Actualité de la syrie

Famine et catastrophe humanitaire. Après les appels internationaux la semaine dernière en faveur des civils bloqués à Mouadamiyat al-Cham, ville rebelle assiégée, des militants ont lancé vendredi un cri d'alarme pour ceux des quartiers rebelles du centre de Homs, assiégés depuis plus de 500 jours. «Environ 3.000 civils, dont 500 sont âgés de plus de 70 ans, ne se nourrissent que des faibles stocks qui restent dans les quartiers assiégés de Homs», les derniers tunnels d'approvisionnement ayant été détruits il y a plusieurs semaines, a expliqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. «Il ne reste à manger que du boulgour. On mange la même chose tous les jours. Les gens sont faibles», a déclaré Yazan, un militant sur place interrogé par l'AFP via internet.

Plus au nord, Médecins sans frontières a évoqué un "exode massif" d'environ 130.000 personnes de la ville de Sfira, dans la province d'Alep, après plus de deux semaines de combats et de bombardements ayant fait, selon l'ONG, 76 morts et 450 blessés en cinq jours. La patronne des opérations humanitaires de l'ONU, Valérie Amos, a demandé vendredi au Conseil de sécurité de faire pression sur toutes les parties pour que l'aide humanitaire puisse atteindre les personnes dans le besoin, soulignant que depuis plus d'un an, l'ONU n'avait pas pu accéder à 2,5 millions de civils prisonniers dans les zones de combats.

Selon une étude commandée par l'ONU et publiée vendredi, plus de la moitié de la population syrienne vit sous le seuil de pauvreté en raison de l'effondrement de l'économie depuis le début des violences.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Famine et catastrophe humanitaire. Après les appels internationaux la semaine dernière en faveur des civils bloqués à Mouadamiyat al-Cham, ville rebelle assiégée, des militants ont lancé vendredi un cri d'alarme pour ceux des quartiers rebelles du centre de Homs, assiégés depuis plus de 500 jours. «Environ 3.000 civils, dont 500 sont âgés de plus de 70 ans, ne se nourrissent que des faibles stocks qui restent dans les quartiers assiégés de Homs», les derniers tunnels d'approvisionnement ayant été détruits il y a plusieurs semaines, a expliqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. «Il ne reste à manger que du boulgour. On mange la même chose tous les jours. Les gens sont faibles», a déclaré Yazan, un militant sur place interrogé par l'AFP via internet.

Plus au nord, Médecins sans frontières a évoqué un "exode massif" d'environ 130.000 personnes de la ville de Sfira, dans la province d'Alep, après plus de deux semaines de combats et de bombardements ayant fait, selon l'ONG, 76 morts et 450 blessés en cinq jours. La patronne des opérations humanitaires de l'ONU, Valérie Amos, a demandé vendredi au Conseil de sécurité de faire pression sur toutes les parties pour que l'aide humanitaire puisse atteindre les personnes dans le besoin, soulignant que depuis plus d'un an, l'ONU n'avait pas pu accéder à 2,5 millions de civils prisonniers dans les zones de combats.

Selon une étude commandée par l'ONU et publiée vendredi, plus de la moitié de la population syrienne vit sous le seuil de pauvreté en raison de l'effondrement de l'économie depuis le début des violences.

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Re bigdaddy,
Sert à rien de multiplier les topiques. Mieux vaut centraliser l'information :)

P..... j'ai les boules quand je vois ce genre d'image...............:fou:

Ton autre lien:
http://www.bladi.info/threads/syrie-sniper-regime-femme-entrain-collecter.371390/#post-12464595
 
Al-Qaïda est-elle en train de débarrasser Bachar el-Assad des rebelles syriens sans le vouloir ?

Le groupe djihadiste Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), à l'origine de la prise de Fallouja, s'est illustré ces derniers temps en Syrie aux côtés des rebelles. Cependant, non seulement les deux alliés sont entrés dans une guerre fratricide qui pourrait profiter à Bachar el-Assad, mais ils seraient également téléguidés depuis d’Arabie Saoudite qui entend brouiller l’arc chiite de la région et s’imposer comme LA puissance avec qui il faut compter.

L’EIIL a des ambitions plus larges que celle de Jabhat al-Nosra. En effet, le leader d'EIIL entend établir un califat englobant l'Irak, la Syrie et le Liban alors que les rebelles syriens cherchent à faire chuter Bachar el-Assad et à prendre en main leur pays. Alors au fond, cette guerre fratricide n'est-elle pas une guerre pour l'hégémonie islamiste en Syrie ?
 
