Le venezuela lance sa cryptomonnaie officielle, le petro

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
basée sur les réserves de pétrole, la vente des unités de cette cryptomonnaie débute officiellement ce mardi, au prix de 60 dollars, destinée à lutter contre le «blocus financier» des États-Unis.

Celle-ci, pour être implantée, devrait s'accompagner d'un plan de réformes, selon eux. Cependant, nul ne saurait prédire l'avenir de cette forme atypique de cryptomonnaie: alors que celles-ci ont en général un fonctionnement décentralisé, sans banque centrale, le petro va être régulé par le gouvernement vénézuélien.

De même, si les monnaies virtuelles sont devenues essentiellement des outils de spéculation en l'absence de réelles possibilités de paiement, le Venezuela indexe le petro sur le cours du dollar et souhaite qu'il soit utilisé dans la vie courante, par exemple pour payer ses impôts.

le figaro

mam
 
Je suis contre le système monétaire internationale gérés par des riches satanistes
C'est des familles qui se connaissent entre eux et ont beaucoup de revenus sans rien travailler
 

felouquier

Nicky31 pour les intimes
basée sur les réserves de pétrole, la vente des unités de cette cryptomonnaie débute officiellement ce mardi, au prix de 60 dollars, destinée à lutter contre le «blocus financier» des États-Unis.

Celle-ci, pour être implantée, devrait s'accompagner d'un plan de réformes, selon eux. Cependant, nul ne saurait prédire l'avenir de cette forme atypique de cryptomonnaie: alors que celles-ci ont en général un fonctionnement décentralisé, sans banque centrale, le petro va être régulé par le gouvernement vénézuélien.

De même, si les monnaies virtuelles sont devenues essentiellement des outils de spéculation en l'absence de réelles possibilités de paiement, le Venezuela indexe le petro sur le cours du dollar et souhaite qu'il soit utilisé dans la vie courante, par exemple pour payer ses impôts.

le figaro

mam
IL FERA 1MENITE
Sa risque de cartonner ;)
IL FERA2EURE
 
Bonsoire

Non.
Tout va bien.
Pour le moment c'est en syrie que c'est en train de péter.
libertain comme ca tout va bien, les banques italiennes sont a 2 doigts de l explosions et les banques
allemandes aussi le vis il est au plus mal le dow jones il joue au yoyo, la bce et la fed fabrique
de la monnaie sans rien, on est dans la perdiode de weimar et tu dis que tout va bien
 
Le Down Jones a trop monté , il a fait une petite correction et il repart ...:D

je traduis : tu as gagné 50% et avec la correction tu ne va gagner au final que 40%

ce que regarde certains , c'est le recul de - 10%, d'autres eux regardent le bénéfice de +40% ... et moi c'est çà que je regarde
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
C'est risqué...

pas pour les trafiquants de drogue....

Venezuela: un dirigeant de l'opposition en appelle au droit d'"ingérence"



Genève - Un dirigeant de l'opposition vénézuélienne a appelé mardi la communauté internationale à user de son droit d'"ingérence" au Venezuela pour aider la population qui "vit un martyre", affirmant que le temps de la "diplomatie contemplative" était révolu.

Le Venezuela a connu l'an dernier des manifestations sanglantes pour réclamer le départ du président Nicolas Maduro, accusé d'avoir plongé le pays dans une grave crise sociale et économique.

"Au Venezuela, les trafiquants de drogue sont déjà au pouvoir, donc une intervention humanitaire est justifiée dans le cadre du Plan Venezuela que je propose à la communauté internationale", a déclaré Antonio Ledezma dans un entretien réalisé en marge de la conférence Genevasummit à Genève, réunissant des activistes, opposants et défenseurs des droits de l'homme.


Il faut "un plan de sauvetage des Vénézuéliens qui vivent un martyre", a réclamé l'ancien maire de Caracas, réfugié depuis novembre dernier en Espagne, après avoir fui le Venezuela via la Colombie.

M. Ledezma avait été arrêté et incarcéré en février 2015 pour complot contre Nicolas Maduro et association de malfaiteurs. En avril 2017, il avait été placé en résidence surveillée pour raisons de santé.


