Je voudrais m expliquer sur mon choix pour sarko , puisque beaucoup pense que c est mon maître a penser ou le gourou de ma secte
Alors que pour moi c est juste un homme politique comme un autre , a la l différence près que il est en rupture avec les shema classique de la politique française
Les defaults de sarko je les reconnais bien volontiers , il est beaucoup trop communiquant mais c est un enfant de la télé comme vous et moi
La France est un pays viscéralement libéral mais de part sa culture catholique a toujours eux honte de ça
Je suis un partisan du libéralisme et sacrilège du capitalisme
Mais pas a la mode us
Juste quelques remarques. Fonder une préférence sur une rupture avec des schémas ne demande-t-il pas de vérifier cette rupture, et est-ce encore une pensée politique ? Dans certaines de ces propositions, comme la caution de l'Etat aux emprunts des pauvres et la gratuité des musées, Monsieur Sarkozy nous renvoie en 1848, où Blanqui et Proudhon faisaient de semblables propositions. Décréter d'avance que les heures supplémentaires seront majorées et seront exonérées de prélèvements, est-ce rompre avec les schémas dirigistes ? Proposer, comme le fait Madame Royal, qu'employeurs et employés recherchent un compromis sur l'application des 35 heures, n'est-il pas au contraire dans l'esprit libéral ? Monsieur Sarozy proclame qu'il est en rupture. Cela suffit-il à le croire?
Vois-tu, tiznit, je ne suis pas un enfant de la télé. Je ne l'avais pas enfant et je m'en suis passé adulte. Malheureusement, je n'ai pas de candidat anti-télé à choisir. Mais cela encore, est-ce une pensée politique ?
Libéral, mais anti-capitaliste. Moi aussi, je suis libéral, poliquement parlant ; j'ai quarante ans d'anti-stalinisme derrière moi. Economie libérale est une usurpation sémantique. Il serait plus sensé de parler d'économie autonome, dans le sens où le principe d'autonomie des acteurs économiques s'applique dans le capitalisme. Libéral n'a de sens vrai que politique.
Tu as raison d'écrire que la France est, peut-être pas viscéralement mais rationnellement, libérale. Ses électeurs viennent de montrer qu'elle dédaigne les extrêmes où couvent les totalitarismes. Mais cela ne veut pas nécessairement dire qu'elle embrasse ce qu'on appelle incongrument l'économie libérale. La France est aussi, peut-être plus viscéralement que rationnellement, sociale. C'est peut-être le seul pays développé où la formule "modèle social" a un sens et sert à tout.
Enfin, je ne peux m'empêcher de remarquer qu'en soulignant le côté communiquant de Monsieur Sarkozy comme un défaut, tu reprends ce côté dans des formules qu'il ne renierait pas, ce qui est normal vu ton choix.