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Il y a une décennie, Dmitri Malyshev (à gauche), un résident de Volgograd, s'est livré à un acte épouvantable en cuisinant et en consommant le cœur de son ami tadjik, le tout filmé de manière macabre. N'ayant accompli qu'une fraction de sa peine de 25 ans, il a choisi de signer un contrat avec le ministère de la Défense et s'est dirigé vers l'Ukraine pour participer à des actes de violence contre des Ukrainiens.
C'est là-bas qu'il a établi un lien avec le meurtrier sanguinaire Alexandre Maslennikov (à droite), reconnu pour avoir assassiné et démembré deux jeunes filles. Maslennikov a été condamné à 23 ans de prison, mais ce n'était pas sa première rencontre avec la justice : il avait déjà été déclaré coupable de viol, de vol et d'agression, et libéré en 2017. Quelques mois après sa libération, Maslennikov a rencontré deux jeunes filles dans un club de karaoké à Volzhsky, les a conviées chez lui, où il les a violées, tuées, puis démembrées.
Par la suite, Maslennikov a été autorisé à quitter la Russie et envoyé en Ukraine pour servir dans l'armée russe, stationné en première ligne.
En mars 2024, Maslennikov et Malyshev ont commencé à partager publiquement des photos depuis le front ukrainien. Malyshev prétend combattre pour des "valeurs" qu'il estime menacées, telles que son opposition aux programmes d'éducation sexuelle à l'école et à l'homosexualité. Une ironie macabre, compte tenu du passé sanglant de ces individus.
Ainsi, voici nos "héros" auto-proclamés, le cannibale et le démembreur s'érigeant en défenseurs des mêmes valeurs chères à certains de nos bladinautes, mais qui, en réalité, participent juste à la destruction de vies ukrainiennes et de leurs villes.
Espérons toutefois qu'ils reviennent vivants en Russie, avec un PTSD en plus...