Violences à la fac de montpellier : des enquêtes administratives et judiciaires ouvertes

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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Waouh mais alors la théorie du grand remplacement est vrai! Les islamo-gauchistes introduisent des migrants à la fac pour chasser les blancs! C'est une manifestation du grand complot des élites cosmopolites apatride mondialiste ?
Sérieux VeraBien ton article pour discrédité le mouvement étudiants est caricatural dans la forme , et tellement orienté dans le fond qu'il en est ridicule !
 
Waouh mais alors la théorie du grand remplacement est vrai! Les islamo-gauchistes introduisent des migrants à la fac pour chasser les blancs! C'est une manifestation du grand complot des élites cosmopolites apatride mondialiste ?
Sérieux VeraBien ton article pour discrédité le mouvement étudiants est caricatural dans la forme , et tellement orienté dans le fond qu'il en est ridicule !
En quoi l'expression du racisme anti-blancs (qui existe aussi, n'en déplaise aux politiquement correct) confinerait au grand remplacement façon Zemmour ?
Ce qui est ridicule est de penser que ce racisme n'existe pas alors qu'il est très bien (et légalement... :malade:) exprimé lors d'ateliers et autres formations interdits aux "non- racisés ", proposés par le syndicat Sud Paris VIII. Remplace les mots en les imaginant tagués par le FN et toi aussi, tu aura la :malade:
 
Avec le blocage du bâtiment A, on empêche des étudiants précaires d’étudier. Pour la plupart, ils viennent de milieux modestes, leur diplôme est leur seule chance d’ascension sociale.»
Réveillez-vous , le systéme à la tête sous l'eau , les étudiants ont de bonnes raisons de se révolter. Ce qui est surprenant c'est qu'il ne le soient pas plus

Article du monde de l'éducation:
« Parce que je suis une “femme, jeune, surdiplômée”, on ne m’a pas embauchée »
Issue d’un milieu modeste, Léa a eu une scolarité exemplaire, d’un grand lycée parisien jusqu’à Sciences Po Grenoble. Mais une fois passé son concours, elle est tombée de haut.
’ai été élevée uniquement par ma mère, j’ai grandi dans une HLM, dans une zone dite « ZEP renforcée », à Paris. J’ai eu une scolarité exemplaire, toujours première de ma classe, poussée par ma mère, en reconversion professionnelle, qui travaillait six jours sur sept pour que je puisse avoir la stabilité nécessaire pour poursuivre mes études. Aujourd’hui, elle est cheffe des travaux d’arts au ministère de la culture, et restaure les meubles de la France.

J’ai intégré un grand lycée parisien, où j’ai décroché un bac L mention bien. Ma mère et mes professeurs m’ont tirée vers l’excellence, me disant que je pouvais tout faire si je m’en donnais les moyens. J’ai décidé d’intégrer une classe préparatoire pour entrer à Sciences Po, avec un double cursus pour valider une première année de licence d’histoire à côté. Durant cette première année d’études supérieures, j’ai continué à entendre le leitmotiv qui m’avait bercée durant toute ma scolarité : « Je ne m’en fais pas, toi, tu vas réussir, tu as de l’ambition, tu es brillante. » Et j’ai réussi, j’ai défoncé un premier plafond de verre. Je suis entrée en deuxième année à Sciences Po Grenoble.

Fière de moi, je pouvais tout faire
« Vous êtes l’élite de la France », « vous trouverez un travail rapidement à la sortie de l’école », « des profils comme les vôtres, c’est ce que recherchent les recruteurs ». Ces refrains, je les ai entendus sans cesse à Sciences Po. J’étais fière de moi, je pouvais tout faire. J’ai travaillé sans relâche pour avoir les meilleurs résultats. Je voulais avancer et rendre fière ma mère.

J’ai vécu pendant quatre ans à Grenoble, grâce aux bourses sur critères sociaux du Crous, à l’APL, aux jobs étudiants, et grâce à ma maman qui travaillait toujours d’arrache-pied pour m’offrir mes études. J’ai d’abord eu un bachelor de sciences politiques spécialisé en économie sociale et solidaire, avec mention ; puis j’ai fait le choix d’un double master en politiques publiques, avec une spécialisation en direction de projets culturels.

