Algérie : une militante féministe tabassée le 8 mars

fracasse

Vous êtes né un original Ne devenez pas une copie
Le régime algérien ne veut pas réveiller ses vieux démons (Islamisme et guerre civile) alors on bâillonne la liberté d'expression et on fait taire par la violence,la même qu'il ont combattu ?
La fameuse "réconciliation nationale" certaines comme cette dame ne l'on toujours pas digéré a raison ...
 
Le régime algérien ne veut pas réveiller ses vieux démons (Islamisme et guerre civile) alors on bâillonne la liberté d'expression et on fait taire par la violence,la même qu'il ont combattu ?
La fameuse "réconciliation nationale" certaines comme cette dame ne l'on toujours pas digéré a raison ...

Un algérien tabassé et volé au consulat général d’Algérie à paris
http://www.bladi.info/threads/algerien-tabasse-vole-consulat-general.386072/
 
Le régime algérien ne veut pas réveiller ses vieux démons (Islamisme et guerre civile) alors ...

Discussion complémentaire sur le même thème :

Article du Journal Algérien El Watan du 11 Mars 2015 : Les libertés publiques sous forte pression (L'Etat algérien vire vers un état policier) : ci dessous, copier coller de l'article

lien vers la source : Source : http://www.elwatan.com/actualite/le...-policier-en-marche-11-03-2015-289512_109.php
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Lentement mais inexorablement, l’Algérie vire vers un Etat policier, où toute voix discordante est étouffée par le gaz ou par la matraque. Le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN) et par ailleurs général-major retraité de la gendarmerie, qui a promis la «gestion démocratique des foules», comptabilise la première victime à In Salah.

Le malheureux Moulay Nakhou a succombé à l’inhalation forcée du gaz lacrymogène alors qu’il se trouvait chez lui quand les CNS ont réprimé, lundi, les manifestants antigaz de schiste. Agé de 33 ans, ce citoyen handicapé a dû ainsi payer de sa vie l’entêtement du pouvoir à exploiter le gaz de schiste.

C’est un premier dérapage à In Salah. Pas ailleurs. Aux quatre coins de cette Algérie prise à la gorge, le pouvoir, avec ses bras armés et sa justice aux ordres, entreprend une opération méthodique consistant à mettre les libertés publiques à genoux. A Laghouat, la justice de Bouteflika a abattu, mercredi dernier, sa main lourde sur huit militants pour la défense des droits humains et des chômeurs.

Dans un simulacre de procès à huis clos, ces jeunes militants ont eu droit à des verdicts sans pitié, de six mois de prison ferme et six mois avec sursis. Lundi, c’est le tribunal d’El Oued qui s’est distingué dans ce triste hit parade de la répression en condamnant le président du comité de défense des droits des chômeurs, Rachid Aouine, à six mois de prison ferme.

In Salah, un gaz, une victime

Son péché ? Avoir publié un commentaire sur facebook exhortant les policiers à réclamer leurs droits au lieu de réprimer les manifestants. Il n’en fallait pas plus pour brandir l’article 100 du code pénal et l’accuser d’«incitation à attroupement». Rachid Aouine est ainsi envoyé en taule, au grand dam de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), pour qui ce verdict souligne à grands traits «la vague de pression sans précédent que subissent les défenseurs des droits de l’homme depuis plusieurs mois».
 
Suite et Fin de l'article :
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C’est l’état d’esprit d’un régime finissant qui tente, par des soubresauts, de se remettre à flot en usant de méthodes et de moyens des moins recommandables. L’attitude du président Bouteflika, qui glose à chaque discours écrit sur les vertus de la démocratie et la nécessité de construire un «front intérieur», paraît au mieux déplacée, au pire cynique.

Dans un pays qui se prétend libre et démocratique, un journaliste talentueux vient de se voir retirer son accréditation par le ministère de tutelle. Les écrits décapants de notre confrère et ami Boualem Ghomrassa, alias Hamid Yas, ne trouvent pas grâce aux yeux du ministre, dont le seul ordre de mission est de gérer la rente publicitaire et, si possible, punir les journaux qui ne le caressent pas dans le sens du poil.
Le régime et ses relais administratifs et sécuritaires ont manifestement une feuille de route à suivre dans ce qui semble une entreprise de soumission de la société.


Front intérieur ? Vraiment ?

Pris de panique par la perspective biologique de passer la main, tôt au tard, il recourt au bâton contre ceux qui veulent hâter, même pacifiquement, son départ. L’interdiction systématique des marches de la CLTD, voire de ses réunions thématiques dans des salles fermées, est un indice qui ne trompe pas sur la peur panique qui s’est emparé du sérail. Et en appoint, le pouvoir ressort sa rhétorique incolore et inodore sur la «stabilité du pays» et les «menaces étrangères» pour faire passer la pilule de la prétendue manipulation.

Bensalah, Saadani, Ghoul et Sidi Saïd sont invités à réciter à pleins décibels ce disque rayé qui ne trompe plus personne de Tlemcen à Tébessa et de Tizi Ouzou à Tamanrasset. Ce quarteron et d’autres serviteurs du régime clientélisés et payés pour faire ce sale boulot se trompent de société.

