Virus mystérieux en Chine, l'épidémie se propage

madalena

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Ils ont annoncé beaucoup de choses qui ne sont pas arrivées c'est donc à prendre avec des pincettes.
Je ne connais pas cette personne dans la vidéo mais je ne me renseigne jamais à partir de Tik tok, histoire d'avoir un minimum de crédibilité même si il peut dire des vérités !

Salam

Ok!
Moi aussi je ne le connais pas vraiment mais je suis tombé sur lui sur facebook et j'ai commencé à regarder un peu ces vidéos...
 
Salam

Ok!
Moi aussi je ne le connais pas vraiment mais je suis tombé sur lui sur facebook et j'ai commencé à regarder un peu ces vidéos...
Il dit par exemple que sur internet il y a une étude suisse sur les dégâts du vaccin, nous après on doit pouvoir vérifier par nous mêmes cette étude parce que là il balance du lourd mais sans donner ses Sources.

Attend je vais vérifier...
 

madalena

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Il dit par exemple que sur internet il y a une étude suisse sur les dégâts du vaccin, nous après on doit pouvoir vérifier par nous mêmes cette étude parce que là il balance du lourd mais sans donner ses Sources.

Attend je vais vérifier...

Salam

Oui c'est ce que j'ai compris ...

Je suis pas très douée pour vérifier!^^

Merci
 
Ils ont annoncé beaucoup de choses qui ne sont pas arrivées c'est donc à prendre avec des pincettes.
Je ne connais pas cette personne dans la vidéo mais je ne me renseigne jamais à partir de Tik tok, histoire d'avoir un minimum de crédibilité même si il peut dire des vérités !

Voilà pourquoi je te considère comme un "plotiste" :D

La majorité des complotistes se contentent d'une vidéo de ce genre sur TikTok sans chercher plus loin.

En tout cas si sa source est vraie, cela contredit un rapport de février 2023 où il est mentionné que la balance risque/bénéfice est toujours positive.
Faut toujours recouper ses infos ou ces infos.

Ça permet d'y voir plus clair 👍

Il y a le rapport parlementaire sur la question des effets secondaires.


Ce qui me gène, compte tenu du taux de létalité du Covid, ridiculement faible chez les moins de 30ans en bonne santé, je ne vois pas comment le rapport bénéfice/risque pourrait être positif pour les plus jeunes.

On nous a vendu ces doses comme des vaccins, alors qu'après l'injection, on n'est pas vraiment vacciné.

Certes on n'avait aucun recul, mais nos gouvernants ont clairement manqué de pédagogie, puis de transparence, comme souvent.
 
Voilà pourquoi je te considère comme un "plotiste" :D

La majorité des complotistes se contentent d'une vidéo de ce genre sur TikTok sans chercher plus loin.



Il y a le rapport parlementaire sur la question des effets secondaires.


Ce qui me gène, compte tenu du taux de létalité du Covid, ridiculement faible chez les moins de 30ans en bonne santé, je ne vois pas comment le rapport bénéfice/risque pourrait être positif pour les plus jeunes.

On nous a vendu ces doses comme des vaccins, alors qu'après l'injection, on n'est pas vraiment vacciné.

Certes on n'avait aucun recul, mais nos gouvernants ont clairement manqué de pédagogie, puis de transparence, comme souvent.
Désolé mais sur la partie sous entendue complotiste, je ne te rejoins pas...👍:rolleyes:
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Covid-19 : nouveau variant, écoles fermées… Les Etats-Unis face à la résurgence du virus​

Depuis la fin des vacances scolaires, une vague de Covid-19 touche les écoles et les lieux de travail. Les experts s’inquiètent d’une propagation encore plus importante du virus cet automne et cet hiver.​

utre-Atlantique, la fin des vacances scolaires, en août, semble rimer avec une résurgence de l’épidémie de Covid-19. D’après les centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), les hospitalisations ont augmenté de 24 % à la mi-août, comparé aux deux semaines précédentes. Toutefois, cette dernière hausse des hospitalisations liées au Covid est encore relativement faible, explique le New York Times, ajoutant que la grande majorité des malades présentent des symptômes bénins comparables à ceux d’un rhume ou d’une grippe.

