"On nous a volé notre chair": Les témoignages poignants des proches des victimes de L'Hyper cacher

ah bon :rolleyes: ?

waouh c'est :Dvraiment incroyable ça... !

tellement in-croyable que personne ne va te croire, voyons :(



Ah bon? Daech était tellement sympa en Syrie et en Irak, ils n'ont jamais fait d'attentat et se sont conduits si gentiment envers la population locale, vraiment on ne comprend pas...

Ce qui est incroyable, c'est ta façon de jouer à la gentille simplette, qui n'est au courant de rien malgré une formation universitaire qui exige un esprit critique. Seulement voilà ton mode de recherche d'infos se limite à BFMWC, LCIsrael et autres mainstreams.

C'est normal qu'il y ait un blocage quelque part !

Voici pour l'ouverture d'esprit une histoire récente que tu as déjà vécu, sans peut être te rendre compte ... GLADIO


Tu apprendras si vraiment tu ne le savais pas, comment nos gouvernement ont organisé des attentats et tué les citoyens durant des dizaines d'années !

Quand tu auras admis cela, tu auras le niveau requis pour parler politique !
 

Esperluette

Vivre et laisser vivre
VIB
Ce qui est incroyable, c'est ta façon de jouer à la gentille simplette, qui n'est au courant de rien malgré une formation universitaire qui exige un esprit critique. Seulement voilà ton mode de recherche d'infos se limite à BFMWC, LCIsrael et autres mainstreams.

C'est normal qu'il y ait un blocage quelque part !

Voici pour l'ouverture d'esprit une histoire récente que tu as déjà vécu, sans peut être te rendre compte ... GLADIO


Tu apprendras si vraiment tu ne le savais pas, comment nos gouvernement ont organisé des attentats et tué les citoyens durant des dizaines d'années !

Quand tu auras admis cela, tu auras le niveau requis pour parler politique !

Tout frais d'aujourd'hui dans Le Monde

De 1956 à 1962, la France a ordonné à ses services secrets d’assassiner des citoyens français

Des documents lèvent le voile sur des projets d’élimination de Français, d’Européens et de dignitaires étrangers pendant la guerre d’Algérie


 
A

AncienMembre

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Tout frais d'aujourd'hui dans Le Monde

De 1956 à 1962, la France a ordonné à ses services secrets d’assassiner des citoyens français

Des documents lèvent le voile sur des projets d’élimination de Français, d’Européens et de dignitaires étrangers pendant la guerre d’Algérie



surement, mais en pleine guerre d'Algérie et les personnes visées étaient des trafiquants d'armes, des Français pro FLN, etc. Et tous n'ont finalement pas été tués. (tu omets de souligner le mot "projet", c'était un projet, pas forcément réalisé).
Par ailleurs on sait les exactions des services secrets français pendant la guerre d''Algérie contre les Algériens. Voilà le contexte.

mais rien de comparable aujourd'hui, en temps de paix, pourquoi le gouvernement voudrait il tuer des citoyens français anonymes et totalement innocents par des attentats ?

c'est aberrant et ne tient pas debout.
 
A

AncienMembre

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Tu apprendras si vraiment tu ne le savais pas, comment nos gouvernement ont organisé des attentats et tué les citoyens durant des dizaines d'années !

Quand tu auras admis cela
, tu auras le niveau requis pour parler politique !

tu es tout juste ridicule.

Le gouvernement français ne fomente pas des attentats des extrémistes islamistes, daechiens, et ne tue pas ses citoyens.

C'est bizarre, cette incapacité à admettre que ces attentats sont le fait d'islamistes.
Puisque ces criminels n'ont plus rien de musulmans, quelle est la difficulté pour l'admettre ?

Si des chrétiens extrémistes faisaient des attentats, personne ne les défendrait en France parce qu'ils sont chrétiens. Tout le monde dirait qu'ils ont trahi les valeurs chrétiennes, non ?
 
tu es tout juste ridicule.

Le gouvernement français ne fomente pas des attentats des extrémistes islamistes, daechiens, et ne tue pas ses citoyens.

C'est bizarre, cette incapacité à admettre que ces attentats sont le fait d'islamistes.
Puisque ces criminels n'ont plus rien de musulmans, quelle est la difficulté pour l'admettre ?

