Une dame âgée dit : Allah m’a donné trois fils qui sont mariés, alors un jour j’ai rendu visite au plus grand, et je devais y passer la nuit. Le matin au réveil, j’ai demandé à ma belle-fille de m’apporter un peu d’eau pour faires mes ablutions. Une fois faites, j’ai versé le reste de l’eau dans le lit sur lequel j’avais passé la nuit.
Quand la belle-fille m’a apporté le thé, je lui ai dit : Ma fille, ce sont des choses qui peuvent arriver aux personnes âgées, et je lui ai dit que j’avais fait pipi au lit. Alors j’ai vu de la colère et du dégoût dans son visage, et a quitté la chambre. Alors là dame âgée dit : J’ai fait semblant d’être gênée et j’ai lavé les draps du lit.
Puis je suis parti rendre visite à mon deuxième fils, et j’ai fait la même chose, et la belle-fille aussi, elle en a même parlé à mon fils qui ne lui a rien dit.
Puis je me suis rendu vers le dernier fils, le plus petit, et j’ai refait encore la même chose, et quand la belle-fille du dernier m’a servi le petit déjeuner et que je lui ai dit que j’avais fait pipi au lit. Elle m’a dit : Mère, ne t’en occupes pas, ce sont des choses qui peuvent arriver à des personnes âgées, combien de fois avons-nous fait pipi sur vos vêtements étant petits, elle a pris les draps, les a lavés, parfumés…
La belle mère lui dit : Ma fille, j’ai une amie qui m’a confié son argent pour que j’achète à sa fille une parure et une bague en or, pour la parure ça ira, mais pour la bague comme je n’ai pas sa taille de doigt et il me semble que vous avez à peu près la même taille sa fille et toi, dis-moi quelle est la taille de ton doigt, je pense que ça fera l’affaire. La belle mère s’est rendue chez le bijoutier et acheté de l’or avec tout l’argent qu’elle avait, et elle en avait pas mal.
Elle a ensuite invité ses trois fils avec leurs épouses chez elle, et leur a raconté la vérité concernant l’eau du lit, et a mis tout l’or qu’elle avait acheté sur les mains et autour du cou de la belle-fille de son petit dernier, et elle a dit : ça c’est ma petite fille, et c’est chez elle que j’irai lorsque je serais vieillissante, puis s’est tournée vers ses deux autres fils et leurs épouses et leur a dit : Ce que vous avez fait avec moi, c’est ce que vos enfants vous feront, préparez-vous à regretter tout comme je regrette aujourd’hui, et voilà ce que vous avez évité à vos épouses lorsque vous ne leur avez pas appris l’importance d’une mère.
Il y’a au moins 10 morales dans cette histoire :
1- Parmi les grandes injustices sociales, c’est de chercher pour une femme vertueuse pour un fils égaré.
2- Lorsque la société accorde plus d’importance aux concepts qu’au Haram, il ne faut pas s’étonner d’un homme qui ne prie pas, alors qu’il exige une femme voilée.
3- L’ignorant n’est pas celui qui ne sait pas lire et écrire, mais celui qui connaît le sens de la prière ( Kibla ) et qui ne prie pas.
4- Trois choses ne reviennent jamais : La parole une fois sortie, Le temps une fois écoulé, et la confiance une fois perdue.
5- La vie est comme un marché, tu te balades dedans et tu choisis de prendre ce qui te plaît en fonction de ce qui est disponible, mais tu n’oublies jamais qu’après tu devras payer tout ce que tu as pris.
6- La bénédiction des parents et une histoire que tu écris toi-même, mais ce sont tes enfants qui la racontent.
7- La vraie politesse veut que tu ne demandes jamais à quelqu’un une chose dont tu sens qu’il ne veut pas t’en parler ou te montrer, car si cette personne a voulu la cacher c’est qu’en générale, elle ne te concerne pas.
8- La mort n’attendra pas que l’on soit prêt, soyons intègre et attendons-la.
9- Sais-tu ce que veut dire quand un oppressé dit : Hassbiya LLAH wa ni3ma Lwakil ? ( Allah me suffit, et il est le meilleur garant ) ? Cela veut dire qu’il a transmis le dossier de la terre vers le ciel.