Par ailleurs, la surveillance des eaux usées suggère une récente augmentation du nombre de cas de Covid-19 dans l’ouest et le nord-est du pays. Autre indicateur de cette résurgence : les tests. Le 19 août (derniers chiffres disponibles) près de 13 % des personnes testées se sont révélées positives. Il est à noter que, depuis la fin de l’urgence sanitaire dans le pays, soit le 11 mai 2023, les données cruciales pour comprendre la propagation et les effets du Covid sont moins fréquemment, voire plus du tout, rapportées par les sources gouvernementales......

 

Drianke

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Covid-19. Un premier cas du variant BA.2.86, surnommé « Pirola », détecté en France​

Placé par l’OMS sur la liste des variants à surveiller le 17 août dernier, le variant BA.2.86 a été détecté pour la première fois en France, a annoncé Santé publique France ce jeudi 31 août 2023. Ce nouveau variant présente un grand nombre de mutations par rapport aux variants dominants.

 

Drianke

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Covid-19 : l'OMS demande "un accès total" à la Chine pour enquêter sur l'origine du virus​

L'Organisation mondiale de la santé est prête à envoyer une équipe en Chine pour remonter les origines du Covid-19.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) réclame "un accès total" à la Chine pour envoyer une mission d'experts chargés de déterminer les origines du Covid-19. Tedros Adhanom Ghebreyesus, le patron de l'OMS, explique dans un entretien accordé au Financial Times avoir déjà sollicité la Chine par écrit pour "fournir des informations" et indiquer qu'une nouvelle équipe était prête à être envoyée.

"Toutes les hypothèses restent sur la table"​

Des spécialistes de l'OMS avec des scientifiques chinois avaient déjà mené l'enquête en 2021, sans avoir déterminé avec précision l'origine du virus. Le rapport avait l'hypothèse de la transmission du Covid-19 via un animal qui aurait joué l'intermédiaire entre la chauve-souris et l'homme. L'origine pourrait se trouver sur un marché de la cité chinoise. Depuis cette mission, l'OMS n'a jamais pu recueillir de données supplémentaires malgré plusieurs demandes.
"Toutes les hypothèses restent sur la table", a confié Tedros Adhanom Ghebreyesus. Les premiers cas auraient été détectés à Wuhan à la fin de l'année 2019, et la théorie d'une fuite d'un laboratoire n'est pas écartée. L'Organisation mondiale de la santé demande à la Chine de "faire preuve de transparence dans le partage des données, à mener les enquêtes nécessaires et à en partager les résultats".

 

Drianke

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Covid-19 : "des déficits cognitifs" constatés chez certains malades ?​

Le Covid-19 n’a pas fini de dévoiler tous ses effets. Toux, fièvre, maux de tête… Et si le virus avait un effet plus profond ? Une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Inserm, du centre hospitalier universitaire et de l'Université de Lille, met en lumière les effets durables de cette maladie sur le cerveau, rapporte La Dépêche. L’équipe scientifique a identifié des “déficits cognitifs” persistants chez des personnes précédemment contaminées par le virus.

Outre les symptômes courants, il semble que le Covid-19 puisse ainsi laisser des séquelles durables sur le cerveau. L'étude, publiée par voie de communiqué vendredi 15 septembre et qualifiée d'"inquiétante", révèle que l'infection au virus peut entraîner des affections allant de la perte de mémoire à des troubles de l'attention ou à d'autres dysfonctionnements cérébraux.

