Citation:
Envoyé par X
Et pourtant, que ce soit en pays d'islam ou autre, les injustices sont flagrantes et à foison. Il suffit d'aller dans un hôpital, section nouveau-nés, pour réaliser que nombre d'entre eux auraient préférés ne jamais venir au monde dans ces conditions aussi horribles.
Réponse:
Réfléchis bien sur ce parcours, car il répond tout à fait à ton questionnement qui t'honore vraiment:
L’homme fut tué!* Ô combien il fut mécréant!(80:17)
De quoi le créa-t-Il?(80:18)
D’une goutte de semence Il le créa et projeta son destin(80:19)
Puis Il lui facilita son chemin(Le Livre)(80:20)
Puis Il le fit mourir et ensevelir(80:21)
Puis, s’Il veut, Il le redéploie(80:22)
Pas du tout ! Sauf s'il exécute Ses ordres!(le Livre)(80:23)
Ce parcours est certes décrit en peu de mots, mais c'est fait exprès, tu devineras peut-être pourquoi, une fois que tu auras perçu son sens profond.
Je dirais même que perdre de vue ce questionnement c'est le laisser se transformer en gangrène, partant, c'est le début de la non-vie. Par contre ne jamais lâcher prise, jusqu'à être béni par des réponses qui viennent panser toutes les "plaies ouvertes" qui en découlent, c'est le début de la vraie vie.
Envoyé par X
Et pourtant, que ce soit en pays d'islam ou autre, les injustices sont flagrantes et à foison. Il suffit d'aller dans un hôpital, section nouveau-nés, pour réaliser que nombre d'entre eux auraient préférés ne jamais venir au monde dans ces conditions aussi horribles.
Réponse:
Réfléchis bien sur ce parcours, car il répond tout à fait à ton questionnement qui t'honore vraiment:
L’homme fut tué!* Ô combien il fut mécréant!(80:17)
De quoi le créa-t-Il?(80:18)
D’une goutte de semence Il le créa et projeta son destin(80:19)
Puis Il lui facilita son chemin(Le Livre)(80:20)
Puis Il le fit mourir et ensevelir(80:21)
Puis, s’Il veut, Il le redéploie(80:22)
Pas du tout ! Sauf s'il exécute Ses ordres!(le Livre)(80:23)
Ce parcours est certes décrit en peu de mots, mais c'est fait exprès, tu devineras peut-être pourquoi, une fois que tu auras perçu son sens profond.
Je dirais même que perdre de vue ce questionnement c'est le laisser se transformer en gangrène, partant, c'est le début de la non-vie. Par contre ne jamais lâcher prise, jusqu'à être béni par des réponses qui viennent panser toutes les "plaies ouvertes" qui en découlent, c'est le début de la vraie vie.