Car les chercheurs, eux, ne se sont jamais arrêtés d’étudier la vitamine C et de lui découvrir de nouvelles vertus ces chercheurs parfois ils pas forcement de connerie
Aujourd’hui, on sait que la vitamine C :
Pour tenir compte des problématiques liées à l’absorption et à l’élimination de la vitamine C (voir plus loin), je recommande aux personnes sédentaires de prendre un complément de 500 mg par jour de vitamine C, de 1 000 mg par jour pour les sportifs et les fumeurs.
La controverse de la vitamine C contre le cancer
À très forte dose (50 à 150 g par jour, en intraveineuse), la vitamine C réduit les effets secondaires de la chimiothérapie [5].
En revanche, la vitamine C dans le traitement du cancer est un sujet très délicat. Les études qui ont montré une efficacité claire n’ont pas été effectuées sur l’homme, mais sur des cultures de cellules cancéreuses : cancer de la prostate, du pancréas, hépatique, côlon, foie, cerveau.
Par exemple, une nouvelle étude de l’université de Salford à Manchester au Royaume-Uni vient de paraître, qui montre que la vitamine C est dix fois plus efficace pour stopper la croissance des cellules cancéreuses du sein qu’un traitement expérimental médicamenteux, le 2-DG [6].
Cependant, des études ont indiqué, au contraire, une accélération du cancer lorsqu’il était déjà métastasé [7].
Ces études sur le cancer ont fait une énorme publicité négative à la vitamine C, accusée d’être un remède de charlatan.
Mais je me suis déjà souvent exprimé sur ce type d’attaques, que je considère comme injustes.
Le cancer est une maladie très compliquée, très mal soignée aujourd’hui. De plus, le mot « cancer » n’est qu’un terme générique pour désigner toutes les maladies liées à la prolifération de cellules, qui, suivant les organes qu’elles touchent, sont pourtant d’une diversité immense.
La cancérologie actuelle tire son prestige des très bons résultats qu’elle a obtenus contre certains cancers (leucémie, ostéosarcome), ainsi que contre ceux qui touchent des organes non vitaux, que l’on peut retirer chirurgicalement (vous ne pouvez plus avoir de cancer de l’utérus ou des testicules si on vous a coupé votre utérus ou vos testicules ; cela paraît une caricature, mais c’est réellement la façon dont beaucoup de cancers sont annoncés comme « soignés » actuellement).
Il est donc tout à fait légitime et normal, hautement souhaitable même, de chercher des solutions alternatives ou complémentaires au cancer, à côté de la trilogie classique chirurgie-radiothérapie-chimiothérapie.
Or la vitamine C fait partie des rares pistes crédibles qui offrent aujourd’hui quelque espoir. Il semble logique et intéressant de poursuivre ces recherches avec au moins autant de moyens que ceux consacrés aux nouveaux traitements qui rapportent à l’industrie pharmaceutique (immunothérapie, nanoparticules…). Ce n’est malheureusement pas le cas.
Aujourd’hui, on sait que la vitamine C :
- prévient le rhume en cas d’exposition au froid et de stress ou d’activité intense [1], et raccourcit la durée du rhume [2] ;
- prévient les maladies coronariennes, c’est-à-dire les problèmes des artères du cœur, qui déclenchent l’infarctus [3] ;
- est indispensable à la fabrication du collagène [4], la protéine qui donne leur élasticité et leur solidité à nos os, nos cartilages, nos tendons, notre peau et à de multiples tissus conjonctifs, c’est-à-dire ceux qui tiennent nos organes entre eux ;
- augmente l’absorption du fer, et aide donc les personnes victimes d’anémie à reconstituer leurs réserves ;
- est nécessaire dans la fabrication des globules rouges.
Pour tenir compte des problématiques liées à l’absorption et à l’élimination de la vitamine C (voir plus loin), je recommande aux personnes sédentaires de prendre un complément de 500 mg par jour de vitamine C, de 1 000 mg par jour pour les sportifs et les fumeurs.
La controverse de la vitamine C contre le cancer
À très forte dose (50 à 150 g par jour, en intraveineuse), la vitamine C réduit les effets secondaires de la chimiothérapie [5].
En revanche, la vitamine C dans le traitement du cancer est un sujet très délicat. Les études qui ont montré une efficacité claire n’ont pas été effectuées sur l’homme, mais sur des cultures de cellules cancéreuses : cancer de la prostate, du pancréas, hépatique, côlon, foie, cerveau.
Par exemple, une nouvelle étude de l’université de Salford à Manchester au Royaume-Uni vient de paraître, qui montre que la vitamine C est dix fois plus efficace pour stopper la croissance des cellules cancéreuses du sein qu’un traitement expérimental médicamenteux, le 2-DG [6].
Cependant, des études ont indiqué, au contraire, une accélération du cancer lorsqu’il était déjà métastasé [7].
Ces études sur le cancer ont fait une énorme publicité négative à la vitamine C, accusée d’être un remède de charlatan.
Mais je me suis déjà souvent exprimé sur ce type d’attaques, que je considère comme injustes.
Le cancer est une maladie très compliquée, très mal soignée aujourd’hui. De plus, le mot « cancer » n’est qu’un terme générique pour désigner toutes les maladies liées à la prolifération de cellules, qui, suivant les organes qu’elles touchent, sont pourtant d’une diversité immense.
La cancérologie actuelle tire son prestige des très bons résultats qu’elle a obtenus contre certains cancers (leucémie, ostéosarcome), ainsi que contre ceux qui touchent des organes non vitaux, que l’on peut retirer chirurgicalement (vous ne pouvez plus avoir de cancer de l’utérus ou des testicules si on vous a coupé votre utérus ou vos testicules ; cela paraît une caricature, mais c’est réellement la façon dont beaucoup de cancers sont annoncés comme « soignés » actuellement).
Il est donc tout à fait légitime et normal, hautement souhaitable même, de chercher des solutions alternatives ou complémentaires au cancer, à côté de la trilogie classique chirurgie-radiothérapie-chimiothérapie.
Or la vitamine C fait partie des rares pistes crédibles qui offrent aujourd’hui quelque espoir. Il semble logique et intéressant de poursuivre ces recherches avec au moins autant de moyens que ceux consacrés aux nouveaux traitements qui rapportent à l’industrie pharmaceutique (immunothérapie, nanoparticules…). Ce n’est malheureusement pas le cas.