On me répétait que j’avais choisi un des meilleurs masters de France, que je n’avais pas de souci à me faire. J’ai fait d’excellents stages, j’étais une des meilleures de ma classe et l’équipe pédagogique qui m’encadrait avait confiance en mon avenir. A ma soutenance, à la fin de l’IEP de Grenoble, mon directeur de master m’a confié que s’il y avait bien une personne pour qui il ne se faisait pas de soucis pour son avenir, c’était moi.
http://www.lemonde.fr/campus/articl...chee_5289397_4401467.html#Z2OtFQva7k8uK1KR.99
 
suite extrait article

J’ai ensuite travaillé pendant un an dans une compagnie de théâtre, c’était intéressant, mais précaire, et la précarité, je n’en voulais plus, je l’ai assez connue. J’ai décidé de passer un concours de cadre administratif de la fonction publique territoriale. J’ai travaillé dur, passé plusieurs épreuves pour attester de mes connaissances, et de mes capacités à diriger une équipe, et je l’ai eu. On était plus de trois mille inscrits, et un peu moins de trois cents à le réussir. Je n’avais plus qu’à répondre à des offres et à faire une longue et brillante carrière dans le service public. En tout cas, c’est ce qu’ils m’ont dit à la réunion des lauréats du concours : « Ne vous inquiétez pas, tous les lauréats trouvent un poste de cadre, et assez rapidement. »

« Vous allez faire des jaloux »
J’ai postulé à une cinquantaine d’offres et là, très peu de réponses. Pourtant, j’avais le « profil parfait », et une motivation sans égale. J’ai fini par décrocher quelques entretiens. Je m’attendais à avoir beaucoup plus de questions sur mes capacités managériales, mon caractère, que sur mes connaissances. Mais je pensais naïvement qu’on allait me donner ma chance. Et là, ce n’est plus un plafond de verre que j’ai rencontré, mais un mur en béton armé. « Une jeune femme de 25 ans, surdiplômée avec un concours de cadre de la fonction publique territoriale, vous allez faire des jaloux. »

Trop diplômée, trop jeune, trop ambitieuse, pas assez expérimentée, trop « femme » pour gérer une équipe… Je pensais qu’avec les études, les stages, les boulots et le concours, on allait au moins me donner une chance, surtout dans le service public, qui prône la lutte contre les discriminations. « Vous êtes encore un bébé, donc si on vous donne l’opportunité de travailler avec nous, le salaire sera bas », comme si c’était un cadeau qu’on me faisait.

Complètement dépitée, j’ai laissé tomber la fonction publique, pour l’instant en tout cas. J’y reviendrai probablement, si je trouve une collectivité et une équipe prêtes à accueillir une jeune femme ambitieuse à un poste de cadre.

Ce qui me dégoûte, c’est qu’on me traite comme ça parce que je suis une jeune femme de 25 ans. A l’école, on essaie de te préparer au marché du travail, mais moi, je me demande si le monde du travail est prêt à laisser leur chance aux jeunes.


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Réveillez-vous , le systéme à la tête sous l'eau , les étudiants ont de bonnes raisons de se révolter. Ce qui est surprenant c'est qu'il ne le soient pas plus

Article du monde de l'éducation:
« Parce que je suis une “femme, jeune, surdiplômée”, on ne m’a pas embauchée »
Issue d’un milieu modeste, Léa a eu une scolarité exemplaire, d’un grand lycée parisien jusqu’à Sciences Po Grenoble. Mais une fois passé son concours, elle est tombée de haut.
’ai été élevée uniquement par ma mère, j’ai grandi dans une HLM, dans une zone dite « ZEP renforcée », à Paris. J’ai eu une scolarité exemplaire, toujours première de ma classe, poussée par ma mère, en reconversion professionnelle, qui travaillait six jours sur sept pour que je puisse avoir la stabilité nécessaire pour poursuivre mes études. Aujourd’hui, elle est cheffe des travaux d’arts au ministère de la culture, et restaure les meubles de la France.

J’ai intégré un grand lycée parisien, où j’ai décroché un bac L mention bien. Ma mère et mes professeurs m’ont tirée vers l’excellence, me disant que je pouvais tout faire si je m’en donnais les moyens. J’ai décidé d’intégrer une classe préparatoire pour entrer à Sciences Po, avec un double cursus pour valider une première année de licence d’histoire à côté. Durant cette première année d’études supérieures, j’ai continué à entendre le leitmotiv qui m’avait bercée durant toute ma scolarité : « Je ne m’en fais pas, toi, tu vas réussir, tu as de l’ambition, tu es brillante. » Et j’ai réussi, j’ai défoncé un premier plafond de verre. Je suis entrée en deuxième année à Sciences Po Grenoble.

Fière de moi, je pouvais tout faire
« Vous êtes l’élite de la France », « vous trouverez un travail rapidement à la sortie de l’école », « des profils comme les vôtres, c’est ce que recherchent les recruteurs ». Ces refrains, je les ai entendus sans cesse à Sciences Po. J’étais fière de moi, je pouvais tout faire. J’ai travaillé sans relâche pour avoir les meilleurs résultats. Je voulais avancer et rendre fière ma mère.

J’ai vécu pendant quatre ans à Grenoble, grâce aux bourses sur critères sociaux du Crous, à l’APL, aux jobs étudiants, et grâce à ma maman qui travaillait toujours d’arrache-pied pour m’offrir mes études. J’ai d’abord eu un bachelor de sciences politiques spécialisé en économie sociale et solidaire, avec mention ; puis j’ai fait le choix d’un double master en politiques publiques, avec une spécialisation en direction de projets culturels.