Altération du taux de testostérone​

Les chercheurs ont notamment identifié un élément clef dans ces troubles cognitifs : la gonadolibérine (GnRH). Cette hormone, produite par des neurones situés dans le cerveau, est responsable de la régulation des fonctions reproductrices humaines, telles que la puberté et la fertilité. L'étude lilloise a cherché à comprendre comment le Covid-19 peut affecter ces neurones et ainsi perturber le système cognitif. Pour ce faire, les chercheurs se sont basés sur un groupe de 47 hommes, analysant leurs taux hormonaux trois mois et un an après leur contamination au Covid-19.................

 

Drianke

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Covid-19 : perte du goût, courbatures, fièvre... Les symptômes du virus ont-ils évolué ?

Désormais, l'agueusie ou l'anosmie ne sont plus des indicateurs fiables, jugent des études scientifiques. Dans le même temps, d'autres manifestations physiques deviennent de plus en plus fréquentes. RTL.fr fait le point sur les symptômes liés au Covid-19.


Rien de nouveau sous le soleil, vraiment ? Après plus de trois ans d'existence, la Covid-19 continue de circuler dans la population. Le 15 septembre dernier, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau l'a rappelé à ceux qui auraient pu penser que le coronavirus n'était que de l'histoire ancienne. "L'épidémie de Covid (...) est là", avait-il appuyé auprès de l'Agence France-Presse. Même si, depuis fin juin le système de surveillance du virus a été considérablement allégé et est actuellement proche de celui de la grippe. Désormais, il est plus difficile de suivre finement la circulation de la Covid-19.

Néanmoins, au fil des derniers mois, de nouveaux symptômes ont émergé et d'autres se sont effacés. Pour rappel, la liste est longue depuis le printemps 2020 : de la fièvre, de la toux, un essoufflement, des maux de taux, des courbatures, une fatigue inhabituelle, une perte de l'odorat et/ou du goût ou encore une diarrhée. Depuis, les choses ont un peu changé.

En effet, selon nos confrères américains du Washington Post, l'agueusie (perte du goût) et l'anosmie (perte de l'odorat) ne font plus partie des symptômes de la Covid-19. D'après une étude d'un centre spécialisé en Virginie, cela ne concerne plus que "trois personnes sur 100 touchées par la Covid-19". En effet, selon Evan Reiter, de l'université Virginia Commonwealth, "le risque de perdre l'odorat à cause de la Covid-19 est à peu près le même qu'à cause d'un autre virus". Attention donc, si vous venez brusquement de perdre l'odorat et/ou le goût, il y a de fortes chances que le coronavirus n'y soit pour rien.

Des symptômes rares mais étonnants​

Dans le même temps, certaines contaminations sont à l'origine de manifestations pour le moins... étrange. En août, une étude publiée dans The Lancet évoquait le cas d'un patient anglais où la Covid-19 avait fait virer au bleu ses membres inférieurs. Et ce, sans que le froid soit en cause. Dans ce cas-là, ce symptôme s'inscrivait dans les affections à longue durée issues de la Covid-19 : "le Covid long".

Toujours au Royaume-Uni, une femme a perdu l'ouïe au moment où elle venait d'être infectée par le coronavirus. Selon nos confrères de Capital, ces "nouveaux symptômes" sont nombreux (et parfois rares) : des troubles de la concentration, des difficultés d'élocutions ou encore des pertes de mémoire.

Dans ce contexte de reprise épidémique (à des niveaux encore très faibles), la campagne de vaccination à la Covid-19 a été avancée par le ministre de la Santé. Au lieu de démarrer dès le mardi 17 octobre, elle débutera le lundi 2 octobre. Elle vise à injecter une nouvelle dose de rappel aux personnes fragiles et/ou présentant des comorbidités : les plus de 65 ans, les personnes fragiles, les femmes enceintes, les résidents d'Ehpad et les personnes vivant au contact de personnes fragiles.
 

