Villeurbanne: une centaine d'individus empêchent les policiers de secourir deux victimes d'un accident de moto

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Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
ENQUETE Les deux motards, qui circulaient sans casque, ont tenté de s’enfuir en apercevant une patrouille de police. Selon une source policière, ils se sont alors percutés.
Dimanche, en fin d’après-midi, les policiers de Villeurbanne (Rhône) prennent la direction du quartier Grandclément. A leur arrivée, quatre jeunes sur des motos, ne portant pas de casque, prennent la fuite et, selon une source policière, entrent en collision. Deux d’entre eux se relèvent et quittent les lieux. Mais deux autres, âgés de 16 ans, sont blessés dont l’un d’eux grièvement. Son pronostic vital était, hier, engagé.

Les agents vont alors porter secours aux victimes. C’est alors qu’environ 150 individus se sont attroupés autour d’eux et les ont caillassés. Une personne tente même de récupérer la moto de l’une des victimes. Les policiers ont dû faire usage de « moyens collectifs de défense » pour permettre aux pompiers d’intervenir. Les deux garçons ont été transportés à l’hôpital.

Enquête ouverte
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de la collision entre les motos. Selon nos informations, les policiers assurent que les jeunes ont pris la fuite à leur vue et qu’ils n’étaient pas en train de les poursuivre. https://www.20minutes.fr/faits_dive...oliciers-secourir-deux-victimes-accident-moto
 
Le sujet c'est plutôt : les jeunes sont-ils entrés en collision à "cause" des poursuites "inopportunes" de la police? Autrement dit l'attitude de poursuite de la police a-t-elle poussée ces jeunes à la collision?
C'est juste la méthode anglaise pour régler ce genre de situation !!...j’approuve a l'unique condition que les flics soit formés pour entreprendre cette "manœuvre " délicate et nos flics ne sont pas formés :(
 
Le sujet c'est plutôt : les jeunes sont-ils entrés en collision à "cause" des poursuites "inopportunes" de la police? Autrement dit l'attitude de poursuite de la police a-t-elle poussée ces jeunes à la collision?
Ça y est ça va être de la faute de la police,a leur vue,les jeunes sans casque sur de grosses cylindrées,ce sont barré,si t as rien à te reprocher tu reste sur place et est ce une raison pour les caillassages sachant qu' ils portent secours aux victimes,On a même essayé de voler la moto d un des jeunes accidenté,moto volée peut être.Meme si un de ces ******** renversent un môme ce sera encore la faute de la police.
 
Dernière édition:
Ça y est ça va être de la faute de la police,a leur vue,les jeunes sans casque sur de grosses cylindrées,ce sont barré,si t as rien à te reprocher tu reste sur place et est ce une raison pour les caillassages sachant qu' ils portent secours aux victimes,On a même essayé de voler la moto d un des jeunes accidenté,moto volée peut être.Meme si un de ces **** renversent un môme ce sera encore la faute de la police.

Ce n'est absolument pas ce que je dis. Je pose simplement les questions de l'enquête.

Et c'est bien cela le sujet.

C'est agaçant le dévoiement des propos.
 
Ce n'est absolument pas ce que je dis. Je pose simplement les questions de l'enquête.

Et c'est bien cela le sujet.

C'est agaçant le dévoiement des propos.
Tu dis. « Le sujet c'est plutôt : les jeunes sont-ils entrés en collision à "cause" des poursuites "inopportunes" de la police? Autrement dit l'attitude de poursuite de la police a-t-elle poussée ces jeunes à la collision? » Un peu quand même.l’article dit. A leur arrivée, quatre jeunes sur des motos, ne portant pas de casque, prennent la fuite et, selon une source policière, entrent en collision. On parle pas de course poursuite même inopportunes,ils arrivent sur les lieux ce qui est quand même normal,sinon on fait plus rien alors au cas où ces jeunes penseraient à une course poursuites inopportunes,ayant des choses à se reprocher ils se barrent.Ou alors j’ai mal compris,que veux tu dire par ta phrase ??
 
Peu importe ce que la polo e aurait pu faire. .. pendant qu'elle est en train de secourir les garçons faut la laisser tranquille ! Et puis pourquoi ils piquent la moto des blessés ces sauvages hein?
Toujours la faute de la police ... quand la police t'ordonne de t'arrêter, et bien tu t'arrêtes et tu discutés après tu fais pas des courses poursuites age les flics quand même, Non?
 
