Zuckerberg s'expliquera en personne au parlement européen

L'espion au service de l'entité illégale qui vit sous perfusion devant ses complices
L'hypocrisie .
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BRUXELLES (Reuters) - Mark Zuckerberg, "fondateur et PDG de Facebook", répondra en personne aux questions des députés européens sur la captation des données personnelles de 87 millions d'utilisateurs de la plate-forme, a annoncé mercredi le président du Parlement européen, Antonio Tajani.
Il a ajouté que Zuckerberg pourrait être entendu dès la semaine prochaine.
"Le fondateur et PDG de Facebook a accepté notre invitation et sera à Bruxelles aussi tôt que possible, peut-être dès la semaine prochaine, pour rencontrer les présidents des groupes politiques", indique Tajani dans un communiqué.
Facebook est très critiqué depuis les révélations, mi-mars, de l'utilisation des données de 87 millions de ses utilisateurs obtenues de manière inappropriée par la firme de marketing politique Cambridge Analytica, qui a notamment travaillé sur la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016.
Mark Zuckerberg sera par ailleurs reçu mercredi prochain, le 23 mai, en compagnie d'autres dirigeants d'entreprises du secteur high tech, par Emmanuel Macron, a-t-on appris auprès de la présidence française.
Quelques semaines après le scandale Cambridge Analytica, "les discussions vont être assez rudes", prédit-on à l'Elysée.
Le Parlement britannique souhaitait aussi auditionner Zuckerberg mais la plate-forme a envoyé fin avril à Londres son directeur des technologies, Mike Schroepfer.
"Je me félicite de la décision de Mark Zuckerberg de se présenter en personne devant les représentants de 500 millions d'Européens. C'est un pas dans la bonne direction pour rétablir la confiance", ajoute Tajani.
Un porte-parole de Facebook à Washington a précisé que la société avait accepté la proposition "de rencontre avec les dirigeants du Parlement européen" et "appréciait cette occasion de dialogue afin d'écouter leurs avis et de montrer les initiatives que nous prenons pour mieux protéger la vie privée des gens".
Zuckerberg a longuement déposé le mois dernier devant les deux chambres du Congrès des Etats-Unis. et

(Julia Fioretti avec Jean-Baptiste Vey à Paris et David Shepardson à Washington; Henri-Pierre André pour le service français)
 
Faux "réseaux sociaux" = réseaux de de mouchards(es)
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La polémique se poursuit sur le format de l'audition du patron de Facebook devant le Parlement européen. Mark Zuckerberg a pris 26 minutes pour donner ses réponses quand les eurodéputés ont eu besoin de trois-quarts d'heure pour poser leurs questions.
Le président de l'institution défend toutefois ce dispositif. "Monsieur Zuckerberg est un citoyen américain, il était obligé d'aller face au Parlement américain, il n'était pas obligé de venir face au parlement (européen)", répond Antonio Tajani. Pour les Verts, le président du Parlement a surtout offert une issue facile au patron du réseau social. Le chef du groupe libéral, Guy Verhofstadt, estime pour sa part que ce dispositif était inapproprié et qu'il a permis à Mark Zuckerberg d'éviter de répondre aux questions.
Le "dirigeant "de Facebook a cependant assuré qu'il apporterait par écrit des précisions aux interrogations des eurodéputés. Ses collaborateurs devraient d'ailleurs s'exprimer prochainement devant la commission des Libertés civiles du Parlement européen
 
FB est une société américaine qui rapporte des milliards et ne sera jamais laché par les USA. S'attaquer à FB équivaut à s'attirer les foudres américaines. Et on sait que dans ce genre de guerre commerciale, les usa gagnent souvent...
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Faux "réseaux sociaux" = réseaux de de mouchards(es)
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La polémique se poursuit sur le format de l'audition du patron de Facebook devant le Parlement européen. Mark Zuckerberg a pris 26 minutes pour donner ses réponses quand les eurodéputés ont eu besoin de trois-quarts d'heure pour poser leurs questions.
Le président de l'institution défend toutefois ce dispositif. "Monsieur Zuckerberg est un citoyen américain, il était obligé d'aller face au Parlement américain, il n'était pas obligé de venir face au parlement (européen)", répond Antonio Tajani. Pour les Verts, le président du Parlement a surtout offert une issue facile au patron du réseau social. Le chef du groupe libéral, Guy Verhofstadt, estime pour sa part que ce dispositif était inapproprié et qu'il a permis à Mark Zuckerberg d'éviter de répondre aux questions.
Le "dirigeant "de Facebook a cependant assuré qu'il apporterait par écrit des précisions aux interrogations des eurodéputés. Ses collaborateurs devraient d'ailleurs s'exprimer prochainement devant la commission des Libertés civiles du Parlement européen
Salam remake,
C'est un Robot Zukerberg, tu ne fais pas le poids :)
 
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