Dès le début, aux personnes qui accusaient la Chine d’être responsable de l’épidémie, je rétorquais qu’elle était victime d’une attaque. En effet j’avais l’impression nette qu’elle répondait à une attaque biologique y compris par la construction en 10 jours d’un grand hôpital qui selon moi devait, à défaut de servir à quelque chose, montrer à l’attaquant et au monde entier qu’elle avait la capacité de se défendre contre ce genre d’agression.
L’arme biologique est très dangereuse car elle peut atteindre celui qui en use. La parade a consisté à utiliser une maladie banale associée à une propagande massive et peut-être quelques poisons à usage local. Les images du méchant virus étaient prêtes au jour J, le discours des journalistes au point et les poisons testés les années précédentes sur les élevages industriels d’Orient et de Chine comme le rapportait grain.org avant 2020. Cet assemblage pouvait fonctionner et faire des morts sans bricolage de virus et autres toxines mais pour être sûr du résultat nos maîtres y ont ajouté l’interdiction de soigner autrement que par injection, le confinement de chacun et toutes sortes de menaces et de peines.
 

raynox

I was so glad to see u
VIB
Ils ont annoncé beaucoup de choses qui ne sont pas arrivées c'est donc à prendre avec des pincettes.
Je ne connais pas cette personne dans la vidéo mais je ne me renseigne jamais à partir de Tik tok, histoire d'avoir un minimum de crédibilité même si il peut dire des vérités !
ce gars là est un escroc même si sur le vaxx il dit pas trop de betises, d'ailleurs il valide la thèse des extraterrestres, dès que je vois ça, c'est mort pour ma part.
 

Drianke

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Covid-19 : Plusieurs hôpitaux réimposent le port du masque pour tous​



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C’EST REPARTI Au Mans, à Vendôme ou encore à La Rochelle, le port du masque est de nouveau obligatoire pour tous.
Il va falloir reprendre l’habitude. Au centre hospitalier du Mans (Sarthe), le port du masque est de nouveau obligatoire depuis cette semaine dans l’enceinte des bâtiments pour les patients, mais aussi pour les accompagnants et les visiteurs, indique l’établissement. Une décision motivée par la recrudescence de cas de Covid et la hausse de diverses épidémies d’infections respiratoires aiguës. Et qui est loin d’être isolée. Ce jeudi, le centre hospitalier de Vendôme (Loir-et-Cher), par exemple, annonce la même mesure, qui s’appliquera « jusqu’au 31 mars 2024 pour le personnel et les visiteurs ».

Lire la suite sur 20minutes.fr
 

Drianke

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Hospitalisations pour Covid en hausse au CHU de Lille​

Une quarantaine de cas hospitalisés, des clusters dans certains services... L’épidémie de Covid remonte dans la région. La direction du CHU de Lille en profite pour rappeler les règles du port du masque dans son établissement à la fois pour les professionnels de santé et les visiteurs...

 

Drianke

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Une nouvelle épidémie touche la Chine, l'OMS s'inquiète​


Une épidémie de maladies respiratoires sévit en Chine. L'OMS alerte sur la situation et demande aux autorités chinoises de leur fournir des relevés précis. Faut-il craindre une nouvelle pandémie ?

Quatre ans après le début du Covid-19, la Chine est de nouveau touchée par une épidémie de "maladie respiratoire non diagnostiquée". L'alerte a été lancée, mardi 21 novembre, par la Société internationale des maladies infectieuses (Isid) qui précise que ces maladies touchaient principalement les enfants. La société se base sur des informations partagées par le média taïwanais FTV News qui explique que plusieurs hôpitaux du nord du pays étaient pleins à craquer en début de semaine. Les patients sous perfusion intraveineuse, présentent "de la fièvre et des nodules pulmonaires" selon la chaîne de télévision.

Dans un communiqué diffusé mercredi 22 novembre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) adresse "une demande officielle à la Chine pour obtenir des informations détaillées sur une augmentation des maladies respiratoires et des foyers de pneumonie signalés chez les enfants." Aurélien Rousseau, ministre de la Santé et de la Prévention, déclarait avoir échangé avec l'OMS jeudi 23 novembre. "À ce stade, il faut rester extrêmement prudent sur ce qui se passe en Chine, il peut y avoir plusieurs explications épidémiologiques, a-t-il expliqué suite à sa discussion. En tout cas, le ministère se met en alerte maximum pour capter toute évolution."