Si des chrétiens extrémistes faisaient des attentats, personne ne les défendrait en France parce qu'ils sont chrétiens. Tout le monde dirait qu'ils ont trahi les valeurs chrétiennes, non ?
Tu crois que je les soutiens ?
Là tu fais une grosse erreur !
De nous deux, et c'est prouvé depuis 10 ans, ceux qui les soutiennent se sont les sionistes ! et pour cause ...

daesh israel.png


 

Esperluette

Vivre et laisser vivre
VIB
surement, mais en pleine guerre d'Algérie et les personnes visées étaient des trafiquants d'armes, des Français pro FLN, etc. Et tous n'ont finalement pas été tués. (tu omets de souligner le mot "projet", c'était un projet, pas forcément réalisé).
Par ailleurs on sait les exactions des services secrets français pendant la guerre d''Algérie contre les Algériens. Voilà le contexte.

mais rien de comparable aujourd'hui, en temps de paix, pourquoi le gouvernement voudrait il tuer des citoyens français anonymes et totalement innocents par des attentats ?

c'est aberrant et ne tient pas debout.

T'es pas bien réveillée ou tu affabules au choix.
 
Bon nombre des groupes terroristes soutenus par l’Occident en Syrie étaient des salafistes extrémistes. Certains des organisme du gouvernement britannique dont les activités sont exposées dans ces documents divulgués avaient en effet pour but de soutenir Jabhat al-Nusra, affilié à al-Qaida en Syrie et ses ramifications de fanatiques.

 
A

AncienMembre

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encore un intermédiaire dans la vente d'armes à Coulibaly

es multiples versions de Mohamed Fares, le "Johnny" du procès Charlie
Justice
Par Laurent Valdiguié
Publié le 14/10/2020
Accusé d’avoir vendu les armes à Coulibaly, via deux de ses proches, le dealer Lillois Mohamed Fares nie tout en bloc. Comme les autres. Et sans parvenir à convaincre, empêtré dans ses versions successives.

Il ment ouvertement. Avec aplomb. A mots comptés, mais il ment. Même lui s’y perd dans ce labyrinthe de bobards tendus aux enquêteurs et aujourd’hui aux juges. « Avec vous, on ne compte plus les versions, c’est effarant ! » constate Regis de Jorna, le président de la Cour d’assises spéciale. Dans le box au procès Charlie, ce mercredi 14 octobre 2020, Mohamed Fares ne bronche pas. Rien ne semble ni le gêner, ni l’embarrasser, ni même entamer son calme imperturbable derrière son masque. Longs cheveux noués en arrière, jogging noir signé PSG en lettres d’or, Mohamed Fares sait pourtant qu’il risque « une peine à deux chiffres ». Mais garde son cap. « Je vais faire simple, dit-il pour résumer sa position. Je ne suis pas un terroriste, et je n’ai jamais vendu d’armes. Je n’ai pas vendu d’armes aux Parisiens. »

Pour l’accusation en revanche, Fares, dealer de cocaïne lillois, est en réalité celui qui aurait fourni une partie des armes des attentats de janvier 2015. Et les « Parisiens » sont les deux émissaires d’Amédy Coulibaly, Amar Ramdani et Said Makhlouf, eux aussi dans le box et soupçonnés d’avoir convoyé le matériel depuis Lille. A la barre, les trois nient. Ils jurent au contraire que leurs rendez-vous de l’automne et l’hiver 2014 dans le Nord avaient pour unique objet un trafic de drogue. Sauf que même là-dessus, ils ont du mal à ajuster leurs violons. Les deux « Parisiens » mentionnent du cannabis « de bonne qualité » qu’ils seraient allés chercher auprès de Fares… sauf que ce dernier ne fait que dans la coke. « Oui, c’est vrai, admet-il à la barre, mais je savais que dans ma cité, il y a avait une livraison de bonne herbe », corrige-t-il avec un aplomb de caïd.
 
A

AncienMembre

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UNE "CABALE FAMILIALE"
C’est une minuscule trace à ADN qui vaut à ce garçon calme et froid d’être dans ce box, aux cotés des dix autres personnes soupçonnées d’avoir fourni la logistique des attentats de Charlie et de l’Hyper Cacher. Sur un pistolet Tokarev retrouvé au domicile d’Amédy Coulibaly, les experts de la police ont mis à jour un Adn appartenant à une lilloise, Amel Bendridj, soeur de Chinaze Bendridj, l’épouse de Mohamed Fares. En garde à vue, Amel Bendridj a admis avoir manipulé cette arme « apportée à la maison » par son jeune frère Souliman Bedridj. Interpellé à son tour, ce dernier, mineur en 2014, confirme et raconte avoir ensuite remis l’arme à son oncle Mohamed Fares, qui l’aurait ensuite « vendu à des Parisiens ». Pour l’accusation, autant d’aveux qui accablent Mohamed Fares.