On me répétait que j’avais choisi un des meilleurs masters de France, que je n’avais pas de souci à me faire. J’ai fait d’excellents stages, j’étais une des meilleures de ma classe et l’équipe pédagogique qui m’encadrait avait confiance en mon avenir. A ma soutenance, à la fin de l’IEP de Grenoble, mon directeur de master m’a confié que s’il y avait bien une personne pour qui il ne se faisait pas de soucis pour son avenir, c’était moi.
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Estimes-tu que, pour lutter contre un racisme, il faut le remplacer par un autre racisme. Oui/Non ?

Les jeunes feront bien ce qu'ils veulent le temps aidant (et pyramide d'âge oblige). Maintenant, si c'est fun et cool de lutter contre le racisme des noirs et basanés en étant racistes contre les non-noirs et non-basanés, je répète : on se prépare des lendemains super riants :claque:
Perso, je sais qu'à 40 ans passés, je suis déjà has been, mais pensez juste à ce que vous semez... On ne peut être anti-raciste en étant soi-même raciste.
 
En quoi l'expression du racisme anti-blancs (qui existe aussi, n'en déplaise aux politiquement correct) confinerait au grand remplacement façon Zemmour ?

C'est drôle que ceux qui ont introduit l'idée d'un de racisme anti-blancs soient les mêmes qui nous expliquent que l'islamophobie n'existe pas que c'est une vocable créé par les islamistes ...etc

Que par réaction ds personnes retourne le racisme anti Maghébins , ou Anti-black en racisme anti-blanc voir en antisémitisme c'est sans doute une réalité ! il peut même y avoir un racisme anti parisien ...surtout à Marseille.
Mais mettre sur le même plan une réaction marginale et épidermique d'une réalité sociale c'est abuser .
Quel blanc c'est vu refuser un logement parce qu'il n'avait pas le bon nom de famille? Quel blanc c'est vu discriminé à l'embauche car pas de la bonne couleur? Quel blanc c'est fait contrôlé systématiquement et de façon répété car il était blanc..Quel petit blanc c'est déjà fait insulté par des représentants de l'ordre de sensibilité d’extrême gauche , au motif que sa gueule leur revenait pas?
Qu'il y ait des racistes et des imbéciles de partout c'est un fait , mais cela n'induit pas une situation de symétrie..
 
C'est drôle que ceux qui ont introduit l'idée d'un de racisme anti-blancs soient les mêmes qui nous expliquent que l'islamophobie n'existe pas que c'est une vocable créé par les islamistes ...etc
Les deux existent... Et les deux sont intolérables : lutter contre un racisme en étant soi-meme raciste est un non sens. Non ?
 
Les deux existent... Et les deux sont intolérables : lutter contre un racisme en étant soi-meme raciste est un non sens. Non ?

Oui oui et dans les violences conjugales il y a des hommes aussi qui meurent chaque année sous les coups de leur femmes ..il y a aussi des discriminations au salaire et à travail égal et compétence égale des hommes sont moins bien payé que leurs homologues féminin!
La question n'est pas de condamner un racisme et de justifier un autre , mais de montrer l’asymétrie qu'il y a et la manipulation de brandir l'un pour relativiser l'autre.
Mais ce supposé racisme anti blanc justifie-t-il les milices d’extrême droite qui vont taper sur les étudiants une cagoule sur la tête?
 
Oui oui et dans les violences conjugales il y a des hommes aussi qui meurent chaque année sous les coups de leur femmes ..il y a aussi des discriminations au salaire et à travail égal et compétence égale des hommes sont moins bien payé que leurs homologues féminin!
La question n'est pas de condamner un racisme et de justifier un autre , mais de montrer l’asymétrie qu'il y a et la manipulation de brandir l'un pour relativiser l'autre.
Mais ce supposé racisme anti blanc justifie-t-il les milices d’extrême droite qui vont taper sur les étudiants une cagoule sur la tête?
Non faut condamner les deux. Rien n'autorise la violence et les appels racistes. Quels qu'ils soient
 


La fac vote démocratiquement dans le calme et le lendemain ils sont punis:
VIOLENCES POLICIÈRES À RENNES !!! Le cortège de Rennes 2, parti de l’université pour rejoindre le cortège syndicale du 1er Mai, vient d’être attaqué totalement gratuitement par la police et les gendarmes mobiles. 2 arrestations sans aucun motifs, coups de pieds, coups de matraque. Voici la seule réponse du gouvernement au mouvement etudiant. Sachez-le votre répression ne nous fera pas taire !
Respect au militant parti chercher son camarade au milieu des coups de matraque.

 
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