"Lorsqu'un régime applique des mesures répressives à grande échelle et de façon systématique, le principe d'ingérence humanitaire doit prévaloir sur le principe d'autodétermination des peuples", a-t-il affirmé, en se référant au droit international.

"Le Venezuela a besoin que la communauté internationale cesse sa diplomatie contemplative et mette en place une diplomatie efficace afin de libérer les Vénézuéliens", a-t-il dit, jugeant que l'ONU ne devait pas être un "forum où sont menées des discussions rhétoriques pendant que des gens meurent de faim (ou) sont tués par un régime qui persécute les dissidents".

"Nous demandons une réponse de la communauté internationale, de l'ONU, de l'OEA (Organisation des Etats américains), de l'Union européenne entre autres", a-t-il poursuivi.

- 'Gouvernement transitoire' -
Lors de manifestations anti-Maduro en 2017, 125 personnes ont été tuées.
Le pays souffre de graves pénuries de nombreux produits de première nécessité, aliments et produits pharmaceutiques, et d'une hyperinflation qui devrait atteindre 13.000% en 2018 selon le Fonds monétaire international (FMI).

"La crise s'est tellement aggravée qu'il ne suffit pas d'envoyer de l'aide alimentaire, des médicaments, car cela ne serait qu'un simple palliatif", a estimé M. Ledezma, qui appartient à l'aile la plus radicale de l'opposition.

"Nous proposons de sortir de cette dictature, qu'un gouvernement de transition soit établi au Venezuela afin d'organiser au plus vite des élections transparentes pour normaliser la situation", a-t-il détaillé.

Cet appel intervient alors que l'opposition vénézuélienne doit annoncer sa décision de boycotter l'élection présidentielle anticipée du 22 avril, à laquelle Nicolas Maduro est candidat pour un nouveau mandat.
D'après l'ancien maire de Caracas, l'opposition "ne va pas participer" au scrutin "car ce serait un suicide".
"Ce ne sont pas des élections, c'est un piège", a-t-il dit, soulignant notamment l'absence d'observateurs internationaux.
Une partie de la communauté internationale, notamment l'Union européenne et la Colombie, a prévenu qu'elle ne reconnaîtrait pas les résultats de cette élection, que Washington juge "ni libre, ni juste".

Nicolas Maduro, élu en 2013, fait face à un taux d'impopularité de 75%, en raison de l'effondrement économique du Venezuela, un pays pétrolier frappé par la chute des cours.
Mais en avançant la date de l'élection présidentielle, il a réussi à déstabiliser l'opposition, déjà affaiblie et divisée, et, selon les analystes, il pourrait facilement décrocher un second mandat et rester au pouvoir jusqu'en 2025

https://www.lexpress.fr/actualites/...-en-appelle-au-droit-d-ingerence_1986660.html

mam
 
pas pour les trafiquants de drogue....

Venezuela: un dirigeant de l'opposition en appelle au droit d'"ingérence"



Genève - Un dirigeant de l'opposition vénézuélienne a appelé mardi la communauté internationale à user de son droit d'"ingérence" au Venezuela pour aider la population qui "vit un martyre", affirmant que le temps de la "diplomatie contemplative" était révolu.

Le Venezuela a connu l'an dernier des manifestations sanglantes pour réclamer le départ du président Nicolas Maduro, accusé d'avoir plongé le pays dans une grave crise sociale et économique.

"Au Venezuela, les trafiquants de drogue sont déjà au pouvoir, donc une intervention humanitaire est justifiée dans le cadre du Plan Venezuela que je propose à la communauté internationale", a déclaré Antonio Ledezma dans un entretien réalisé en marge de la conférence Genevasummit à Genève, réunissant des activistes, opposants et défenseurs des droits de l'homme.


Il faut "un plan de sauvetage des Vénézuéliens qui vivent un martyre", a réclamé l'ancien maire de Caracas, réfugié depuis novembre dernier en Espagne, après avoir fui le Venezuela via la Colombie.