Vidéo : la découverte d'un charnier réalisée par l'organisation , " l'état " à Alep



Alep Nouvelles -
Réseau de correspondants Alep Nouvelles de la découverte des éléments de l'armée libre d'un charnier dans le siège de l'organisation , « l'état de l'Islam en Irak et dans le Levant " près du rond point " Bureij " au nord de la ville d'Alep après que l'armée libre la libérer et chasser l'organisation takfiriste , « l'état de l'Islam en Irak et dans le Levant " .

Le cimetière est prévu qu'ils contiennent environ 50 personnes menottés selon le rapport établi par le correspondant de la chaîne .

Selon les témoignages des habitants vivant à proximité du site de la tombe d'Alep trois voitures de la dite Etat islamique ont pris d'assaut le siège de près d'un mois , et par la suite on'a entendus des coups de feu pendant environ deux minutes .

Après que l'armée libre a libérer la région hier , le cimetière a été découvert , et les éléments de la brigade tente de creuser le cimetière pour confirmer le nombre de corps en arrière et trouver à qui ces sont ces corps
 
alqaida et autres islamistes prouvent a chaque fois qu'il sont a la solde des dictateurs , et utilisent l'islam pour masquer leurs traitrise
attaque d'un hopital en yemen et execution froide des patients et du personel de l'hopital
 

mam80

la rose et le réséda
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EXPLICATIONS EN FRANCAIS : SYRIE DESTABILISATION crimes des terroristes


................................AMES SENSIBLES S' ABSTENIR...............................





info ou intox

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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La coalition antijihadiste appuie l'Irak, réclame une transition en Syrie

La coalition internationale, dont la stratégie contre le groupe Etat islamique (EI) a été qualifiée d' »échec » par Bagdad, a apporté mardi son soutien au plan irakien pour reconquérir les territoires perdus, tout en appelant à des réformes politiques en Irak.

Mais la lutte contre l’EI passe aussi par une transition politique en Syrie, a reconnu la coalition, qui a officiellement entériné « l’incapacité » du régime de Bachar al-Assad à lutter contre les jihadistes et appelé à entamer un processus de négociations sous l’égide des Nations unies.

Les représentants de 24 pays et d’organisations internationales étaient réunis mardi au ministère des Affaires étrangères dans la capitale française pour faire le point sur la lutte contre le groupe Etat islamique qui contrôle de vastes pans des territoires de l’Irak et de la Syrie et continue d’avancer malgré les quelque 4.000 raids aériens effectués en dix mois par la coalition.

Avant le début de la réunion, qu’il coprésidait avec ses pairs français et américain, le Premier ministre irakien Haider al-Abadi s’est lancé dans une charge contre la coalition, dont la stratégie est selon lui un « échec ».
Récemment critique par Washington pour sa gestion de la guerre contre l’EI, il a rétorqué qu’il s’agissait d’un « problème international », citant notamment l’augmentation du nombre des combattants étrangers dans les rangs jihadistes en Irak (ils représentent désormais 60% du total selon lui).

– Plan de reconquête d’Al-Anbar –

Mais le Premier ministre irakien était lui aussi attendu au tournant par ses alliés de la coalition pour présenter un plan alliant reconquête militaire de la province occidentale d’Al-Anbar, dont la capitale Ramadi est tombée le 17 mai aux mains des jihadistes, et réformes politiques, pour mieux intégrer la communauté sunnite.

Dans sa déclaration finale, la coalition a apporté son soutien à ce projet, qualifié de « bon plan militairement et politiquement » par le secrétaire d’Etat américain adjoint Antony Blinken, représentant Washington en l’absence de John Kerry, qui, le col du fémur cassé, a participé au téléphone à la réunion de Paris.

Le plan présenté par le Premier ministre irakien prévoit notamment
d' »accélérer le soutien aux combattants tribaux de la province d’Al-Anbar afin qu’ils luttent contre Daech (l’EI) aux côtés des forces irakiennes »
et de « garantir que toutes les forces qui participent à la libération de la province opèrent sous le commandement et le contrôle du Premier ministre et de la chaîne de commandement irakienne ».

Washington et ses alliés arabes sunnites de la coalition craignent en effet les exactions des milices chiites irakiennes, soutenues par Téhéran, et souvent fer de lance de la lutte contre le groupe Etat islamique sur le terrain.