Mais selon ce dernier, tout cela relève au contraire de la « cabale familiale » dont il serait le « bouc émissaire ». Citées comme témoin ce mercredi matin les deux soeurs Bendridj ont refusé de comparaitre et la Cour d’assises a délivré à leur encontre deux mandats d’amener ce qui peut leur valoir une audition de force ce jeudi 15 octobre. Quant à Souliman Bendridj, il a tout simplement disparu sans laisser d’adresse… En cavale aux yeux de la justice. Par peur ? Sous le coup de menaces ? Interrogé, Fares hausse les épaules.

"LÀ OÙ IL Y A DE LA DROGUE, IL Y A DES ARMES"
Au micro, il tente sans grand succès de mettre à mal le récit accablant de son neveu et de sa belle-soeur. En 2018 pourtant, lors de sa garde à vue, Mohamed Fares avait d’abord admis avoir vendu « une Kalachnikov qui a atterri chez Coulibaly ». A l’époque, il avait aussi admis que « là où il y a de la drogue, il y a des armes ». « Je ne pense pas que j’ai dit quelque chose de nouveau, nuance-t-il. Dans le nord, il y a de gros points de deal. Pour la guerre des territoires, il y a des armes, c’est une réalité », dit-il la barre. Mais le reste de ses aveux de 2018, Fares les nie et s’en explique tant bien que mal : « En garde à vue, j’ai inventé l’histoire de l’arme chez Coulibaly ». « Quand j’arrive en garde à vue, je sais qu’Amel a touché une arme qui a fini chez Coulibaly, mais je ne sais pas sur quelle arme a été retrouvée son ADN… Si j’avais su, j’aurais parlé directement du Tokarev et pas de la Kalachnikov cela m’aurait fait une arme en moins ! »

Selon son récit du jour, en garde à vue, Fares se serait donc « auto-incriminé » dans le but de « protéger son neveu Souliman ». « Souliman, je le portais dans mon coeur, j’ai fait plus pour lui que pour mon propre frère », assure le dealer. Devant la police, il aurait décidé de se mettre en cause « pour dédouaner Souliman ». Une explication bien bancale… « Mais pourquoi votre neveu, lui, vous aurait-il mis en cause à tort ? » s’interroge le président, les yeux incrédules. Fares l’ignore mais a calculé, lors de sa garde à vue, qu’en se mettant la Kalachnikov sur le dos, il risquerait une simple « citation en correctionnelle à Lille et pas de se retrouver devant cette cour d’assises dans ce procès ».
 
A

AncienMembre

Non connecté
"FAIRE LE JOHNNY"
Un mauvais calcul… D’autant qu’en reconnaissant la vente d’une Kalachnikov en plus du Tokarev sur lequel a été retrouvé l’Adn, Fares s’est enfoncé. Depuis, durant l'instruction, il n’a de cessé de faire machine arrière. A la barre du tribunal, il accuse Amel, sa belle-soeur avec laquelle il dit avoir toujours été en très mauvais terme, et son neveu, de l’avoir mis en cause « pour protéger quelqu’un ». Mais qui ? Il l’ignore. Comme il ignore qui a écrit la lettre anonyme, envoyée depuis Lille à la juge d’instruction , et le mettant lourdement en cause : « L’Hyper Cacher c’est Fares »…Une vengeance familiale, suggère-t-il.

Le président et ses assesseurs tentent bien de dépatouiller les invraisemblances de son récit mais se heurtent à un mur. Le dealer ne se « souvient pas », n’a « pas d’explication », ou « ne comprend pas la question ». « Je n’ai rien à voir avec tout ca, je n’ai jamais vendu d’armes, je n’avais aucune raison de risquer une peine à deux chiffres alors que je gagnais très bien ma vie avec le trafic de stups », dit-il. Son spot de cocaïne, ouvert sept jour sur sept du matin au soir rue de Metz à Lille, faisait de lui, à l’entendre, un petit baron local. Un « Johnny », comme il dit. A la barre, il est donc prié d’expliquer l’expression « faire le Johnny » : « Cela vaut dire se vanter, se mettre dans la lumière, faire le kéké…» détaille-t-il. Et même s’il se décrit comme « quelqu’un de timide » ce Fares en effet a tout du « Johnny » de l’équipe. Un Johnny malin et manipulateur. Interrogé en visio-conférence depuis Limoges, un expert psy qui a sondé le lillois en détention, indique avoir relevé chez lui « une certaine capacité à la dissimulation ». Difficile d’être passé à coté…
 
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