Vous pensez quoi de ce poeme?

La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’a toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas de ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ces petites choses qui nous amusaient tant..
Vis. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme
il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.
 

ThePacific

La patience n'a d'endurance que dans l'épreuve.
VIB
La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’a toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas de ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ces petites choses qui nous amusaient tant..
Vis. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme
il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.


C'est triste et beau!

...

Comment te remercier-je un jour?..
Toi qui m'a porté durant des mois..
Ces moments où nous étions unis par un seul et même cordon,
Je ressentais tes joies, tes douleurs..
Tu as pris soins de moi, tu m'as senti grandir dans ton ventre bien au chaud à l'abri..
Ces moments où tu ne dormais pas car moi j'avais décidé de m'amuser,
Ces moments où tu me parlais et je te répondais par des petits coups!..
Et oui, c'était ma façon à moi de te prouver que j'entendais ta douce voix,
Et voilà le moment fatidique où je dois essayer de sortir et de vivre ma vie,
La volonté divine en a decidé autrement..
Nul n'aurait pu imaginer que je partirai aussi vite,
Pense à ces moments passés ensemble, vis ta vie et ne m'oublie pas...

Auprès de l'Eternel, je t'attendrai maman..
 
La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’a toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas de ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ces petites choses qui nous amusaient tant..
Vis. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme
il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.
Très touchant
Alors pourquoi avoir franchit le chemin dans l'autre sens a notre naissance pour un séjour éphémère
 

h_meo

lien France Palestine
VIB
Souvenirs vifs, mémoire et douleurs qu'on emporte avec soi où qu ont soit. le poeme est beau...
Des mots souvenirs de ceux qui sont partis
Ce n'est pas n importe quel souvenir ..
cest celui de l'absence immense..
C'est le souvenir du manque. C'est celui ressenti dans sa chair à chaque instant.
Poignant et inconsolable.
Des fois je ressens cette poigne qui broie mon âme. Cette douleur diffuse ...
Chaque respiration est soupir ...
Puis le cœur deborde et coule en flots ..
Se vide de ses douleurs ..égrène sa mémoire ..
Et compte les plus jamais.. se résigne au définitif
trouver l'apaisement ..jusqu'au prochain crépuscule ... qd le ciel se voile de cette mélancolie ..
De l'autre côté du voile il y a ce chemin
Inaccessible...
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’a toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas de ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ces petites choses qui nous amusaient tant..
Vis. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme
il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.

Bien écrit. Mais pas d'accord avec le fond. C'est pas aussi simple
 

ThePacific

La patience n'a d'endurance que dans l'épreuve.
VIB
La lune était sereine et jouait sur les flots. —
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,
Là-bas, d’un flot d’argent brode les noirs îlots.

De ses doigts en vibrant s’échappe la guitare.
Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos.
Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos,
Battant l’archipel grec de sa rame tartare ?

Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour,
Et coupent l’eau, qui roule en perles sur leur aile ?
Est-ce un djinn qui là-haut siffle d’une voix grêle,
Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?

Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ? —
Ni le noir cormoran, sur la vague bercé,
Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé
Du lourd vaisseau, rampant sur l’onde avec des rames.

Ce sont des sacs pesants, d’où partent des sanglots.
On verrait, en sondant la mer qui les promène,
Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine... —
La lune était sereine et jouait sur les flots.



[Victor Hugo "Claire de lune" ]
 
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