Peu importe ce que la polo e aurait pu faire. .. pendant qu'elle est en train de secourir les garçons faut la laisser tranquille ! Et puis pourquoi ils piquent la moto des blessés ces sauvages hein?
Toujours la faute de la police ... quand la police t'ordonne de t'arrêter, et bien tu t'arrêtes et tu discutés après tu fais pas des courses poursuites age les flics quand même, Non?
La police n'a pas le droit de faire de course pursuite avec les deux roues... Trop dangereux...
 
Les policier assurent qu'ils n'etaient pas en train de les poursuivre... Enquete en cours...
Oui on trouvera certainement pleins de témoins qui ont vu une course poursuite rien que pour faire accuser la police je n’en doute pas une seconde,ç’est comme ça que ça fonctionne dans ces quartiers,et je te garantie que s’il y avait vraiment eu course poursuite,le quartier serait en émeute,si t’as déjà 150 jeunes présent pour les caillasser c’est grave.
 
Oui on trouvera certainement pleins de témoins qui ont vu une course poursuite rien que pour faire accuser la police je n’en doute pas une seconde,ç’est comme ça que ça fonctionne dans ces quartiers,et je te garantie que s’il y avait vraiment eu course poursuite,le quartier serait en émeute,si t’as déjà 150 jeunes présent pour les caillasser c’est grave.
C'est quand la derrière fois que ca c'est passé comme tu le raconte?... C'est comme ca que ca fonctionne?... Quoi qui fonctionne comme ca?
 
C'est quand la derrière fois que ca c'est passé comme tu le raconte?... C'est comme ca que ca fonctionne?... Quoi qui fonctionne comme ca?
Ici,après une course poursuite les jeunes du quartier ont crié à la bavure et s’en est suivi des nuits d’émeutes,c’est un peu facile alors,tu mets pas ton casque,la police te poursuit pas,t’as le droit de faire le *** et du une roue sur le trottoir en grillant les feux et en mettant la vie des piétons en danger,et faudrait rien leur faire à ces bout de choux qui roulent sans casques exprès.Apres,accusé la police c’est facile. La police peut-elle lancer une course-poursuite contre un conducteur de deux-roues sans casque ?
Le quartier du Mistral à Grenoble est encore sous le choc. Samedi 2 mars, deux jeunes hommes de 17 et 19 ans, à bord d'un scooter, sont morts alors qu'ils étaient poursuivis par la police. Un drame qui a déclenché plusieurs nuits d'émeutes et qui pose de nombreuses questions. Si le procureur de Grenoble évoque un "accident", des proches des victimes parlent eux de "bavure". Une interrogation est revenue à plusieurs reprises sur les réseaux sociaux et dans notre live : "Est-il interdit de poursuivre des gens à deux-roues motorisé sans casque ?"

Ces poursuites, ou "marquages" dans le langage policier, sont encadrées par une note de la police nationale datant de 1999. Celle-ci contient à la fois des éléments très techniques, sur la conduite du véhicule, la vitesse, la répartition du poids, et des éléments plus théoriques sur les conditions de mise en œuvre de ces poursuites. Deux grandes règles sont ainsi édictées : le "discernement" et la "proportion". Les marquages peuvent être effectués si les faits reprochés sont de "grande gravité". En tout état de cause, "la poursuite systématique est exclue".

Cette note édicte aussi certains principes visant à encadrer ces poursuites. "Aucune situation ne peut justifier la blessure ou le décès d'un tiers ou d'un fonctionnaire de police, du fait d'actions trop risquées des intervenants", est-il notamment écrit. En cas de "marquage", les policiers doivent aussi le signaler, par radio, au centre d'information et de commandement, qui peut l'interrompre.

Pas de cas particulier sur le port du casque
Contacté par franceinfo, le service d'information et de communication de la police nationale (Sicop), balaie d'emblée la question concernant les conducteurs de deux-roues motorisé sans casque. "On ne prévoit pas de cas particulier pour les motos, les camions, les engins de chantier, ou les vélos, explique le service. Chaque fait est soumis à une analyse." En bref, il n'existe pas de règle générale interdisant une poursuite d'un certain type de véhicule dans cette note. Le Sicop affirme que cette dernière est régulièrement rappelée aux policiers et transmise aux élèves gardiens de la paix.

