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[QUOTE="belgika, post: 16799513, member: 387862"] LA RECEVABILITÉ DU RECOURS 5. La requête a été déposée dans le délai de trois mois prévu par l'article 47, § ler, de la loi du 26 mai 2002 concernant le droit à l'intégration sociale. Le recours est donc recevable. IV. LES FAITS PERTINENTS 6. Madame X est née le X; elle est âgée de 33 ans. Elle est de nationalité syrienne. Elle expose avoir fui la Syrie en 2012 et être arrivée en Belgique en septembre 2015. Le 28 septembre 2015, elle introduit une demande d'asile. Le 10 décembre 2015, le commissariat général aux réfugiés et aux apatrides lui accorde la protection subsidiaire. 7. Madame X bénéficie d'un revenu d'intégration sociale au taux cohabitant versé par le C.P.A.S. de G. à partir du 21 janvier 2016. Elle est alors hébergée chez son frère, Monsieur X Elle bénéficie également du suivi du service d'insertion socio-professionnel du C.P.A.S. de G.. Elle suit des cours d'alphabétisation à partir du 26 septembre 2016. Elle expose qu'elle n'a été scolarisée dans son pays que jusqu'en 2ème ou 3ème année primaire et qu'à son arrivée en Belgique, elle ne savait ni lire ni écrire. Un projet individualisé d'intégration sociale semble être signé le 18 janvier 2017. Selon le rapport social, à partir d'avril 2017, l'assistant social constate que Madame X ait des progrès dans sa compréhension de la langue française. 8. Le 13 mars 2018, le C.P.A.S. de G. propose à Madame X un contrat de travail dans le cadre de l'article 60, § 7, de la loi du 8 juillet 1976 organique des centres publics d'action sociale. Il s'agit d'un emploi de nettoyeuse au sein du Home X la maison de repos et de soins qui dépend du C.P.A.S. de G.. Un entretien a lieu le 14 mars 2018 au cours duquel, selon le rapport social, Madame X montre de l'enthousiasme face à la proposition d'emploi qui lui est faite, tout en indiquant qu'elle doit demander l'autorisation de son frère. Le rapport social relate ensuite ce qui suit : « Nous expliquons également à l'intéressée qu'étant donné que le CPAS est un service public, le port du voile n'est pas autorisé pendant les heures de travail. Madame nous répond à nouveau qu'elle va demander à son frère. L'assistante sociale explique à l'intéressée que le port du voile est un choix personnel et que c'est à elle de prendre la décision de l'ôter ou non et que ce n'est pas à son frère de le lui imposer. Etant donné que l'intéressée vit chez son frère depuis 2 ans, sans avoir sa propre chambre, nous lui expliquons que le fait d'avoir un emploi, lui permettrait d'avoir un salaire et de trouver son propre logement. En effet, celle-ci dort dans un canapé et ses vêtements se trouvent dans l'armoire de son neveu. L'intéressée n'a pas une pièce à elle dans le logement. L'intéressée tente de joindre son frère par téléphone et lui explique la proposition d'emploi du CPAS. L'intéressé lui dit être occupé et met fin à la communication. nous téléphone par la suite [/QUOTE]
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