10- Certains croient plus au mauvais œil ( 3ayne ) qu’ils ne croient qu’Allah est le meilleur protecteur.
Quand la belle-fille m’a apporté le thé, je lui ai dit : Ma fille, ce sont des choses qui peuvent arriver aux personnes âgées, et je lui ai dit que j’avais fait pipi au lit. Alors j’ai vu de la colère et du dégoût dans son visage, et a quitté la chambre. Alors là dame âgée dit : J’ai fait semblant d’être gênée et j’ai lavé les draps du lit.
Puis je suis parti rendre visite à mon deuxième fils, et j’ai fait la même chose, et la belle-fille aussi, elle en a même parlé à mon fils qui ne lui a rien dit.
Puis je me suis rendu vers le dernier fils, le plus petit, et j’ai refait encore la même chose, et quand la belle-fille du dernier m’a servi le petit déjeuner et que je lui ai dit que j’avais fait pipi au lit. Elle m’a dit : Mère, ne t’en occupes pas, ce sont des choses qui peuvent arriver à des personnes âgées, combien de fois avons-nous fait pipi sur vos vêtements étant petits, elle a pris les draps, les a lavés, parfumés…
La belle mère lui dit : Ma fille, j’ai une amie qui m’a confié son argent pour que j’achète à sa fille une parure et une bague en or, pour la parure ça ira, mais pour la bague comme je n’ai pas sa taille de doigt et il me semble que vous avez à peu près la même taille sa fille et toi, dis-moi quelle est la taille de ton doigt, je pense que ça fera l’affaire. La belle mère s’est rendue chez le bijoutier et acheté de l’or avec tout l’argent qu’elle avait, et elle en avait pas mal.
Elle a ensuite invité ses trois fils avec leurs épouses chez elle, et leur a raconté la vérité concernant l’eau du lit, et a mis tout l’or qu’elle avait acheté sur les mains et autour du cou de la belle-fille de son petit dernier, et elle a dit : ça c’est ma petite fille, et c’est chez elle que j’irai lorsque je serais vieillissante, puis s’est tournée vers ses deux autres fils et leurs épouses et leur a dit : Ce que vous avez fait avec moi, c’est ce que vos enfants vous feront, préparez-vous à regretter tout comme je regrette aujourd’hui, et voilà ce que vous avez évité à vos épouses lorsque vous ne leur avez pas appris l’importance d’une mère.
Il y’a au moins 10 morales dans cette histoire :
1- Parmi les grandes injustices sociales, c’est de chercher pour une femme vertueuse pour un fils égaré.
2- Lorsque la société accorde plus d’importance aux concepts qu’au Haram, il ne faut pas s’étonner d’un homme qui ne prie pas, alors qu’il exige une femme voilée.
3- L’ignorant n’est pas celui qui ne sait pas lire et écrire, mais celui qui connaît le sens de la prière ( Kibla ) et qui ne prie pas.
4- Trois choses ne reviennent jamais : La parole une fois sortie, Le temps une fois écoulé, et la confiance une fois perdue.
5- La vie est comme un marché, tu te balades dedans et tu choisis de prendre ce qui te plaît en fonction de ce qui est disponible, mais tu n’oublies jamais qu’après tu devras payer tout ce que tu as pris.
6- La bénédiction des parents et une histoire que tu écris toi-même, mais ce sont tes enfants qui la racontent.
7- La vraie politesse veut que tu ne demandes jamais à quelqu’un une chose dont tu sens qu’il ne veut pas t’en parler ou te montrer, car si cette personne a voulu la cacher c’est qu’en générale, elle ne te concerne pas.
8- La mort n’attendra pas que l’on soit prêt, soyons intègre et attendons-la.
9- Sais-tu ce que veut dire quand un oppressé dit : Hassbiya LLAH wa ni3ma Lwakil ? ( Allah me suffit, et il est le meilleur garant ) ? Cela veut dire qu’il a transmis le dossier de la terre vers le ciel.
10- Certains croient plus au mauvais œil ( 3ayne ) qu’ils ne croient qu’Allah est le meilleur protecteur.