Le communiqué de l'OMS explique que cette épidémie de pathologies respiratoires a été évoquée pour la première fois lors d'une conférence de presse tenue par les autorités chinoises de la Commission Santé Nationale le 13 novembre 2023. L'alerte concernant "une pneumonie non diagnostiquée" a été lancée par le système de surveillance mondial des maladies ProMED dans un article publié sur le site de l'institution mardi 21 novembre.

Dans un autre communiqué de l'OMS publié jeudi 23 novembre, la Chine avance qu'aucun "pathogène nouveau ou inhabituel" est lié à ce pic de maladies respiratoires. Les autorités chinoises justifient cette hausse par la levée des restrictions drastiques de la politique "Zéro Covid" depuis un an.

"La dette immunitaire".................

 

Drianke

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Covid-19 : une "reprise épidémique" attendue pour les fêtes, conjuguée à d'autres maladies respiratoires​

Réadopter les gestes barrières et se faire tester​

À un mois des fêtes de fin d'année, et un "brassage de population" inévitable, la tendance est donc à la prudence. Pour éviter la contamination, il vaut mieux réadopter les vieux réflexes. "Les gestes barrières ont un avantage : ils sont universels. On les a associés au covid mais ils protègent contre les autres agents infectieux", explique Benjamin Davido. Pas la peine de tomber dans l'excès et de bouleverser ses plans pour les fêtes. "Mais soyons vigilants, pour ne pas se retrouver le soir du réveillon du 31 cloué au lit parce qu’on aura été contaminé à Noël." Une vigilance que chacun peut selon Benjamin Davido anticiper dès le début du mois de décembre : "Quand on monte dans une rame de métro qui est bondé, ou qu’on rentre dans une pièce avec les fenêtres fermées qui n'est pas aérée, on met le masque."

Le diagnostic est également important pour bénéficier du traitement adapté selon l'infection. On demande donc un avis médical ou même paramédical et on se teste pour le covid. "Il faut se tester au bon moment. Le faire dès l’apparition des symptômes ne sert pas à grand-chose. Il faut attendre trois jours", conseille l'épidémiologiste. Mieux vaut privilégier un test réalisé par une "tierce personne" plutôt qu'un autotest : "Si on est cas contact, le médecin peut prescrire un test PCR. On peut également réaliser un antigénique en pharmacie, pour le covid mais également pour la grippe. C’est toujours mieux d’avoir la certitude avant les fêtes."

Vigilance sur le mycoplasme​

Hormis le Covid, c'est le mycoplasme qui inquiète. Une épidémie qui n'a selon l'infectiologue rien d'extraordinaire puisqu'elle apparaît généralement "tous les 3-5 ans". Une résurgence due à une "baisse de l'immunité" au sein de la population dans un contexte "post-pandémique" qui favorise les formes symptomatiques. L'infection qui touche majoritairement les jeunes et qui se soigne par traitement antibiotique peut se transformer dans "10% des cas" en pneumonie. "Nous savons qu'il y a des tensions sur l'approvisionnement en médicaments. La vraie question, c'est si nous aurons les traitements suffisants en France en fonction de l'évolution de cette épidémie", juge le scientifique.

A lire aussi : Hausse inquiétante des maladies respiratoires : une "recrudescence inhabituelle" de cas de Mycoplasma pneumoniae confirmée en France

L'enjeu est donc de contenir ces maladies qui circulent de manière accrue en hiver, en se réappropriant les gestes barrières aux premiers signes de reprises épidémiques. Du "bon sens" qu'on peut appliquer au-delà des fêtes, jusqu'à la fin du mois de janvier pour commencer l'année dans les meilleures conditions.

