L’université Paris-Seine propose à Oxford et d’autres établissements de rejoindre son futur campus international.
Voilà une opération séduction qui tranche avec le divorce compliqué qui se profile entre le Royaume-Uni et l’Union européenne : l’université Paris-Seine a lancé le 14 février (jour de Saint-Valentin) un appel à manifestation d’intérêt à destination des universités britanniques. Le consortium Paris-Seine, une communauté d’établissements qui regroupe notamment une grande école de commerce, l’Essec, et l’université de Cergy-Pontoise, propose ainsi aux institutions d’outre-Manche de venir s’installer sur son futur campus international situé sur les bords de l’Oise pour y développer un « partenariat scientifique et académique ».
Depuis le vote en faveur du Brexit, le 23 juin 2016, les universités britanniques ont souvent exprimé leurs inquiétudes concernant les financements de recherche de l’Union européenne, dont le pays est le deuxième bénéficiaire, et la libre circulation des étudiants et chercheurs internationaux. Certaines d’entre elles ont décidé de ne pas attendrel’activation de l’article 50 du traité européen, qui déclenchera la sortie du Royaume-Uni de l’UE, pour établir ou renforcer leurs liens avec des universités européennes, comme le racontait le Guardian en septembre 2016. Le quotidien britannique avait interrogé des présidents d’universités, des étudiants et des chercheurs pour évaluer les perspectives des universités face aux incertitudes du Brexit.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/articl...ance_5082623_4401467.html#zokwvXKzxziuI3jf.99
Voilà une opération séduction qui tranche avec le divorce compliqué qui se profile entre le Royaume-Uni et l’Union européenne : l’université Paris-Seine a lancé le 14 février (jour de Saint-Valentin) un appel à manifestation d’intérêt à destination des universités britanniques. Le consortium Paris-Seine, une communauté d’établissements qui regroupe notamment une grande école de commerce, l’Essec, et l’université de Cergy-Pontoise, propose ainsi aux institutions d’outre-Manche de venir s’installer sur son futur campus international situé sur les bords de l’Oise pour y développer un « partenariat scientifique et académique ».
Depuis le vote en faveur du Brexit, le 23 juin 2016, les universités britanniques ont souvent exprimé leurs inquiétudes concernant les financements de recherche de l’Union européenne, dont le pays est le deuxième bénéficiaire, et la libre circulation des étudiants et chercheurs internationaux. Certaines d’entre elles ont décidé de ne pas attendrel’activation de l’article 50 du traité européen, qui déclenchera la sortie du Royaume-Uni de l’UE, pour établir ou renforcer leurs liens avec des universités européennes, comme le racontait le Guardian en septembre 2016. Le quotidien britannique avait interrogé des présidents d’universités, des étudiants et des chercheurs pour évaluer les perspectives des universités face aux incertitudes du Brexit.
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