Alexandre Adler : le peuple juif, le sionisme et l'Iran

Un type peu crédible, il a travaillé pour les plus grands journaux nationaux et des radios où il a dissiminé sa propagande sioniste pendant des années, ce type s'est autoproclamé spécialiste de la politique internationale, parfois contradictoire avec son pays de coeur Israel. Il ne voulait pas (il a changé d'avis-sans doute lui a-t-on demandé) d'intervention en Iran et souhaite que Al Assad reste au pouvoir en Syrie car il estime que les islamo-sunnites sont bien plus dangereux que les chiites. Enfin là dessus aussi il a du changer d'avis...
Il affirme également qu'un pays où il y a un parti unique et pas d'élections libres n'est pas forcément une dictature comme en Chine, pas contre le Vénézuela et tous les ennemis déclarés de l'occident en sont. Sur le bipartisme aux Etats unis rien à dire ?
Cette subjectivité qu'il défend de manière si pauvre en voici quelques exemples :


le Programme nucléaire iranien est un danger extrêmement aigu qui me*nace sérieusement l’État d’Israël et la stabilité géopolitique du Moyen-Orient. Et, pour des raisons com*plexes, qui s’apparentent à un engrenage implacable, le peuple d’Israël ne s’est pas réconcilié avec ses voisins arabes. Au contraire, la condamnation à mort prononcée par les peuples arabes contre l’État d’Israël en 1947 non seulement n’a pas été levée mais elle s’est amplifiée. Aujourd’hui, le nombre de pays ou de mouvements arabes qui veulent reconnaître Israël est de moins en moins important. Ce sont des abîmes terribles.
On ne doit pas prendre à la légère ces menaces re*dou**tables. À ces grands dangers *s’ajoute aussi le fait que cette vie apparemment brillante des Juifs en Diaspora s’accompagne -ça je n’aime pas le dire parce que je trouve que ça fait déploration- d’une certaine assimilation, d’un affaiblissement de l’Iden*ti*té juive qui contraste avec l’ébriété nationaliste et religieuse qui prévaut aujourd’hui en Israël. Tout ça n’est pas bon signe. Comme vous le savez, dans la Tradition juive, le Nabi, le Prophète, est celui qui voit dans le désert une tempête de sable qui va se constituer prochainement que les autres n’ont pas encore vue venir. La capacité prophétique qui est dans les gènes du peuple juif conduit certainement celui-ci à une inquiétude supérieure à la normale et à la moyenne.
Désormais, l’antisémitisme parvient à s’exprimer de manière beaucoup plus décontractée. Il est nourri par l’antisémitisme du Moyen-Orient, arabe en particulier, qui n’a absolument pas désarmé. La combinaison de l’antisémitisme traditionnel et de l’antisémitisme attisé par les détracteurs de l’État d’Israël est redoutable.

Israel dépose chaque année presque autant de Brevets que les trois plus grandes économies de la planète, les États-Unis, le Japon et l’Allemagne.
On ne cesse de claironner que la population juive continue de diminuer en pourcentage par rapport à la population mondiale. C’est sans doute vrai. Mais, par contre, la proportion de Prix Nobel et de Médailles Fields -la plus prestigieuse récompense décernée dans le domaine des Mathématiques- ne cesse de croître. Encore cette année, les Juifs ont décroché cinq Prix Nobel -1 en Chimie, 2 en Physique, 2 en Médecine. Ce n’est pas un phé*no*mène ponctuel ni exception*nel. Cette excellence dans le domaine du savoir nous rappelle le rôle majeur que le peuple juif et Israël sont en train de jouer dans l’Économie du XXIe siècle, celle du savoir et de la liberté.
 
Et oui les juifs nous resterons toujours supérieurs parce qu'ils sont juifs...

Comme tous les sionistes médiatique il aime duper le monde, du genre de BHL, Finkelkraut, Levy etc. aiment à faire semblant d'être en opposition, mais finalement ils disent tous les même chose, défendre Israel à tout prix.

Le Adler défend Israel et le néolibéralisme, ex membre du PC, ainsi sa propagande contre le Venézuela et Cuba, alors que Cuba était victime d'attentats terroristes de la part des Etats-Unis avec la complicité de la mafia, le Adler affirmait que c'était une manipulation castriste. Adler hait les socialistes et surtout les non alignés.
Lorsque Christina krichner annonça que l'Argentine allait nationaliser son pétrole, le Adler souhaitait que l'UE soutienne la société espagnole Repsol qui a été expropriée même sanctionner les pays qui nationalisent leur petrole.

Le gouvernement de Buenos Aires reproche aux anciens propriétaires d’YPF d’avoir distribué à ses actionnaires 90 % des profits réalisés par l’entreprise. Faute d’investissements, la production nationale de pétrole a baissé de 20 % depuis 2004, et les importations énergétiques ont été multipliées par vingt. Une situation d’autant plus fâcheuse que l’Argentine, instruite par une expérience douloureuse, ne veut plus dépendre de créanciers étrangers (et encore moins du Fonds monétaire international) pour équilibrer ses comptes.

Bien accueillie par son peuple, l’audace du gouvernement argentin lui vaut des demandes d’indemnisations extravagantes, des menaces de boycott commercial et les plus sombres prophéties. Mais Buenos Aires se souvient des oiseaux de mauvais augure. En 2001, quand l’Argentine, exsangue, cessa de rembourser sa dette puis dévalua sa monnaie, on lui prédit une crise de la balance des paiements et la faillite économique (1). Depuis, ses comptes extérieurs sont devenus excédentaires, sa production a augmenté de 90 %, le chômage et la pauvreté ont reculé (2). Plutôt que de se solidariser avec les actionnaires de la multinationale espagnole, l’Europe gagnerait à s’inspirer du volontarisme politique argentin.

Serge Halimi - Le Monde Diplomatique

Sur les palestiniens no comment, abject !
 
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