 

Covid-19 : une "reprise épidémique" attendue pour les fêtes, conjuguée à d'autres maladies respiratoires​

Réadopter les gestes barrières et se faire tester​

À un mois des fêtes de fin d'année, et un "brassage de population" inévitable, la tendance est donc à la prudence. Pour éviter la contamination, il vaut mieux réadopter les vieux réflexes. "Les gestes barrières ont un avantage : ils sont universels. On les a associés au covid mais ils protègent contre les autres agents infectieux", explique Benjamin Davido. Pas la peine de tomber dans l'excès et de bouleverser ses plans pour les fêtes. "Mais soyons vigilants, pour ne pas se retrouver le soir du réveillon du 31 cloué au lit parce qu’on aura été contaminé à Noël." Une vigilance que chacun peut selon Benjamin Davido anticiper dès le début du mois de décembre : "Quand on monte dans une rame de métro qui est bondé, ou qu’on rentre dans une pièce avec les fenêtres fermées qui n'est pas aérée, on met le masque."

Le diagnostic est également important pour bénéficier du traitement adapté selon l'infection. On demande donc un avis médical ou même paramédical et on se teste pour le covid. "Il faut se tester au bon moment. Le faire dès l’apparition des symptômes ne sert pas à grand-chose. Il faut attendre trois jours", conseille l'épidémiologiste. Mieux vaut privilégier un test réalisé par une "tierce personne" plutôt qu'un autotest : "Si on est cas contact, le médecin peut prescrire un test PCR. On peut également réaliser un antigénique en pharmacie, pour le covid mais également pour la grippe. C’est toujours mieux d’avoir la certitude avant les fêtes."

Vigilance sur le mycoplasme​

Hormis le Covid, c'est le mycoplasme qui inquiète. Une épidémie qui n'a selon l'infectiologue rien d'extraordinaire puisqu'elle apparaît généralement "tous les 3-5 ans". Une résurgence due à une "baisse de l'immunité" au sein de la population dans un contexte "post-pandémique" qui favorise les formes symptomatiques. L'infection qui touche majoritairement les jeunes et qui se soigne par traitement antibiotique peut se transformer dans "10% des cas" en pneumonie. "Nous savons qu'il y a des tensions sur l'approvisionnement en médicaments. La vraie question, c'est si nous aurons les traitements suffisants en France en fonction de l'évolution de cette épidémie", juge le scientifique.

A lire aussi : Hausse inquiétante des maladies respiratoires : une "recrudescence inhabituelle" de cas de Mycoplasma pneumoniae confirmée en France

L'enjeu est donc de contenir ces maladies qui circulent de manière accrue en hiver, en se réappropriant les gestes barrières aux premiers signes de reprises épidémiques. Du "bon sens" qu'on peut appliquer au-delà des fêtes, jusqu'à la fin du mois de janvier pour commencer l'année dans les meilleures conditions.

Je crois que tous le monde se moque de la Covid 19 aujourd'hui, tu la chope, tu passes une semaine plus ou moins mal, et tu passes à autre chose...
Dans ma famille (quand je dis famille, c'est l'élargie) on l'a tous chopé en novembre... un rhume, des courbatures, perte ou pas de l'odorat, des maux de tête pendant 24h, certains avec une fièvre de 48h et pas grand choses d'autres.
 

Drianke

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Je crois que tous le monde se moque de la Covid 19 aujourd'hui, tu la chope, tu passes une semaine plus ou moins mal, et tu passes à autre chose...
Dans ma famille (quand je dis famille, c'est l'élargie) on l'a tous chopé en novembre... un rhume, des courbatures, perte ou pas de l'odorat, des maux de tête pendant 24h, certains avec une fièvre de 48h et pas grand choses d'autres.
Tout dépend des malades...ma soeur infirmière vient de l'avoir pour la 3 ème fois tout en ayant son parcours vaccinal complet...elle n'a pas été bien du tout pendant 4 jours ...son mari positif aussi avec parcours vaccinal complet et c'est son 2 ème covid...
Perso pas vaccinée mais je remets le masque dans les transports en commun ou structures médicales...dehors pas besoin...
 
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