Selon les informations collectées par nos confrères de France 3 Grand Est et la presse régionale, la septuagénaire serait arrivée peu après 16 heures au CHU de Reims, "les jambes marbrées". Elle serait décédé vers 18h30 sur un brancard. Les soins de réanimation prodigués n’ont pas permis de la sauver.
autorisaient de différer sa prise en charge compte tenu du volume et de l'intensité de l'activité du service à ce moment-là". "Les effectifs du service d'accueil des urgences étaient au complet et prenaient en charge, dans le même temps, quatre patients en situation d'urgence vitale. Les urgences sont traitées selon la gravité de l'état des patients. Des soins de réanimation appropriés lui ont ainsi été prodigués"."
Dans un communiqué transmis à la presse, le CHU de Reims indique qu'à l’arrivée de la patiente, ses données cliniques "autorisaient de différer sa prise en charge compte tenu du volume et de l'intensité de l'activité du service à ce moment-là". "Les effectifs du service d'accueil des urgences étaient au complet et prenaient en charge, dans le même temps, quatre patients en situation d'urgence vitale. Les urgences sont traitées selon la gravité de l'état des patients. Des soins de réanimation appropriés lui ont ainsi été prodigués".
Selon le CHU, les urgences seraient particulièrement sollicitées cette semaine, du fait des pics épidémiques liés à la grippe et à la diarrhée aigüe, et des activités durant les vacances scolaires.
La famille de la victime, qui s’est entretenue avec des responsables du CHU, réfléchit aux suites à donner à l’affaire.
Interrogés par le quotidien L’Union, plusieurs ambulanciers dénoncent une mauvaise gestion de la chaîne des urgences, avec des délais d’attente qui se seraient "dangereusement allongés" depuis un an, "avec la mise en place des nouvelles urgences".
Franceinfo
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autorisaient de différer sa prise en charge compte tenu du volume et de l'intensité de l'activité du service à ce moment-là". "Les effectifs du service d'accueil des urgences étaient au complet et prenaient en charge, dans le même temps, quatre patients en situation d'urgence vitale. Les urgences sont traitées selon la gravité de l'état des patients. Des soins de réanimation appropriés lui ont ainsi été prodigués"."
Dans un communiqué transmis à la presse, le CHU de Reims indique qu'à l’arrivée de la patiente, ses données cliniques "autorisaient de différer sa prise en charge compte tenu du volume et de l'intensité de l'activité du service à ce moment-là". "Les effectifs du service d'accueil des urgences étaient au complet et prenaient en charge, dans le même temps, quatre patients en situation d'urgence vitale. Les urgences sont traitées selon la gravité de l'état des patients. Des soins de réanimation appropriés lui ont ainsi été prodigués".
Selon le CHU, les urgences seraient particulièrement sollicitées cette semaine, du fait des pics épidémiques liés à la grippe et à la diarrhée aigüe, et des activités durant les vacances scolaires.
La famille de la victime, qui s’est entretenue avec des responsables du CHU, réfléchit aux suites à donner à l’affaire.
Interrogés par le quotidien L’Union, plusieurs ambulanciers dénoncent une mauvaise gestion de la chaîne des urgences, avec des délais d’attente qui se seraient "dangereusement allongés" depuis un an, "avec la mise en place des nouvelles urgences".
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