Le viol dAmina Filali naurait pas uniquement réveillé les consciences, mais encore a-t-il braqué les lumières sur la réalité des filles violées au Maroc. Preuve en est, cette jeune marocaine qui a eu le courage de parler de son viol sur un blog-témoignage. Un mauvais souvenir quelle tient à partager avec les internautes, histoire de rappeler que le viol narrive pas quaux autres.
« Javais 17 ans. Cétait lété. Il faisait beau, il faisait soleil. Jhabite près de la plage et jétais sortie marcher sur la côte, dans ce que je pensais être mon quartier, une extension de mon chez moi »(http://houdalamqaddam.wordpress.com/2012/03/20/javais-17-ans/). Cest en ces termes que H.L. commence son récit, faisant allusion à ce quelle décrit comme étant lune des expériences les plus bouleversantes de toute son existence. Intitulé «ce n'est pas votre faute», ce témoignage circule beaucoup sur les réseaux communautaires de la toile.
Des témoignages qui affluent
«Ce soir-là, jétais vierge, jétais sortie faire un tour. Je fus agressée, je fus violée, je fus droguée et laissée sur la plage, à moitié nue, les pieds liés, la bouche bandée et les membres toujours tremblants des menaces paralysantes que javais reçues », raconte lex-mineure qui a eu le malheur dêtre violée dans un pays qui ne lui « offre » pas plus que la possibilité dépouser son violeur. Histoire de « sauver son honneur » et de « chasser la honte » à sa famille. Aujourdhui, suite à la polémique dAmina Filali, un webzine marocain http://www.qandisha.ma/2012/03/20/jai-ete-violee-temoignages/ a eu lidée de lancer un appel à témoignages de la part des Marocaines victimes de viol. Résultat, les expériences relatées par les internautes violées inondent le site.
Yabiladi
« Javais 17 ans. Cétait lété. Il faisait beau, il faisait soleil. Jhabite près de la plage et jétais sortie marcher sur la côte, dans ce que je pensais être mon quartier, une extension de mon chez moi »(http://houdalamqaddam.wordpress.com/2012/03/20/javais-17-ans/). Cest en ces termes que H.L. commence son récit, faisant allusion à ce quelle décrit comme étant lune des expériences les plus bouleversantes de toute son existence. Intitulé «ce n'est pas votre faute», ce témoignage circule beaucoup sur les réseaux communautaires de la toile.
Des témoignages qui affluent
«Ce soir-là, jétais vierge, jétais sortie faire un tour. Je fus agressée, je fus violée, je fus droguée et laissée sur la plage, à moitié nue, les pieds liés, la bouche bandée et les membres toujours tremblants des menaces paralysantes que javais reçues », raconte lex-mineure qui a eu le malheur dêtre violée dans un pays qui ne lui « offre » pas plus que la possibilité dépouser son violeur. Histoire de « sauver son honneur » et de « chasser la honte » à sa famille. Aujourdhui, suite à la polémique dAmina Filali, un webzine marocain http://www.qandisha.ma/2012/03/20/jai-ete-violee-temoignages/ a eu lidée de lancer un appel à témoignages de la part des Marocaines victimes de viol. Résultat, les expériences relatées par les internautes violées inondent le site.
Yabiladi