Cela ne signifie pas que le port (ou non) d'un casque n'est pas pris en considération. "Lorsque le policier remarque qu'un conducteur de scooter ne porte pas de casque, son analyse des risques va être différente et il peut renoncer si l'infraction en cause n'est pas suffisante et le risque trop élevé", précise le Sicop. Ce cadre général a parfois été précisé. Ainsi, en 2010, la préfecture de Seine-Saint-Denis a demandé aux policiers de "ne pas poursuivre les conducteurs de deux-roues, du genre mini-moto ou quad", selon l'AFP, citée par CheckNews.
 
Sous prétexte qu'ils leur arriveraient quelque chose (lors des courses poursuites) à ces bienveillants bienfaisants, les policiers ne font plus rien.
Ils se sont ramollis sauf quand il s'agit de tabasser des gilets jaunes.
 
"Accident" ou "bavure" à Grenoble ?
Dans le cas du drame de Grenoble, l'intervention des policiers était "totalement justifiée", assure le parquet. Les agents de la brigade anticriminalité "ont fait un marquage et n'ont pas mis la pression aux individus" qui roulaient sans casque sur un scooter de grosse cylindrée, volé et dépourvu de plaques, indique le service d'information et de communication de la police nationale. Les deux jeunes hommes ont trouvé la mort en se retrouvant bloqués par un autocar contre le parapet d'un pont, alors que celui-ci se déportait pour laisser passer le scooter et la voiture qui les suivait.

"Vous pouvez écrire que la police est responsable de leur mort", a de son côté, lancé une proche des victimes, en sortant du palais de justice de Grenoble. "Des jeunes du quartier ont vu ce qui s'est passé et ont le sentiment d'une bavure policière", estime aussi Hassen Bouzeghoub, directeur du centre socio-culturel du quartier. Une information pour recherche des causes de la mort a été ouverte. "Je ne vise aucune infraction commise par les uns ou les autres", a insisté le procureur de Grenoble, Éric Vaillant. https://www.francetvinfo.fr/faits-d...e_3222111.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]
 
Ici,après une course poursuite les jeunes du quartier ont crié à la bavure et s’en est suivi des nuits d’émeutes,c’est un peu facile alors,tu mets pas ton casque,la police te poursuit pas,t’as le droit de faire le *** et du une roue sur le trottoir en grillant les feux et en mettant la vie des piétons en danger,et faudrait rien leur faire à ces bout de choux qui roulent sans casques exprès.Apres,accusé la police c’est facile. La police peut-elle lancer une course-poursuite contre un conducteur de deux-roues sans casque ?
Le quartier du Mistral à Grenoble est encore sous le choc. Samedi 2 mars, deux jeunes hommes de 17 et 19 ans, à bord d'un scooter, sont morts alors qu'ils étaient poursuivis par la police. Un drame qui a déclenché plusieurs nuits d'émeutes et qui pose de nombreuses questions. Si le procureur de Grenoble évoque un "accident", des proches des victimes parlent eux de "bavure". Une interrogation est revenue à plusieurs reprises sur les réseaux sociaux et dans notre live : "Est-il interdit de poursuivre des gens à deux-roues motorisé sans casque ?"

Ces poursuites, ou "marquages" dans le langage policier, sont encadrées par une note de la police nationale datant de 1999. Celle-ci contient à la fois des éléments très techniques, sur la conduite du véhicule, la vitesse, la répartition du poids, et des éléments plus théoriques sur les conditions de mise en œuvre de ces poursuites. Deux grandes règles sont ainsi édictées : le "discernement" et la "proportion". Les marquages peuvent être effectués si les faits reprochés sont de "grande gravité". En tout état de cause, "la poursuite systématique est exclue".

Cette note édicte aussi certains principes visant à encadrer ces poursuites. "Aucune situation ne peut justifier la blessure ou le décès d'un tiers ou d'un fonctionnaire de police, du fait d'actions trop risquées des intervenants", est-il notamment écrit. En cas de "marquage", les policiers doivent aussi le signaler, par radio, au centre d'information et de commandement, qui peut l'interrompre.

Pas de cas particulier sur le port du casque
Contacté par franceinfo, le service d'information et de communication de la police nationale (Sicop), balaie d'emblée la question concernant les conducteurs de deux-roues motorisé sans casque. "On ne prévoit pas de cas particulier pour les motos, les camions, les engins de chantier, ou les vélos, explique le service. Chaque fait est soumis à une analyse." En bref, il n'existe pas de règle générale interdisant une poursuite d'un certain type de véhicule dans cette note. Le Sicop affirme que cette dernière est régulièrement rappelée aux policiers et transmise aux élèves gardiens de la paix.