Les Algériens acceptent de moins en moins que leurs libertés soient placées sous état de siège au nom d’une conception autoritaire de l’Etat. Les manifestants d’In Salah, les animateurs de la CLTD, les chômeurs de Laghouat, les journalistes Abdelhai Abdessamia et Hamid Ghomrassa, Karim Tabbou de l’UDS veulent juste que la force revienne au droit et s’opposent au droit de la force.

L’Algérie de Bouteflika, qui accueille aujourd’hui un conclave des ministres arabes de l’Intérieur, sera certainement fière de partager son «expérience» en matière de répression des libertés. Ces hôtes arabes, eux, ne se sentiront pas dépaysés…Hassan Moali
 
Le régime algérien ne veut pas réveiller ses vieux démons (Islamisme et guerre civile) alors on bâillonne la liberté d'expression et on fait taire par la violence,la même qu'il ont combattu ?

Le régime algérien,n'a jamais combattu la violence. C'est lui qui ont été à l'origine de la violence et en plus il l'a perpétré.
Preuve apporté par des expert algériens et suisses à travers une étude très sérieuse qui a durée plus de 5 ans sur les massacres en Algérie des années noirs 90 et présenté dans l'émission Bila 7oudoud d'Al Jazeera :

http://www.hoggar.org/index.php?option=com_phocagallery&view=category&id=7:institut-hoggar&Itemid=15

Compléments :


https://www.bakchich.info/internati...eux-sales-guerres-le-temps-des-affaires-49898
 
Le régime algérien,n'a jamais combattu la violence. C'est lui qui ont été à l'origine de la violence et en plus il l'a perpétré.
Preuve apporté par des expert algériens et suisses à travers une étude très sérieuse qui a durée plus de 5 ans sur les massacres en Algérie des années noirs 90 et présenté dans l'émission Bila 7oudoud d'Al Jazeera :

http://www.hoggar.org/index.php?option=com_phocagallery&view=category&id=7:institut-hoggar&Itemid=15

Compléments :


https://www.bakchich.info/internati...eux-sales-guerres-le-temps-des-affaires-49898

C'est pour ça que les dirigeants algériens ne sont pas crédibles dans les médiations ( Mali, Libye) ou comme donneurs de leçons en Afrique ou dans le Maghreb
 
Le régime algérien ne veut pas réveiller ses vieux démons (Islamisme et guerre civile) alors on bâillonne la liberté d'expression et on fait taire par la violence,la même qu'il ont combattu ?
La fameuse "réconciliation nationale" certaines comme cette dame ne l'on toujours pas digéré a raison ...

Cherifa Kheddar revient sur les humiliations policières : Ci dessous le copier coller de l'article du 10 Mars 2015 du journal algérien le matin dz.

Nous donnons ici la parole à Cherifa Kheddar, SG et figure de proue de l'association Djazairouna. La militante témoigne sur cette journée du 8 mars.

"Dès qu'on est arrivé à la Grande Poste et déployé les banderoles, les policiers nous les ont arrachées des mains. Je me suis battue pour garder les banderoles. Le commandant de la police m'a frappé, j’ai failli tomber par terre, ensuite il a ordonné à ses hommes de m'empêcher par la force de garder les banderoles. Eux, ils hésitaient, il est revenu et m'a donné un coup de poing qui m'a envoyé par terre, mais les banderoles dans lesquelles je me suis roulée m'ont protégées. il a encore une fois hurlé sur ses hommes qui cette fois, ont compris qu'ils pouvaient user de la force pour me malmener, ils m'ont trainé jusqu'au véhicule, et dans ma tentative de m'enfuir, il m'ont rattrapée et mise de force à l'intérieur du véhicule.

Ensuite une fois arrivée au commissariat, ils m'ont brutalisée encore, (en m’attrapant par la gorge, par le cou, et l’un d’entre eux a failli m’arracher le bras, et traînée jusqu’à l’intérieur presque à quatre pattes). J'ai été insultée et gardée pendant des heures, sans manger. Mais j’ai eu droit à de l’eau. Le commandant m'avait dit que les manifs je dois les faire chez moi à Blida, et un autre officier, m'a conseillé de faire des tee shirt et les porter de temps en temps pour faire passer mon message au profit de la mémoire en évitant d’énerver les autorités et les islamistes.

De temps en temps un policier venait me brutaliser verbalement pour m’apprendre comment, je dois me comporter dans un commissariat, et en présence de policiers. On m’a conseillé aussi de ne plus dire terroriste islamiste. J’ai dis à un officier que je voulais déposer plainte contre le commandant pour les coups qu’il m’a donnés, il m’a répondu que c’était son chef. A la tombée de la nuit ils m'ont emmenés à l'hôpital ensuite relâchée.

Maintenant j'ai des hématomes, c'est surtout la grippe qui prend le dessus, parce que j'ai passé des heures dans les courants d'air du commissariat, Dernier point ils ont confisqué les pièces d'identité de deux membres et ne les ont pas restituées, à ce jour, ils ont donné des déclarations de perte à la place."...L.M.

Source : Cherifa Kheddar revient sur les humiliations policières | Algérie qui résiste
 
Sous couvert de "sécurité nationale" ,toutes les polices du monde usent de la violence et de la torture impunément,les États-Unis les premiers

Mais de là à massacrer des villages entiers. Selon ces mêmes expert que t'as du voir dans la vidéo ci-dessus, la sécurité algérienne ainsi que le FLN et le DRS sont responsable au moins de 80% des 200 000 morts en Algérie pendant les années noires.
 
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