Algérie : le président bouteflika déjà dans l'incapacité à diriger le pays ...brigue un 4e mandat !

ould khadija

fédalien
Contributeur
La journée du 1er Novembre a été célébrée sans le chef de l’Etat.

Très affaibli par la maladie, Abdelaziz Bouteflika n’a pas pu assister, hier, à la cérémonie officielle commémorant le 59e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération.

Depuis son retour, le 16 juillet 2013, de Paris où il était hospitalisé pour un accident vasculaire cérébral (AVC), il est contraint à une convalescence qui s’éternise, posant avec acuité la question de sa capacité à continuer à diriger le pays.


Et c’est dans ce contexte que l’inénarrable secrétaire général du FLN, Amar Saadani a invité, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, «la famille révolutionnaire et les organisations d’enfants de chouhada et de moudjahidine à soutenir Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat présidentiel».


C’est dans une phrase furtivement insérée dans ce communiqué, à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale, que le premier responsable du FLN a appelé ses organisations satellitaires à soutenir un président malade pour briguer un quatrième mandat.

Il faut dire que depuis son intronisation à la tête de l’ex-parti unique, Amar Saadani ne rate aucune occasion pour appeler Abdelaziz Bouteflika à rempiler.

Pour beaucoup d’observateurs, ses multiples déclarations n’ont pour objectif que d’«éviter de parler de la santé de Bouteflika et de son incapacité à diriger le pays et par là même à gagner du temps», alors que la confusion règne en maître à cinq mois seulement de l’élection présidentielle.

Le débat sur la prochaine présidentielle, qui aura lieu en avril 2014, peine à s’installer, signe d’une incertitude qui plombe la vie politique nationale.

Jamais une succession n’a été aussi problématique. Les partis politiques, totalement déroutés, n’arrivent pas à imposer le débat sur la présidentielle et les candidats dits potentiels ne se déclarent pas.

Les tenants du pouvoir, eux, semblent embourbés dans la recherche d’un accord dont les termes ne sont pas visibles.


Suite et source :
http://www.elwatan.com/actualite/bo...nie-du-1er-novembre-02-11-2013-233519_109.php
 

TerneT

Noyer le poisson
L algerie n a plus le droit de parler a la communaute internationale avec le nom d un president traumatise et paralyse.
C est du mensonge et du ment
Le regime de ce pays doit presenter un representant qui dirige les affaires presidentiele dans ce pays tant que le president est malade et absent...
 
La journée du 1er Novembre a été célébrée sans le chef de l’Etat.

Très affaibli par la maladie, Abdelaziz Bouteflika n’a pas pu assister, hier, à la cérémonie officielle commémorant le 59e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération.

Depuis son retour, le 16 juillet 2013, de Paris où il était hospitalisé pour un accident vasculaire cérébral (AVC), il est contraint à une convalescence qui s’éternise, posant avec acuité la question de sa capacité à continuer à diriger le pays.


Et c’est dans ce contexte que l’inénarrable secrétaire général du FLN, Amar Saadani a invité, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, «la famille révolutionnaire et les organisations d’enfants de chouhada et de moudjahidine à soutenir Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat présidentiel».


C’est dans une phrase furtivement insérée dans ce communiqué, à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale, que le premier responsable du FLN a appelé ses organisations satellitaires à soutenir un président malade pour briguer un quatrième mandat.

Il faut dire que depuis son intronisation à la tête de l’ex-parti unique, Amar Saadani ne rate aucune occasion pour appeler Abdelaziz Bouteflika à rempiler.

Pour beaucoup d’observateurs, ses multiples déclarations n’ont pour objectif que d’«éviter de parler de la santé de Bouteflika et de son incapacité à diriger le pays et par là même à gagner du temps», alors que la confusion règne en maître à cinq mois seulement de l’élection présidentielle.

Le débat sur la prochaine présidentielle, qui aura lieu en avril 2014, peine à s’installer, signe d’une incertitude qui plombe la vie politique nationale.

Jamais une succession n’a été aussi problématique. Les partis politiques, totalement déroutés, n’arrivent pas à imposer le débat sur la présidentielle et les candidats dits potentiels ne se déclarent pas.

Les tenants du pouvoir, eux, semblent embourbés dans la recherche d’un accord dont les termes ne sont pas visibles.


Suite et source :
http://www.elwatan.com/actualite/bo...nie-du-1er-novembre-02-11-2013-233519_109.php

il pense que c'est lui highlander :D
 
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