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Une synagogue historique rouvre en Égypte après une rénovation de quatre millions de dollars
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[QUOTE="AncienMembre, post: 16554732"] Nadia Ishak, aujourd'hui âgée de 78 ans, est l'une des rares juives d'origine égyptienne qui vit toujours en Égypte depuis qu'elle est retournée dans sa patrie au début des années 2000. Elle se souvient encore de la nuit où sa famille a été arrêtée par la police. « J'étais très jeune, les souvenirs s'effacent année après année. Tout ce dont je me souviens, c'est qu'on a frappé à la porte, qu'un officier de police nous a dit de prendre nos vêtements, et de l'odeur de la nuit et du petit matin lorsque nous sommes montés à l'arrière du camion avec les policiers. » « Mon père et ma mère ont quitté la France pour échapper à la menace de la guerre en 1909, mais les conséquences d'une autre guerre nous ont poursuivis dans un autres pays. » Nadia Ishak et les membres de sa famille ont été placés en détention pendant 50 jours avec des centaines d'autres familles. Lorsqu'ils ont été relâchés, on leur a laissé un mois pour quitter le pays. On les accusait d'être sionistes, ce que Nadia Ishak a fortement démenti. « Mon père et ma mère n'avaient aucune intention de trahir le pays dans lequel ils vivaient depuis presque 30 ans. Ils sont venus y chercher la paix, la sécurité et la stabilité. Ils ne se sont jamais adonnés et n'ont jamais eu l'intention de participer aux activités dont on nous a accusés à tort. » Le destin de Livy Haroni, l'ancien patron de Metwally abd el-Samad, fut similaire. Livy Haroni a eu de la chance car il était titulaire d'un passeport britannique, et les juifs de nationalité étrangère étaient généralement mieux traités que les juifs étant nés et ayant grandi en Égypte. Il a d'abord été assigné à domicile durant la crise du canal de Suez en 1956, mais lors de la guerre de 1967 il a finalement été arrêté, déporté et ses biens ont été nationalisés. Livy Haroni est parvenu à vendre ses boutiques à ses employés égyptiens, dont un à el Samad. « D'un côté, j'étais très heureux d'avoir eu cette chance inespérée, mais d'un autre côté j'étais très triste à cause de l'injustice et du calvaire subis par le gentil vieil homme. « Il s'accrochait à l'espoir de revenir un jour. Il a réuni les personnes à qui il a cédé ses boutiques et leur a fait promettre de les lui rendre s'il revenait un jour. « Il n'est jamais revenu. J'ai appris sa mort environ dix ans plus tard. » Nadia Ishak n'est pas la seule juive d'origine égyptienne à être retournée dans sa patrie au début du XXIe siècle. Au début des années 1990, on a signalé la mort du dernier juif vivant en Égypte. Cela ne marquait toutefois pas la fin de la longue histoire des juifs d'Égypte, qui remonte à l'époque des pharaons. Au cours de l'année 2000, certains juifs égyptiens qui vivaient en Europe sont rentrés en Égypte. Ils n'étaient pas plus de 20, et la moitié d’entre eux est repartie en Europe. [/QUOTE]
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