M. Ledezma avait été arrêté et incarcéré en février 2015 pour complot contre Nicolas Maduro et association de malfaiteurs. En avril 2017, il avait été placé en résidence surveillée pour raisons de santé.


"Lorsqu'un régime applique des mesures répressives à grande échelle et de façon systématique, le principe d'ingérence humanitaire doit prévaloir sur le principe d'autodétermination des peuples", a-t-il affirmé, en se référant au droit international.

"Le Venezuela a besoin que la communauté internationale cesse sa diplomatie contemplative et mette en place une diplomatie efficace afin de libérer les Vénézuéliens", a-t-il dit, jugeant que l'ONU ne devait pas être un "forum où sont menées des discussions rhétoriques pendant que des gens meurent de faim (ou) sont tués par un régime qui persécute les dissidents".

"Nous demandons une réponse de la communauté internationale, de l'ONU, de l'OEA (Organisation des Etats américains), de l'Union européenne entre autres", a-t-il poursuivi.

- 'Gouvernement transitoire' -
Lors de manifestations anti-Maduro en 2017, 125 personnes ont été tuées.
Le pays souffre de graves pénuries de nombreux produits de première nécessité, aliments et produits pharmaceutiques, et d'une hyperinflation qui devrait atteindre 13.000% en 2018 selon le Fonds monétaire international (FMI).

"La crise s'est tellement aggravée qu'il ne suffit pas d'envoyer de l'aide alimentaire, des médicaments, car cela ne serait qu'un simple palliatif", a estimé M. Ledezma, qui appartient à l'aile la plus radicale de l'opposition.

"Nous proposons de sortir de cette dictature, qu'un gouvernement de transition soit établi au Venezuela afin d'organiser au plus vite des élections transparentes pour normaliser la situation", a-t-il détaillé.

Cet appel intervient alors que l'opposition vénézuélienne doit annoncer sa décision de boycotter l'élection présidentielle anticipée du 22 avril, à laquelle Nicolas Maduro est candidat pour un nouveau mandat.
D'après l'ancien maire de Caracas, l'opposition "ne va pas participer" au scrutin "car ce serait un suicide".
"Ce ne sont pas des élections, c'est un piège", a-t-il dit, soulignant notamment l'absence d'observateurs internationaux.
Une partie de la communauté internationale, notamment l'Union européenne et la Colombie, a prévenu qu'elle ne reconnaîtrait pas les résultats de cette élection, que Washington juge "ni libre, ni juste".

Nicolas Maduro, élu en 2013, fait face à un taux d'impopularité de 75%, en raison de l'effondrement économique du Venezuela, un pays pétrolier frappé par la chute des cours.
Mais en avançant la date de l'élection présidentielle, il a réussi à déstabiliser l'opposition, déjà affaiblie et divisée, et, selon les analystes, il pourrait facilement décrocher un second mandat et rester au pouvoir jusqu'en 2025

https://www.lexpress.fr/actualites/...-en-appelle-au-droit-d-ingerence_1986660.html

mam

Bonsoir

Et voila le tour est joué.
Maduro le pion des américains a fait son boulot.
L'autre pion de l'intérieur appelle la communauté international a foutre son nez dans les affaires du pays.
Chavez doit se reourner dans sa tombe.

Le Vénézuela a de sombres jours devant lui.
 
Bonsoir

Et voila le tour est joué.
Maduro le pion des américains a fait son boulot.
L'autre pion de l'intérieur appelle la communauté international a foutre son nez dans les affaires du pays.
Chavez doit se reourner dans sa tombe.

