Une djihadiste incarcérée en France après avoir été expulsée de Turquie avec ses quatre enfants

Une Française, qui avait rejoint la Syrie en 2014 avec deux enfants, a été mise en examen et incarcérée le 13 août en France après son expulsion par la Turquie, a-t-on appris ce mardi 24 août auprès du parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information du Parisien.

Lolita C. a été mise en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et « soustraction d’un parent à ses obligations légales », puis placée en détention provisoire, a indiqué le Pnat. Ses quatre enfants, dont deux sont nés en Syrie, ont été confiés à l’Aide sociale à l’enfance (Ase), a-t-il précisé.

Lolita C., 32 ans, avait été expulsée de Turquie le 10 août avec ses enfants, dans le cadre du protocole Cazeneuve. Selon Le Parisien, la jeune femme, originaire de Rennes et convertie à l’islam en 2009, s’était installée en Syrie à l’été 2014 avec ses deux garçons. Sur place, elle avait épousé religieusement Lakhdar Sebouai, membre de la filière strasbourgeoise qui avait rejoint les rangs du groupe État islamique en décembre 2013.

Surnommé Abu Ali al Faransi et proche de membres des commandos du 13 novembre 2015, il est soupçonné d’avoir commandité un attentat déjoué en 2016 en région parisienne. Les trois hommes qui devaient réaliser cet attentat ont été condamnés en février par la cour d’assises spéciale à des peines de 22 à 30 ans de réclusion criminelle, assorties d’une période de sûreté des deux tiers.

Après la chute du groupe État islamique en 2019, Lolita C. a été détenue dans le camp sous contrôle kurde d’Aïn Issa, dans le nord de la Syrie, selon le Parisien. Elle s’en est échappée quelques mois après, à la faveur du chaos provoqué par l’offensive militaire turque dans cette région.

Installée à la frontière turque, elle s’est rendue « huit mois plus tard » et a été expulsée vers la France après « un an de captivité », précise le quotidien.

Depuis 2014, près de 300 personnes ont été renvoyées en France depuis la Turquie, en vertu du « protocole Cazeneuve », accord de coopération entre les deux pays portant le nom de l’ex-ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, pour organiser le retour sur le territoire des djihadistes français qui sont entre les mains des autorités turques.
 
si ces kons de djihadistes faisait explosés les ministres et leur familles les peines seraient +++ lourdes mais comme ces kons de djihadistes tuent que des innocents des gens du peuple qui ont rien demandés ben ils sont reçue comme des pachas

à croire que les gouvernement ont inventé les djihadistes et comme pas assez de morts ils ont inventé le covid et le vaccin
 
Je suis pourtant très gentil, large d'esprit et compréhensif à propos de plein de sujets, mais ce genre de traître .... contre un mur, peloton d'exécution et fosse commune.
12 balles coûtent moins cher que d'avoir à supporter l'entretien à vie de ces pourritures.
 
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