L'enquête préliminaire dont fait l'objet le deuxième site français de petites annonces fait suite à une plainte déposée par le Mouvement du Nid, engagé dans la défense des personnes prostituées." L'enquête préliminaire dont fait l'objet le deuxième site français de petites annonces fait suite à une plainte déposée par le Mouvement du Nid, engagé dans la défense des personnes prostituées.
Figaro une source judiciaire, confirmant une information de 20 Minutes . Confiée à l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains (Ocreth), cette enquête fait suite à une plainte générale contre X déposée le 1er décembre dernier par le Mouvement du Nid qui milite pour l'abolition de la prostitution, affirme l'un de ses responsables, Grégoire Théry."
Vivastreet, deuxième site de petites annonces gratuites en France après Le Bon Coin, est dans le collimateur de la justice: il fait l'objet d'une enquête préliminaire pour «proxénétisme aggravé» ouverte le 15 février par le parquet de Paris, indique au Figaro une source judiciaire, confirmant une information de 20 Minutes . Confiée à l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains (Ocreth), cette enquête fait suite à une plainte générale contre X déposée le 1er décembre dernier par le Mouvement du Nid qui milite pour l'abolition de la prostitution, affirme l'un de ses responsables, Grégoire Théry.
20 Minutes qu'elle a dû «acheter les options pour être 'mise en avant'»: «Au début, je ne l'avais pas fait et personne ne m'appelait.» La jeune fille dépense désormais près de 800 euros par mois pour recevoir entre 10 et 20 appels par jour." Cette plainte porte sur la rubrique «Erotica», depuis rebaptisée «Services Adultes», où le dépôt d'une annonce de «massage», de «rencontre» ou d'«agréable moment» coûte 80 euros, voire bien davantage si on veut lui donner de la visibilité, explique Grégoire Théry, qui précise que certaines personnes vont jusqu'à payer 600 euros chaque mois. Angélique, qui se prostitue par le biais de Vivastreet, raconte ainsi à 20 Minutes qu'elle a dû «acheter les options pour être 'mise en avant'»: «Au début, je ne l'avais pas fait et personne ne m'appelait.»
Circonstance aggravante
«Tout ceci est camouflé derrière un maquillage grossier, mais il est communément admis qu'il s'agit de prostitution», explique le responsable du Mouvement du Nid. L'association affirme que 62% de la prostitution passe par le web. «On évalue aujourd'hui à 25.000 le nombre de prostituées qui utilisent Internet en France», chiffre pour sa part Jean-Marc Droguet, le chef de l'Ocr
Figaro
Figaro une source judiciaire, confirmant une information de 20 Minutes . Confiée à l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains (Ocreth), cette enquête fait suite à une plainte générale contre X déposée le 1er décembre dernier par le Mouvement du Nid qui milite pour l'abolition de la prostitution, affirme l'un de ses responsables, Grégoire Théry."
Vivastreet, deuxième site de petites annonces gratuites en France après Le Bon Coin, est dans le collimateur de la justice: il fait l'objet d'une enquête préliminaire pour «proxénétisme aggravé» ouverte le 15 février par le parquet de Paris, indique au Figaro une source judiciaire, confirmant une information de 20 Minutes . Confiée à l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains (Ocreth), cette enquête fait suite à une plainte générale contre X déposée le 1er décembre dernier par le Mouvement du Nid qui milite pour l'abolition de la prostitution, affirme l'un de ses responsables, Grégoire Théry.
20 Minutes qu'elle a dû «acheter les options pour être 'mise en avant'»: «Au début, je ne l'avais pas fait et personne ne m'appelait.» La jeune fille dépense désormais près de 800 euros par mois pour recevoir entre 10 et 20 appels par jour." Cette plainte porte sur la rubrique «Erotica», depuis rebaptisée «Services Adultes», où le dépôt d'une annonce de «massage», de «rencontre» ou d'«agréable moment» coûte 80 euros, voire bien davantage si on veut lui donner de la visibilité, explique Grégoire Théry, qui précise que certaines personnes vont jusqu'à payer 600 euros chaque mois. Angélique, qui se prostitue par le biais de Vivastreet, raconte ainsi à 20 Minutes qu'elle a dû «acheter les options pour être 'mise en avant'»: «Au début, je ne l'avais pas fait et personne ne m'appelait.»
Circonstance aggravante
«Tout ceci est camouflé derrière un maquillage grossier, mais il est communément admis qu'il s'agit de prostitution», explique le responsable du Mouvement du Nid. L'association affirme que 62% de la prostitution passe par le web. «On évalue aujourd'hui à 25.000 le nombre de prostituées qui utilisent Internet en France», chiffre pour sa part Jean-Marc Droguet, le chef de l'Ocr
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