Normal que l'Ukraine fasse cette demande.@godless #WW3–L’Ukraine demande pour la première fois à l’OTAN d’envoyer des troupes...qui ne dit pas vraiment non
Et normal que l'OTAN ne réponde pas "oui".
Sa non réponse vaut comme un "non" poli.
«Nous finirons par le faire, avec le temps», a lâché l’air de rien le Gen. Charles Brown Jr, cité par le New York Times.
C'est le frère de Macron?
Si telle était réellement l'intention, il ne le dirait pas.
Le quotidien se bedjise?Si Washington résiste encore à franchir cette énième ligne rouge - en dépit de l’intense lobbying de Macron et des états baltes -, la situation pourrait rapidement évoluer selon le quotidien.
Non, rien ne va évoluer. Tant que la Russie ne s'en prend pas aux pays baltes, à ma Finlande ou à la Pologne...
Ils continuent à balayer la question. Même le cinoche de Macron ne fait pas illusion.Jusqu’à présent, les dirigeants occidentaux balayaient la question puisque Zelensky ne leur avait pas demandé. Ce qui vient donc de changer.
Si c'est pour former des soldats ukrainiens, l'OTAN peut se mouiller.En perdition sur le terrain, le régime de Kiev compte sur l’Alliance atlantique pour former quelques 150.000 nouvelles recrues «plus près de la ligne de front pour un déploiement plus rapide».
Si c'est pour y envoyer ses soldats, ce sera niet.
Faux.En d'autres termes, à Lvov plutôt qu'en Pologne ou en Allemagne.
Le point clé de cette agitation, c’est l’implication qu’aurait une (inévitable) attaque russe sur les formateurs de l’OTAN, cette fois-ci officiellement présents:
en vertu du traité de l'alliance, les Etats-Unis - et les autres membres - seraient alors tenus d’intervenir.
Et le conflit prendrait instantanément une toute autre dimension.
L'OTAN serait tenu d'intervenir si un des États de l'OTAN était attaqué. Mais si l'OTAN va mettre des soldats dans une zone de conflit, c'est à ses risques et périls.
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