Une récente fusillade en plein paris ne semble inquiéter personne

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mam80

la rose et le réséda
Modérateur
L’information a été traitée par les médias comme un simple fait divers, et pourtant : la question de l’efficacité des mesures sécuritaires liées au plan Vigipirate alerte-attentat (son plus haut niveau) et de l’état d’urgence est passée sous silence !

Les faits remontent au dimanche 29 mai :
à la sortie d’une discothèque située rue de Ponthieu à Paris 8e, à quelques encablures du palais de l’Élysée, un individu armé d’une arme de poing a réglé un différend en faisant feu sur un homme de 32 ans, le blessant grièvement, puis sur un fonctionnaire de police de la brigade anti-criminalité (BAC), le blessant légèrement.
L’auteur a réussi à prendre la fuite.
Inévitablement, il convient de se poser la question suivante :
quelles leçons ont été tirées de l’attentat du Bataclan pour que, quelques mois plus tard, en plein cœur de la capitale, un homme puisse circuler librement, porteur d’une arme, et s’introduire dans un établissement de nuit ?
Le problème qu’il convient de dénoncer est que, malgré les effets d’annonce de nos dirigeants, la sécurité de nos concitoyens n’est toujours pas assurée par l’État, dont c’est une mission régalienne.


Combien de morts faudra-t-il pour que les préfets imposent une palpation systématique, voire l’installation de portiques de sécurité, à tous les établissements de nuit, sous peine de fermeture administrative ?
Combien de morts faudra-t-il pour que les mesures de bon sens, dont l’urgence n’a d’égale que l’impérieuse nécessité, soient enfin prises afin d’assurer la sécurité de nos concitoyens, en particulier lorsqu’ils souhaitent continuer à vivre le plus normalement possible, comme notre gouvernement les y encourage ?
Autant de questions qui n’ont visiblement pas effleuré l’esprit des journalistes, qui semblent nier la gravité de ce qui se passe en France.

Sébastien Jallamion Policier

mam
 
L’information a été traitée par les médias comme un simple fait divers, et pourtant : la question de l’efficacité des mesures sécuritaires liées au plan Vigipirate alerte-attentat (son plus haut niveau) et de l’état d’urgence est passée sous silence !

Les faits remontent au dimanche 29 mai :
à la sortie d’une discothèque située rue de Ponthieu à Paris 8e, à quelques encablures du palais de l’Élysée, un individu armé d’une arme de poing a réglé un différend en faisant feu sur un homme de 32 ans, le blessant grièvement, puis sur un fonctionnaire de police de la brigade anti-criminalité (BAC), le blessant légèrement.
L’auteur a réussi à prendre la fuite.
Inévitablement, il convient de se poser la question suivante :
quelles leçons ont été tirées de l’attentat du Bataclan pour que, quelques mois plus tard, en plein cœur de la capitale, un homme puisse circuler librement, porteur d’une arme, et s’introduire dans un établissement de nuit ?
Le problème qu’il convient de dénoncer est que, malgré les effets d’annonce de nos dirigeants, la sécurité de nos concitoyens n’est toujours pas assurée par l’État, dont c’est une mission régalienne.


Combien de morts faudra-t-il pour que les préfets imposent une palpation systématique, voire l’installation de portiques de sécurité, à tous les établissements de nuit, sous peine de fermeture administrative ?
Combien de morts faudra-t-il pour que les mesures de bon sens, dont l’urgence n’a d’égale que l’impérieuse nécessité, soient enfin prises afin d’assurer la sécurité de nos concitoyens, en particulier lorsqu’ils souhaitent continuer à vivre le plus normalement possible, comme notre gouvernement les y encourage ?
Autant de questions qui n’ont visiblement pas effleuré l’esprit des journalistes, qui semblent nier la gravité de ce qui se passe en France.

Sébastien Jallamion Policier

mam
Salam mam'zelle,
Bientôt la généralisation des cameras de surveillance. Non pas pour empêcher ce genre de règlement de compte, mais pour les besoins de l’enquête.
Avec des portiques etc... ils ne feront que déplacé le problème.
 
L’information a été traitée par les médias comme un simple fait divers, et pourtant : la question de l’efficacité des mesures sécuritaires liées au plan Vigipirate alerte-attentat (son plus haut niveau) et de l’état d’urgence est passée sous silence !