La stratégie militaire de reconquête est toutefois « indissociable de la mise en oeuvre de la politique de réconciliation en Irak », a rappelé le chef de la diplomatie française Laurent Fabius au cours d’une conférence de presse, et la coalition a réaffirmé « l’importance cruciale » de la mise en oeuvre de réformes prévoyant une meilleure intégration de la communauté sunnite marginalisée.

– Lutter contre ‘la course au chaos’ en Syrie –

La stabilisation de l’Irak dépend aussi en grande partie de la situation en Syrie, où les jihadistes de l’Etat islamique, qui ont prospéré en profitant de la guerre civile qui ensanglante ce pays depuis plus de quatre ans, contrôlent désormais la moitié du territoire, selon des sources syriennes.

« Les jihadistes n’ont pas de frontières et la course au chaos qui se joue en Syrie a un impact direct sur l’efficacité de l’action en Irak », a lancé M. Fabius.

La France ne participe pas aux frappes aériennes sur la Syrie, de peur de renforcer le régime de Bachar al-Assad, que Paris considère comme le principal responsable des 220.000 morts depuis mars 2011.

Prenant pour la première fois officiellement acte de « l’incapacité et (de) l’absence de volonté du régime d’Assad de lutter contre Daech », la coalition a appelé au « prompt lancement d’un véritable processus politique inclusif, sous l’auspice des Nations unies, en vue de mettre en oeuvre les principes du communiqué de Genève ».

Cet accord conclu en Suisse en juin 2012, le seul jamais agréé par la communauté internationale, prévoit la mise en place par consentement mutuel d’un gouvernement transitoire doté des pleins pouvoirs exécutifs, mais il n’a jamais été appliqué car il ne se prononçait pas sur le sort du président Assad.

Que ce soit en Syrie ou en Irak, la coalition a souligné « l’urgence de poursuivre et d’intensifier l’effort collectif pour vaincre Daech, qui constitue une menace pour l’ensemble de la communauté internationale », selon le communiqué final.

Le texte évoque « une stratégie commune, multidimensionnelle et de long terme afin d’affaiblir et, à terme, d’éradiquer Daech ».

Jusqu’à présent, la coalition effectue des raids aériens et tente de former des soldats irakiens ou des rebelles modérés syriens pour l’action au sol.

Mais ces raids ont peu de prise sur les « camions bombes » utilisés par l’EI et les efforts de formation n’ont pas empêché la récente débâcle de l’armée irakienne à Ramadi.

Les frappes « ne suffisent pas », a déclaré lundi le chef du Parlement irakien Salim al-Joubouri, tandis que l’Irak connaissait une des attaques les plus meurtrières de l’année (37 morts).
Elle a été revendiquée mardi par l’EI qui a indiqué qu’elle avait été réalisée par trois kamikazes, un Somalien, un Tadjike et un Syrien.

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Syrie. Daesh suspend à un poteau deux enfants n'ayant pas observé le jeûne

Le groupe extrémiste Etat islamique (EI) a suspendu lundi à un poteau deux garçons pour ne pas avoir observé le ramadan, mois de jeûne musulman, dans l'est de la Syrie..

« Des habitants de la ville de Mayadeen, dans la province de Deir Ezzor, ont rapporté à l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) que l'EI a fait suspendre à un poteau deux garçons âgés de moins de 18 ans près du siège de la Hissba », la police jihadiste, a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.

« Les enfants sont suspendus par des cordes sur un poteau depuis midi et l'étaient encore en fin de soirée », indique-t-il. « Apparemment, on les a surpris en train de manger ».

Une pancarte a été accrochée sur leur corps et où l'on pouvait lire « rupture de jeûne sans justification religieuse ».
L'EI, qui contrôle de larges territoires en Syrie et en Irak voisin, prône une vision extrême de l'application de la charia (loi islamique).

Il n'hésite pas à punir ses ennemis ou ceux qui lui désobéissent par des décapitations, des lapidations, des flagellations et des simulations de crucifixions.

http://www.ouest-france.fr/daesh-su...032062049050018041033055040046060041125050052

mam
 
Je n'approuve pas les méthodes de daesh, mais le choix des mots de cet articles me laisse pantois:


(deux garçons âgés de moins de 18 ans)
(Les enfants sont suspendus)

Dans d'autres conflits des jeunes hommes d'à peine 18 ans sont décrits comme de dangereux "hommes"
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Je n'approuve pas les méthodes de daesh, mais le choix des mots de cet articles me laisse pantois:


(deux garçons âgés de moins de 18 ans)
(Les enfants sont suspendus)

Dans d'autres conflits des jeunes hommes d'à peine 18 ans sont décrits comme de dangereux "hommes"

:indigne:

je suis écœurée aussi
les termes
suspendus , depuis midi , le soir ils étaient encore là, une pancarte, les corps,......

on veut nous dire quoi ?

