Des rumeurs, puis une plainte, et enfin, une trentaine de témoignages de femmes qui se disent victimes d’un avocat réputé de Chartres (Eure-et-Loire). Sidney Amiel se retrouve sur le banc des accusés à partir de ce mardi pour un viol et quatre agressions sexuelles – deux tentatives et deux aggravées – devant la cour d’assises de Versailles, la plus haute juridiction pénale. Ce procès fait suite à une vague de témoignages de dizaines de clientes et consœurs de l’homme, ainsi que de sa belle-fille. Agée de moins de 15 ans à l’époque, cette dernière aurait évoqué des «caresses à connotation sexuelle», rapporte l’Echo Républicain.
L’affaire débute en juillet 2010, quand une cliente porte plainte après un rendez-vous dans le bureau de l’avocat. «Il l’agrippe, tente de l’embrasser, parvient à la faire asseoir sur ses genoux, lui lèche le cou, caresse son sexe et sa poitrine en lui susurrant : "Donne-moi ta bouche, donne-moi ta langue"», détaille le Parisien. Après cette première dénonciation, de nombreuses femmes se racontent les assauts sexuels qu’elles auraient subis. A titre d’exemple, le Parisien raconte «le coup du tiroir» dont plusieurs collaboratrices de l’avocat, également ex-conseiller municipal de Chartres, auraient fait les frais : «Une pratique par laquelle leur confrère, lors des rendez-vous où ils étaient assis côte à côte, faisait mine de chercher un dossier dans son bureau pour mieux leur caresser la cuisse.»..............
http://www.liberation.fr/france/201...uge-pour-viol-et-agressions-sexuelles_1574644
L’affaire débute en juillet 2010, quand une cliente porte plainte après un rendez-vous dans le bureau de l’avocat. «Il l’agrippe, tente de l’embrasser, parvient à la faire asseoir sur ses genoux, lui lèche le cou, caresse son sexe et sa poitrine en lui susurrant : "Donne-moi ta bouche, donne-moi ta langue"», détaille le Parisien. Après cette première dénonciation, de nombreuses femmes se racontent les assauts sexuels qu’elles auraient subis. A titre d’exemple, le Parisien raconte «le coup du tiroir» dont plusieurs collaboratrices de l’avocat, également ex-conseiller municipal de Chartres, auraient fait les frais : «Une pratique par laquelle leur confrère, lors des rendez-vous où ils étaient assis côte à côte, faisait mine de chercher un dossier dans son bureau pour mieux leur caresser la cuisse.»..............
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