Vidéo : être étudiant (fauché) à Aît Melloul ce n'est pas la joie

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اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Des bourses insuffisantes, quand on y a droit, la boulimie des «Samsara», des habitations insalubres… Difficile d’étudier à Aït Melloul quand on vient de loin et d'un milieu défavorisé. Reportage.

Aït Melloul, dans la région d’Agadir, est dotée d’un pôle universitaire englobant trois facultés. Ce pôle accueille des étudiants venus de toute la région et au-delà, et la vie estudiantine n’y est pas toujours facile. Comme un peu partout au Maroc.

Dans ces témoignages recueillis sur place par Le360, des étudiants se plaignent de la boulimie des intermédiaires, quand il s’agit de trouver un logement. Selon nos interlocuteurs, les loyers varient entre 1.500 et 2.000 dirhams, sans compter les commissions de ces intermédiaires... Et pour finir, d’où le drame, ils vivent dans des habitations généralement insalubres et deviennent victimes des maladies liées à cela.


Même quand ils s’y mettent à plusieurs, en colocation, la vie n'est pas évidente pour les étudiantes et les étudiants, surtout pour celles et ceux qui n’ont pas droit à une bourse, ou qui n’arrivent pas à trouver une «position», comme on dit dans le jargon des campus, à la cité universitaire.

Des étudiants, ainsi que des acteurs associatifs de la région, demandent l’intervention des autorités pour résoudre ce type de problèmes et amener les propriétaires de logements à de meilleures dispositions à leur égard.
 
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