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Syrie: Kobané frappée par trois attentats suicide de l'EI (ONG)



Le groupe Etat islamique (EI) a mené jeudi trois attentats suicide à Kobané, à quelques heures d’intervalle, après l’entrée des jihadistes dans cette ville kurde syrienne à la frontière avec la Turquie, rapporte l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Un premier attentat a été perpétré près de poste-frontière turc de Mursitpinar vers 05H00 (02H00 GMT), tandis que les deux autres ont frappé la même zone, située dans le nord de Kobané, entre midi et 13H00 locales.

Les trois attentats ont été perpétrés par des kamikazes conduisant des voitures piégées, selon l’Observatoire, qui n’était pas en mesure de fournir un bilan de victimes.

Les combats faisaient rage en début d’après-midi dans le centre de Kobané entre les jihadistes et les forces kurdes, qui ont dépêché des renforts, après l’attaque surprise de l’EI à l’aube contre cette ville dont il avait été chassé en janvier.

Kobané était alors devenu une ville symbolique de la lutte contre l’organisation extrémiste, qui contrôle de larges territoires en Syrie et en Irak voisin.

Au moins 20 personnes ont été tuées dans les violences de jeudi –huit jihadistes et 12 civils et combattants kurdes–, selon l’OSDH.

Les combattants de l’EI se sont infiltrés par la ruse à Kobané, en « portant l’uniforme des Unités de protection du peuple kurde (YPG) », la principale milice kurde armée en Syrie, a indiqué l’ONG.

Selon le militant kurde Arin Shekhmos, « l’EI est entré à partir de la Turquie à travers le poste-frontière et ses environs, en portant des uniformes de YPG ». « C’était tôt le matin, personne ne les a vus », a-t-il dit, en critiquant l’attitude de la Turquie.

Ankara a démenti que les jihadistes soient passés par son territoire.

D’après le militant, « cette attaque est une vengeance de la part de l’EI après ses revers sur plusieurs fronts face aux forces kurdes et leurs alliés rebelles ».

Il faisait référence aux défaites subies par l’EI depuis plus d’une semaine dans le nord de la Syrie face aux YPG, qui lui ont arraché Tall Abyad, ville frontalière de la Turquie, et la Brigade 93, base importante à 56 km au nord de Raqa, principal fief des jihadistes en Syrie

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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5 juillet

la coalition a mené des raids sans précédent sur Raqqa, le fief de l'EI


Dans la nuit de samedi à dimanche, la coaltion a lancé des raids aériens sur Raqqa pour empêcher le groupe Etat islamique de déplacer du matériel militaire en Irak.

Cette opération aurait fait 30 morts dont six civils, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.

La coalition dirigée par les Etats-Unis a lancé des raids aériens sans précédent samedi soir et dimanche matin sur Raqqa, la capitale de facto du groupe Etat islamique en Syrie, endommageant des infrastructures utilisées par les djihadistes.

L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a indiqué qu'à Raqqa, au moins 30 personnes avaient péri dans les bombardements menés par les avions de la coalition anti-djihadiste. Six civils dont un enfant, figurent parmi les morts et les autres victimes sont des combattants de l'EI, a souligné l'OSDH, basé en Grande-Bretagne.

L'opération aérienne la plus importante menée dans le pays

"Les importantes frappes aériennes (...) ont été effectuées pour priver Daesh de la capacité de déplacer des matériels militaires à travers la Syrie et en direction de l'Irak", a expliqué le porte-parole de la coalition, le lieutenant-colonel Thomas Gilleran.

Il s'agit de "l'un des plus importants engagements que nous ayons menés jusqu'à présent en Syrie", a précisé le porte-parole, en indiquant que des bâtiments de l'EI et des routes avaient été détruits dans Raqqa.

Les frappes "ont sévèrement réduit la liberté de mouvement des terroristes", a insisté le lieutenant-colonel Gilleran.

Exécution de masse à Palmyre
Les raids sont survenus après la diffusion samedi par l'EI d'une vidéo montrant 25 soldats du régime syrien exécutés dans l'amphithéâtre de la cité antique de Palmyre par des adolescents.

Cette exécution se serait déroulée peu après la prise le 21 mai par les djihadistes de Palmyre, qui abrite des ruines antiques mondialement connues et classées par l'Unesco au patrimoine mondial de l'Humanité.

l'express

mam
 
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