Non, vraiment rien ne justifie de recommander le vaccin gardasil contre hpv

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Dans tous les pays qui ont largement vacciné les jeunes filles, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus a augmenté dans les sous-groupes d’âge soumis à la vaccination, alors qu’elle a continué à baisser chez les femmes âgées non vaccinées.
Ce résultat paradoxal mérite des études dépassionnées et sérieuses et non de la négation, du mépris, des injures ou de la diffamation (antivax, fake news, complot) dignes de la période de l’Inquisition
. Revenons aux faits avérés et vérifiables par chaque citoyen. Nous ne sommes pas des antivaccins, mais résolument contre le Gardasil parce que ce vaccin vendu pour protéger du cancer en augmente le risque !

NON, VRAIMENT Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus
Par Gérard et Nicole Delépine, cancérologues

Du siècle des Lumières au siècle des Bougies … Moins de 300 ans

Un chirurgien cardiovasculaire, Philippe Gorny proclame sa foi pour Gardasil, dans Paris Match. Que valent ses arguments scientifiques ? [1] Dans un très long plaidoyer pour la vaccination anti HPV, le docteur Gorny se targue d’une argumentation scientifique pour défendre l’efficacité, l’innocuité et la nécessité du Gardasil. Comme il affirme ne pas avoir de liens d’intérêts, cette déclaration d’amour inconditionnelle semble relever d’une profession de foi que nous respectons. Mais son argumentaire témoigne clairement que foi et science ne sont pas toujours compatibles.

Causes multiples des cancers et en particulier du cancer du col de l’utérus

Après un rappel scolaire sur la vaccination et les infections à HPV qui rappelle la propagande de l’industrie du vaccin, il n’hésite pas à prétendre que « les cancers qui en découlent, sont dus à un HPV et à aucune autre cause » alors que ces cancers, comme l’immense majorité des autres, sont multifactoriels. S’ils sont statistiquement liés aux HPV, ils le sont aussi aux infections par virus de l’herpès, à chlamydia[2],[3],[4], à l’âge jeune des premiers rapports sexuels[5], au nombre de partenaires total et annuel, au tabagisme [6] [7], aux insuffisances immunitaires (Sida, traitements immunosuppresseurs ou chimiothérapie), aux facteurs hormonaux[8] dont la prise prolongée de contraceptifs oraux[9] , à la multiparité[10],[11], [12], à la cuisine au charbon de bois (pour les facteurs déjà connus ...).

Mais parmi les très nombreux facteurs statistiquement liés à la survenue du cancer, un seul était rentable, le HPV et fut pour cette raison déclaré seul coupable.

INFECTION N’EST PAS CANCER

Surtout la croyance « sans virus HPV, pas de lésions précancéreuses, pas de cancer », est clairement démentie par les faits récents : chez les femmes vaccinées, les infections aux HPV ciblées tendent à disparaitre et les cancers se multiplient ! Infection n’est pas cancer[13], c’est la grande leçon des études statistiques récentes que le DR Gorny n’a peut-être pas lues car il n’a peut-être pas consulté récemment les registres des cancers…


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https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/non-vraiment-rien-ne-justifie-de-215210
 
A

AncienMembre

Non connecté
c'est une "tribune libre" et non pas un article scientifique !

attention il faut faire confiance uniquement aux études scientifiques menées sur de grandes cohortes et en double aveugle sinon ce n'est pas une preuve !
 
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