu dimanche.
Le Snow Dragon est pourtant arrivé tout près du navire russe, immobilisé depuis mardi à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville. Mais, alors qu'il ne se trouvait plus qu'à 6,5 milles nautiques de son but, il a dû renoncer et faire demi-tour, ne pouvant venir à bout de la glace trop épaisse, ont annoncé samedi les autorités maritimes australiennes.
Reproduction d’une expédition historique
«Le navire chinois a malheureusement rencontré de la glace épaisse qu'il n'est pas capable de briser (et) a fait demi-tour», a indiqué à l'AFP Andrea Hayward-Maher, porte-parole de l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), qui coordonne les opérations de secours.
Depuis que le navire russe est bloqué, trois bâtiments ayant la capacité de briser la glace, le Snow Dragon chinois, le navire français L'Astrolabe et le navire australien Aurora Australis, se sont dirigés vers la zone pour tenter de lui porter secours.
A bord de l'Akademik Shokalskiy se trouvent des scientifiques et des touristes qui reproduisent l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle (1911-1914) par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson.
Ils effectuent les mêmes expériences scientifiques que celles qu'avait alors menées l'expédition de Mawson.
20 mn
mam
Le brise-glace chinois qui devait porter secours au navire scientifique russe bloqué depuis mardi par les glaces en Antarctique a dû faire demi-tour, et les 74 scientifiques, touristes et membres d'équipage à bord de l'Akademik Shokalskiy placent désormais leur espoir dans un brise-glace australien, attendu dimanche.
Le Snow Dragon est pourtant arrivé tout près du navire russe, immobilisé depuis mardi à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville. Mais, alors qu'il ne se trouvait plus qu'à 6,5 milles nautiques de son but, il a dû renoncer et faire demi-tour, ne pouvant venir à bout de la glace trop épaisse, ont annoncé samedi les autorités maritimes australiennes.
Reproduction d’une expédition historique
«Le navire chinois a malheureusement rencontré de la glace épaisse qu'il n'est pas capable de briser (et) a fait demi-tour», a indiqué à l'AFP Andrea Hayward-Maher, porte-parole de l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), qui coordonne les opérations de secours.
Depuis que le navire russe est bloqué, trois bâtiments ayant la capacité de briser la glace, le Snow Dragon chinois, le navire français L'Astrolabe et le navire australien Aurora Australis, se sont dirigés vers la zone pour tenter de lui porter secours.
A bord de l'Akademik Shokalskiy se trouvent des scientifiques et des touristes qui reproduisent l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle (1911-1914) par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson.
Ils effectuent les mêmes expériences scientifiques que celles qu'avait alors menées l'expédition de Mawson.
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