Mais non mon gars, ce n'est pas une politique de chien battu, puisque la sagesse et la patiente du Maroc l'a sorti vainqueur de toutes ces péripéties, votre pays le royaume du Maroc a soutenu avec sacrifices et efforts avec des hauts et bas, (plus de bas) depuis 1975 lorsque boumedienne ralliait a sa "cause" les pays africains et autres du 1/3 monde. Je porte a votre connaissance que ce même boumedienne a, en voulant couler le Maroc, lui a au fond rendu sa grandeur au niveau international, et a rendu son pays otage du problème du polisario, je m'explique. quand au lendemain de la marche verte un certain Jean Daniel, né Jean Daniel Bensaïd le 21 juillet 1920 à Blida en Algérie française, et proche de boumedienne lui annonce que Hassan II a déclenché la marche verte, ce dictateur algérien petit colonel skyso était entré dans une colère hystérique et juré la perte du Maroc et de son roi quitte a y mettre toute les richesses de son pays. Alors aidé de kadafi il profita de la faiblesse du Maroc et de sa petite armée ce temps là, il organisa des convois de toyotas chargés de sahraouis en leur faisant admettre que s'ils ne partaient pas en algérie ils seront décimés par les FAR. Il faut parfois voir loin c'est ce que ces régimes dits révolutionnaires ne font pas, trop surs de leur arrogance, supposée puissance et relations avec tous ces pays a la solde de l'ex URSS, cela rappelle ce boxeur faisant le coq sur le ring en nargant l'adversaire, il se dépense en apparence, se dit que tout est dans la poche vues ses relation mais le combat sera forfait au crédit de celui qui a été sous estimé. Comme quoi le poteau ne te rentre pas dans l'oeil c'est assez gros mais l'allumette toute petite que tu méprise, te crèvera l'eoil sinon les deux, pour l'instant le parrain (algérie) de ce polisario est mochement myope le mur est juste là, regardez ce qui se passe en algérie depuis ce 22 février, tout se paie et c'est dommage pour ce peuple qui a été trop complaisant et trop fier de son armée et son parti unique, c'est toujours cette belle fiancée qui s'avère crever les yeux de l'admirateur, méfiance l'ami