Un journal russe : Les nouveaux dirigeants libyens approvisionnent les terroristes en Syrie en armes et en argent
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01 Déc 2011
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Damas / La Turquie et l'Occident continuent leurs démarches acharnées afin de soutenir les groupes armés terroristes en Syrie et d'entraver les efforts visant à la réalisation du processus de réformes et de dialogue en Syrie.
Dans un article publié aujourd'hui, le journal russe Krasnaya Zvezda a indiqué que les responsables de l'OTAN ignorent totalement les crimes perpétrés par les hommes armés en Syrie et qualifient, en plus, les auteurs de ces crimes d'"activistes de l'opposition syrienne".
Le quotidien a révélé que les soi-disant nouveaux dirigeants libyens approvisionnent les groupes armés en Syrie en argent et en armes, via la Turquie simultanément avec l'escalade de la Ligue arabe, outil de l'Occident, contre Damas.
Selon le journal russe, plus de 700 combattants libyens se trouvent sur la frontière syro-turque et attendent le signal de départ pour s'infiltrer dans le territoire syrien, ajoutant que ces hommes armés sont dirigés par Abdel Hakim Belhaj, alias Salim al-Alwani, qui se trouve actuellement en Turquie.
L'hebdomadaire français "Le Canard Enchaîné" commentant les déclarations du porte-parole du ministère français des AE, Bernard Valero, et son invitation à la Turquie pour participer à la prochaine réunion des ministres européens des AE, sur la Syrie, a déclaré que Paris et Londres, en conformité avec la Turquie, préparent ce qu'ils ont appelé "une opération limitée" en Syrie.
Il a ajouté que des agents des services de renseignement français et britanniques se trouvent aujourd'hui dans les territoires turcs et dans les régions nord du Liban.
Dans le même contexte, le site israélien "Questions fondamentales" a rapporté, selon des sources arabes, que la Turquie avait donné son aval pour que 600 membres d'Al-Qaïda puissent s'infiltrer en Syrie avec le consentement du 1er ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
Le même site a fait noter que les membres d'Al-Qaïda étaient les auteurs des derniers événements en Libye et certains d'entre eux étaient détenus au camp de Guantanamo.
Mustafa Abdel Jalil, président de l'ancien Conseil transitoire libyen a annoncé que son pays était prêt à jouer un rôle dans la crise syrienne à travers des bureaux ouverts pour le recrutement de ce qu'il a appelé "les volontaires".
A.A. T. Slimani
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01 Déc 2011
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Damas / La Turquie et l'Occident continuent leurs démarches acharnées afin de soutenir les groupes armés terroristes en Syrie et d'entraver les efforts visant à la réalisation du processus de réformes et de dialogue en Syrie.
Dans un article publié aujourd'hui, le journal russe Krasnaya Zvezda a indiqué que les responsables de l'OTAN ignorent totalement les crimes perpétrés par les hommes armés en Syrie et qualifient, en plus, les auteurs de ces crimes d'"activistes de l'opposition syrienne".
Le quotidien a révélé que les soi-disant nouveaux dirigeants libyens approvisionnent les groupes armés en Syrie en argent et en armes, via la Turquie simultanément avec l'escalade de la Ligue arabe, outil de l'Occident, contre Damas.
Selon le journal russe, plus de 700 combattants libyens se trouvent sur la frontière syro-turque et attendent le signal de départ pour s'infiltrer dans le territoire syrien, ajoutant que ces hommes armés sont dirigés par Abdel Hakim Belhaj, alias Salim al-Alwani, qui se trouve actuellement en Turquie.
L'hebdomadaire français "Le Canard Enchaîné" commentant les déclarations du porte-parole du ministère français des AE, Bernard Valero, et son invitation à la Turquie pour participer à la prochaine réunion des ministres européens des AE, sur la Syrie, a déclaré que Paris et Londres, en conformité avec la Turquie, préparent ce qu'ils ont appelé "une opération limitée" en Syrie.
Il a ajouté que des agents des services de renseignement français et britanniques se trouvent aujourd'hui dans les territoires turcs et dans les régions nord du Liban.
Dans le même contexte, le site israélien "Questions fondamentales" a rapporté, selon des sources arabes, que la Turquie avait donné son aval pour que 600 membres d'Al-Qaïda puissent s'infiltrer en Syrie avec le consentement du 1er ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
Le même site a fait noter que les membres d'Al-Qaïda étaient les auteurs des derniers événements en Libye et certains d'entre eux étaient détenus au camp de Guantanamo.
Mustafa Abdel Jalil, président de l'ancien Conseil transitoire libyen a annoncé que son pays était prêt à jouer un rôle dans la crise syrienne à travers des bureaux ouverts pour le recrutement de ce qu'il a appelé "les volontaires".
A.A. T. Slimani