Cela ne signifie pas que le port (ou non) d'un casque n'est pas pris en considération. "Lorsque le policier remarque qu'un conducteur de scooter ne porte pas de casque, son analyse des risques va être différente et il peut renoncer si l'infraction en cause n'est pas suffisante et le risque trop élevé", précise le Sicop. Ce cadre général a parfois été précisé. Ainsi, en 2010, la préfecture de Seine-Saint-Denis a demandé aux policiers de "ne pas poursuivre les conducteurs de deux-roues, du genre mini-moto ou quad", selon l'AFP, citée par CheckNews.
La loi c'est la loi, pour les jeunes ou pour la police... C'est pas parce que des jeunes ne respectent pas la loi que ca laisse libre la police de le faire aussi... Y a pas de passe droit, la police est là pour faire respecter la loi pas pour l'enfreindre..
 
on voit bien que la police fait trés attention de ne pas blessé les jeune alors que eux se prenne pour des pilotes
respect pour la patience de la police j'aurai eté eue cela fait longtemps que je leur aurai roulé dessu
il parle au policier comme si c'etait des ***** et les policier ne reagisse meme pas ...


 
La loi c'est la loi, pour les jeunes ou pour la police... C'est pas parce que des jeunes ne respectent pas la loi que ca laisse libre la police de le faire aussi... Y a pas de passe droit, la police est là pour faire respecter la loi pas pour l'enfreindre..
Oui mais elle a le droit de faire des courses poursuites tu m’as demandé un exemple tu en a un de flagrant.
 
Non elle en a pas le droit depuis 2014 je crois...
Ah bon Dans le cas du drame de Grenoble, l'intervention des policiers était "totalement justifiée", assure le parquet. Les agents de la brigade anticriminalité "ont fait un marquage et n'ont pas mis la pression aux individus" qui roulaient sans casque sur un scooter de grosse cylindrée, volé et dépourvu de plaques.Alors demain je vole un scoot je fais un braco avec une cagoule et je me tire pépère vu qu’ils n’ont pas le droit de me poursuivre,je crame le scoot et je rentre.
 
Ah bon Dans le cas du drame de Grenoble, l'intervention des policiers était "totalement justifiée", assure le parquet. Les agents de la brigade anticriminalité "ont fait un marquage et n'ont pas mis la pression aux individus" qui roulaient sans casque sur un scooter de grosse cylindrée, volé et dépourvu de plaques.Alors demain je vole un scoot je fais un braco avec une cagoule et je me tire pépère vu qu’ils n’ont pas le droit de me poursuivre,je crame le scoot et je rentre.
T'as peut etre raison...
"En dehors de ces opérations, l'interception et la verbalisation des fauteurs de troubles peut être différée pour des raisons de sécurité, après constatation de l'infraction. Si cette action des forces de l'ordre est alors moins perceptible pour la population, elle n'en a pas moins des effets réels sur les auteurs de ces nuisances...."
 
T'as peut etre raison...
"En dehors de ces opérations, l'interception et la verbalisation des fauteurs de troubles peut être différée pour des raisons de sécurité, après constatation de l'infraction. Si cette action des forces de l'ordre est alors moins perceptible pour la population, elle n'en a pas moins des effets réels sur les auteurs de ces nuisances...."
En fait c’est au jugé en tenant compte de la dangerosité et de l’environnement direct.
 
la police en france est trop gentil c pour cela que la racaille ne les respecte pas
si les motard ne veulent pas s'arreté il ne doivent pas pleuré si il leur arrive un accident
Évidemment qu'elle est trop gentille,
On a les mêmes en Belgique. Des "jeunes" de quartiers "populaires" qui caillassent pour un oui ou pour un non les services de police, secours, Bus, etc,...
 
Échirolles : des policiers municipaux caillassés après un accident.
Un équipage de la police municipale d’Echirolles qui intervenait rue de Bretagne, jeudi vers 20h30, a été visé par de nombreux projectiles lancés par une dizaine de jeunes gens.
Les policiers venaient de tenter de contrôler le conducteur d’une Renault Clio et son passager, qui sont parvenus à prendre la fuite. Lors de la poursuite, l’un des véhicules de la police municipale est entré accidentellement en collision avec une autre voiture, le choc ne faisant pas de blessé.
Mais quelques minutes après l’accident, les agents ont été visés par des projectiles lancés par une dizaine de jeunes gens. Des renforts de police nationale sont intervenus pour rétablir le calme. Ces incidents n’ont pas fait de blessé et une enquête a été ouverte. https://www.ledauphine.com/isere-su...ciers-municipaux-caillasses-apres-un-accident
 
