Les "potes" à ratailleau le lèche bottes de l'entité génocidaire et xénophobe
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Laurent Caillaud, conseiller régional des Pays de la Loire et proche de Bruno Retailleau, est mort le 15 septembre dernier à Tours à l’âge de 56 ans lors d’une soirée « chemsex », qui mêle sexe et drogue, rapportent nos confrères d’Ici Tours.
À en croire les premiers éléments de l’enquête, l’élu se serait rendu à cette soirée après une rencontre sur Grindr, le site de rencontres homosexuelles. Dans l’appartement, les participants, le locataire de 51 ans et un autre homme de 30 ans, ont consommé de la MDMA, un dérivé de l’ecstasy et de la 3-MMC, une drogue de synthèse.
En 2024, lors des dernières élections législatives, le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, lui avait adressé un soutien appuyé. Quelques heures après l’annonce de son décès, le ministre a salué un homme qui avait une « proximité avec les habitants » et d’autres qualités : « Son écoute et sa volonté d’améliorer le quotidien de chacun ».
À droite comme à gauche, de nombreux élus lui ont aussi rendu hommage ce vendredi. Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet de Tours et une autopsie doit avoir lieu dans les prochains jours.
ParisMatch
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Laurent Caillaud, conseiller régional des Pays de la Loire et proche de Bruno Retailleau, est mort le 15 septembre dernier à Tours à l’âge de 56 ans lors d’une soirée « chemsex », qui mêle sexe et drogue, rapportent nos confrères d’Ici Tours.
À en croire les premiers éléments de l’enquête, l’élu se serait rendu à cette soirée après une rencontre sur Grindr, le site de rencontres homosexuelles. Dans l’appartement, les participants, le locataire de 51 ans et un autre homme de 30 ans, ont consommé de la MDMA, un dérivé de l’ecstasy et de la 3-MMC, une drogue de synthèse.
L’hommage appuyé de Bruno Retailleau
Après avoir consommé cette drogue et eu plusieurs rapports sexuels, l’élu a fait un malaise et les secours, dépêchés sur place aux alentours de 4 heures du matin n’ont pas réussi à le réanimer. D’après les premières constatations, il pourrait s’agir d’une overdose.En 2024, lors des dernières élections législatives, le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, lui avait adressé un soutien appuyé. Quelques heures après l’annonce de son décès, le ministre a salué un homme qui avait une « proximité avec les habitants » et d’autres qualités : « Son écoute et sa volonté d’améliorer le quotidien de chacun ».
À droite comme à gauche, de nombreux élus lui ont aussi rendu hommage ce vendredi. Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet de Tours et une autopsie doit avoir lieu dans les prochains jours.
ParisMatch