Les faits remontent au dimanche 29 mai :
à la sortie d’une discothèque située rue de Ponthieu à Paris 8e, à quelques encablures du palais de l’Élysée, un individu armé d’une arme de poing a réglé un différend en faisant feu sur un homme de 32 ans, le blessant grièvement, puis sur un fonctionnaire de police de la brigade anti-criminalité (BAC), le blessant légèrement.
L’auteur a réussi à prendre la fuite.
Inévitablement, il convient de se poser la question suivante :
quelles leçons ont été tirées de l’attentat du Bataclan pour que, quelques mois plus tard, en plein cœur de la capitale, un homme puisse circuler librement, porteur d’une arme, et s’introduire dans un établissement de nuit ?
Le problème qu’il convient de dénoncer est que, malgré les effets d’annonce de nos dirigeants, la sécurité de nos concitoyens n’est toujours pas assurée par l’État, dont c’est une mission régalienne.


Combien de morts faudra-t-il pour que les préfets imposent une palpation systématique, voire l’installation de portiques de sécurité, à tous les établissements de nuit, sous peine de fermeture administrative ?
Combien de morts faudra-t-il pour que les mesures de bon sens, dont l’urgence n’a d’égale que l’impérieuse nécessité, soient enfin prises afin d’assurer la sécurité de nos concitoyens, en particulier lorsqu’ils souhaitent continuer à vivre le plus normalement possible, comme notre gouvernement les y encourage ?
Autant de questions qui n’ont visiblement pas effleuré l’esprit des journalistes, qui semblent nier la gravité de ce qui se passe en France.

Sébastien Jallamion Policier

mam
Il a dit "alakbar" ou pas?
 
Au Havre aussi une fusillade, un gamin de 19 ans abattu dans un parking...
 
parce que, jusqu'à présent, tout est fait pour nous inculquer la peur.............:malade:

mam
c'est un discours ultra sécuritaire d'un policier qui lui n'est pas loin de la parano pour tenir ces propos. Non seulement à mon sens contradictoires (normalité vs impérieuse nécessité) mais surtout visant à renforcer un climat de peur et avec pour seul rempart, comme par hasard, le renforcement du pouvoir de la police avec fouilles , contrôles, ultramilitaristion de policier et toute sorte d'abus ou dérives qu'ils réclament au nom de cette peur et sa normalisaton


Combien de morts faudra-t-il pour que les préfets imposent une palpation systématique, voire l’installation de portiques de sécurité, à tous les établissements de nuit, sous peine de fermeture administrative ?
Combien de morts faudra-t-il pour que les mesures de bon sens, dont l’urgence n’a d’égale que l’impérieuse nécessité, soient enfin prises afin d’assurer la sécurité de nos concitoyens, en particulier lorsqu’ils souhaitent continuer à vivre le plus normalement possible, comme notre gouvernement les y encourage ?
Autant de questions qui n’ont visiblement pas effleuré l’esprit des journalistes, qui semblent nier la gravité de ce qui se passe en France.

Déjà, des policiers morts en boîte j'en ai jamais vu lol, et rarement des clients, les conflits se règlent en général à l'extérieur...ensuite entrer avec un AK47 en boîte sans te faire voir par la sécu c'est impossible à moins que l'indévidu déterminé, lui ne se pose mm pas se genre de question, vu qu'il commencera par eux... pour moi élever ce fait divers au rang de menace terroriste n'est qu'enfumage pour maintenir ce climat, tout comme normaliser les portiques etc....alors que l'on sait qui en France tiens tous les contrats et société d'armement, protection et de sécurité.... anciens militaires ou policiers....Et à mon sens il faudrait commencer, si on tiens vraiment à adopter ces mesures, par les école, universités, stades etc pourquoi les boîtes seraient plus visées? surtout qu'il n'y en a jamais eu pour le moment...
 
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quelles leçons ont été tirées de l’attentat du Bataclan pour que, quelques mois plus tard, en plein cœur de la capitale, un homme puisse circuler librement, porteur d’une arme, et s’introduire dans un établissement de nuit ?
Le problème qu’il convient de dénoncer est que, malgré les effets d’annonce de nos dirigeants, la sécurité de nos concitoyens n’est toujours pas assurée par l’État, dont c’est une mission régalienne.

[…]
Il faut être réaliste, c’est impossible de tout contrôler, on est pas dans la série Ghost In The Shell.

Et si l’état et la police contrôlait tout, ce sont les mêmes gens qui se plaindraient du flicage :intello: .
 
Il faut être réaliste, c’est impossible de tout contrôler, on est pas dans la série Ghost In The Shell.

Et si l’état et la police contrôlait tout, ce sont les mêmes gens qui se plaindraient du flicage :intello: .

Oui mais il y a un minimum. À part faire des assignations qui servent à rien ils font pas grand chose. On le voit tous qu'il n'y a aucune sécurité ou presque
 
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