Miramas : des pompiers piégés et caillassés par une dizaine d'individus.
Les pompiers de Miramas ont été pris dans ce qui semble être un guet-apens, hier soir, vers 23h30. Selon le communiqué de Pompiers 13, ils devaient intervenir sur la voie publique. Une fois sur place, le camion a été la cible de caillassage, des pierres étant jetées sur le pare-brise par une dizaine de personnes. La vitre a été brisée et un pompier a été blessé au visage, mais aucune lésion occulaire n'a été observée.
Une plainte contre X a été déposée. La police recherche les malfaiteurs. https://www.laprovence.com/actu/en-...et-caillasses-par-une-dizaine-dindividus.html
 
Pompiers et policiers caillassés dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère.
Dans la nuit de samedi 11 à dimanche 12 mai, alors qu’ils avaient été appelés pour une intervention quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, sapeurs-pompiers et policiers ont été pris à partie par une vingtaine d’individus agressifs.
Ces derniers n’ont pas hésité à leur jeter tout ce qu’ils avaient à portée de main. Fort heureusement sans faire de blessé. . https://www.ledauphine.com/drome/20...-le-quartier-de-la-monnaie-a-romans-sur-isere
 
Valence : les pompiers et les policiers ont bien failli tomber dans un guet-apens quartier Fontbarlettes.
Les pompiers et les policiers sont intervenus pour un feu de poubelles quartier Fontbarlettes à Valence (Drôme), dans la nuit de vendredi à samedi. Mais ils ne sont même pas rentrés dans le quartier : entre 30 et 40 personnes les attendaient pour les caillasser.Ils ont bien failli tomber dans un véritable guet-apens. Vendredi soir vers 23 heures, les pompiers ont été appelés pour un feu de poubelles rue Verdi, quartier Fontbarlettes à Valence, dans la Drôme. Comme c'est toujours le cas depuis mars 2018, ils étaient accompagnés par des policiers. Mais en arrivant à l'entrée du quartier, entre 30 et 40 personnes les attendaient.
Capuches sur la tête, certains ont jeté des pierres, d'autres des bouteilles en verre en direction des policiers et des pompiers. Aucun véhicule n'a été touché et il n'y a pas de blessés. Une enquête de la police de Valence est en cours pour essayer d'identifier les auteurs de ce caillassage. https://www.francebleu.fr/infos/fai...tomber-dans-un-guet-apens-quartier-1557571061
On ne peut pas travailler dans ces conditions" - Guillaume Anglada, le représentant du syndicat autonome des sapeurs-pompiers dans la Drôme
Pour l'instant, on ne sait pas ce qui a déclenché ces violences. "C'est incompréhensible", lâche Guillaume Anglada, le représentant du syndicat autonome des sapeurs-pompiers dans la Drôme. "On ne peut pas travailler dans ces conditions. On ne comprend pas comment on peut nous appeler à l'aide et nous agresser ensuite."
"Ça crée des troubles chez les collègues, même si le problème des violences est connu et qu'on essaye de l'anticiper en se formant pour éviter de se retrouver dans ces situations-là", ajoute Guillaume Anglada. "Mais ce n'est pas acceptable, il faut vraiment sévir contre les personnes qui s'en prennent aux forces de l'ordre ou aux pompiers qui viennent simplement pour faire leur travail."
 

Une pratique illégale ?

À Londres (Royaume-Uni), le nombre de vols à l’arraché commis par des individus en scooter ou à moto a chuté de 35 % en 2018. Les autorités du pays ne se sont cependant pas encore prononcées sur une éventuelle généralisation de la technique.

« Depuis que nous utilisons le contact tactique, nous n’avons provoqué aucune blessure sérieuse », précise le policier londonien Tony McGovern. Beaucoup s’interrogent quand même sur la légalité de cette pratique policière. Des avocats pénalistes ont ainsi mis en doute le bien-fondé de la méthode et en dénoncent l’utilisation.