Le Vénézuela a de sombres jours devant lui.
on a tous de sombre jours devant nous, on guere epargner faut pas croire
 
Le Down Jones a trop monté , il a fait une petite correction et il repart ...:D

je traduis : tu as gagné 50% et avec la correction tu ne va gagner au final que 40%

ce que regarde certains , c'est le recul de - 10%, d'autres eux regardent le bénéfice de +40% ... et moi c'est çà que je regarde
oui moi je regarde la dutch bank surtout et les banques italiennes, tu sais ces vautours d economiste
ils utilisent toujours des termes soit qu on comprends rien soit doux comme du genre " correction"
mais quelle correction y a plus d economie ces banques ne tiennent le coup que parceque les banques
centrales fabrique de la fause monnaie a tours de bras et ca partout maintenant ca fait monté les
marchés mais dans l economie réel ca s agrave de jours en jours, des que ces banques centrales vont
soit remonté les taux ou stopper la fabrication de fause monnaie c est la chute dirrect et pire
que 2008 car qui va sauvé les banque centrale bein personne c est trop gros
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
La création de la cryptomonnaie vénézuélienne Petro, fortement promue par le président Maduro, a été marquée par de mystérieux dysfonctionnements.
Que penser du Petro, la cryptomonnaie révolutionnaire émise mardi au Venezuela ? Si l’on considère la réaction du pouvoir, la première phase de la levée de fonds est un succès. “Nous démarrons bien” s’est félicité mercredi le président Nicolas Maduro. Caracas assure avoir reçu 735 millions de dollars dans les 20 premières heures. Au total, le Venezuela espère lever 6 milliards de dollars. Pour l’instant seule une poignée d’investisseurs sélectionnés y ont accès. Le grand public devra attendre le 20 mars.

Cette initiative est unique au monde.
Le prix d’un Petro est indexé sur le prix d’un baril de pétrole (actuellement 60 dollars).
Caracas souhaite ainsi contourner le blocus américain qui empêche la plupart des puissances étrangères d’acheter le pétrole vénézuélien.
Sur le papier, l’idée peut sembler ingénieuse : si Washington peut faire pression sur un État pour qu’il n’achète pas de pétrole, on voit mal les États-Unis s’en prendre aux petits épargnants. Sauf que le Petro a montré une face sombre pour son ICO (initial coin offering, levée de fonds en cryptomonnaie)...:rolleyes:

Changement de blockchain au dernier moment
Son white paper (le document qui présente la feuille de route d’un projet crypto) publié le 31 janvier déclare qu’il est émis sur la blockchain Ethereum.

Or dans le manuel d’achat publié ce mardi, on lit que le token PTR (nom de code du Petro) fonctionne sur la blockchain… NEM.
Finalement, la présidence vénézuélienne a tranché au dernier moment en s’affichant sur Twitter avec des membres de la Fondation NEM.

Ce comportement est très suspect : “On ne change pas de blockchain au dernier moment sans raison”, explique Nabil Difaï, expert blockchain pour le cabinet NC2 situé à Montpellier.
Et de lister quelques éléments qui auraient pu contraindre Caracas à changer ses plans : “NEM offre plus d’opacité qu’Ethereum, les États-Unis peuvent aussi avoir fait pression sur les spécialistes américains Ethereum qui auraient demandé à voyager au Venezuela."
Il rajoute : "NEM permet de mixer des blockchains publique et privé, ce qui permet un contrôle plus fort d’un État.
Ingérence américaine… ou scam ?
OK pour la bascule sur NEM. Le problème, c’est qu’il y a quand même eu une émission sur Ethereum : 100 millions de Petros ont été achetés : cinq adresses cryptographiques les contrôlent actuellement (vous pouvez le voir en cliquant ici). Les huit transactions avec ce token ont été réalisées entre mardi 20 et mercredi 21 février (soit au même moment que l'ICO sur NEM). “Sauf problème technique qui pourrait être lié à une attaque informatique, une double émission est aberrante”, souligne Nabil Difaï.
Il est possible que les développeurs du Petro prévoient de passer plus tard sur Ethereum. Ça serait toutefois très perturbant pour les investisseurs non avertis et pourrait avoir des conséquences négatives sur la valeur du Petro.

La dernière hypothèse est que le Petro est une arnaque complète...
Une équipe de développeurs qui agirait avec autant de confusion n’aurait aucune chance de réussir son ICO et perdrait toute légitimité. Force est de constater que le régime totalitaire n’est pas encore au point avec la transparence de l’information.

https://www.capital.fr/entreprises-...m_medium=email&utm_source=nl-cap-matinale-eco

mam
 
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