 
Chronique judiciaire. Montpellier : « Ils m’ont traité de sale flic de France ».
Jeudi 9 mai dans l’après-midi, l’interpellation d’un dealer dans le quartier du Plan Cabanes, à Montpellier a dégénéré. Deux policiers de la Sécurité publique, esseulés, ont été piégés dans une rue et roués de coups, sous les yeux de témoins qui sont restés passifs. Pire, ils ont tenté de soustraire le suspect, finalement arrêté. Lundi 13, un des gardiens de la paix qui a été blessé a raconté cette scène incroyable au tribunal correctionnel, lors du procèsdu dealer.
À 23 ans, le prévenu, debout dans le box entre des policiers, écoute sans broncher les condamnations d’un passé de délinquant, qui a démarré quand il était mineur, que la présidente énumère : vols simples en récidive, vols avec effraction et avec violences, recel de vols, usage et détention de stupéfiants. 17 mentions noircissent son casier judiciaire.
Il retrouve les juges cette fois pour violences volontaires sur un agent dépositaire de l’autorité publique, détention de drogue, vol de numéraires et de tickets restaurants, vol de téléphones portables, des événements survenus quatre jours plus tôt, entre le cours Gambetta et la rue du Général René, entre Plan Cabanes et le boulevard du Jeu de Paume. Des policiers sont tombés dans un traquenard, alors qu’ils poursuivaient le prévenu, qui venait de se soustraire à un contrôle.

En situation irrégulière
Trois fonctionnaires de police en tenue du groupe de sécurité de proximité –GSP- venaient de surprendre un deal de rue en plein jour, sur un trottoir du cours Gambetta, au milieu de vendeurs à la sauvette. Le prévenu qui venait de céder de la résine de cannabis à un client a pris la fuite et pour cause : il se trouve en situation irrégulière en France et, lors de l’audience, on apprend qu’il utilisait le nom d’un tiers avec des papiers volés.
Le jeune trafiquant de drogue nie tout, confirmant son attitude en garde à vue, au commissariat central, même lorsqu’on lui a montré les images de la vidéosurveillance de la Ville de Montpellier, où on l’identifie formellement.
« J’aime mon métier »
C’est donc un des policiers violemment pris à partie qui, courageusement, est venu à la barre, en tant que partie civile, raconter cette scène hallucinante. Quand il se lève vers les juges, il garde encore les traces des violences : il a les doigts recouverts de pansements : « J’aime mon métier. On fait notre boulot dans des conditions souvent difficiles, mais là, c’était d’une violence extrême. À bout de souffle, j’appelais à l’aide. On m’a insulté, traité de : “sale flic de France. Ils étaient une vingtaine dans la rue, quand j’ai été frappé, avant qu’un collègue venu à ma rescousse soit à son tour tabassé. Ils ont pris partie pour l’individu que nous venions de rejoindre et de menotter, après une course-poursuite ».
Vers la rue du Faubourg du Courreau, le policier a demandé de l’aide à une vingtaine de piétons attroupés, ne récoltant en retour que des injures et des coups. Son collègue arrivé à la rescousse avait également subi la rage du suspect.
Le dealer ricane en garde à vue
Bilan pour les deux policiers nationaux, secourus par des renforts, par les sapeurs-pompiers et hospitalisés : contusions, et entorses aux doigts, un jour d’interruption temporaire de travail, pour l’un, fracture costale et griffure au visage, suspicion de pneumothorax, avec cinq 5 jours d’arrêt de travail pour l’autre. « Les deux policiers sont encore choqués, quatre jours après ces faits hostiles », plaide Delphine Clamens, qui réclame 1 500€ pour un fonctionnaire et 3 000€ de dommages-intérêts pour l’autre. Elle révèle que, « En garde à vue, le suspect avait ricané en découvrant le portrait du policier blessé au visage ».
Dans le box, il ne réagit toujours pas et adopte une attitude dédaigneuse en se tournant de temps en temps vers le policier et son avocate.
« Une chance, le couteau était dans sa sacoche »
Le jeune montpelliérain ne change pas de comportement, quand le vice-procureur Nicolas Brignol se lève pour ses réquisitions. Pour le représentant du ministère public : « On a eu la chance que le couteau retrouvé sur le prévenu soit dans sa sacoche. S’il l’avait eu dans sa poche, il s’en serait servi. Il y aurait eu un drame terrible ». Il rend hommage au courage des policiers et fustige l’attitude désinvolte du prévenu. Il requiert six mois de prison pour prise de nom d’un tiers et trois ans de prison avec maintien en détention. Outre l’arme blanche saisie dans sa sacoche, les policiers ont retrouvés 97 grammes de résine de cannabis, quatre téléphones, des tickets de restaurants volés et 290 €, provenant de la vente de shit. La suite
https://actu.fr/occitanie/montpelli...er-mont-traite-sale-flic-france_23863995.html
 
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