Appel à volontaires pour tester un vaccin contre la bronchiolite

Quand je disais que les médicaments c'est pareil... je ne parlais pas des effets secondaires qu'ils peuvent donner et qui sont notés danq la notice, je songeais u scandale du médiator par exemple, qui a tué des centaines de personnes , et lzs vivants qui ont développé des problèmes cardiaques
Plus vieux je me souviens du distilbene
Et yen a plein d'autres je crois (impossible de me souvenir de certains noms ou des drames qu'ils ont causé)

C'est malheureux mais on ne doit pas faire confiance ni à l'industrie pharmaceutique ni à nos médecins et pharmaciens (personnellement j'ai une vraie méfiance, j'en prends et j'en donne à mon fils quen cas d'extrême nécessité)

Tu as entièrement raison, les médocs ne sont pas anodins et beaucoup trop prescrit.
Moi aussi je les évite au maximum ..dommage comme tu dis qu 'on doivent se méfier du corps médical mais
difficile de faire autrement quand on sait que la santé est devenue un commerce comme un autre...

Après tout n 'est pas a jeter non plus, la chirurgie par expl a fait d 'énormes progrès et pareil en matière de diagnostic..

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etre2en1

intersex people are cool
VIB

...
j'en reste baba

mam
A situation désespérée, mesure désespérée.

J'avais tenté des tas de méthodes expérimentales plus ou moins loufoques et même dangereuses pour me débarrasser de mes allergies, parcouru plusieurs pays à la recherche de " la solution ", quand on ne peux rien manger, toucher, respirer sans faire une grosse réaction, que à l'approche de l'adolescence tu connais mieux les hôpitaux et leurs salles de " réa " que les aires de jeux, tu es prêt à tenter n'importe quoi et même à payer des frais pour participer à un protocole de test.
Des injections de Cortisone hebdomadaires pendant 2 ans dans un dispensaire qui pratiquait des test, ça a marché et depuis je suis très sensible à la Cortisone en cas d'allergie, une toute petite quantité me suffit.
Malheureusement, en réalité il n'avait pas reçu d'autorisation légale, il a été poursuivi en justice par l'état, mais pour moi c'est mon héros, avant ça mes allergies étaient un cauchemar.
 
Le centre d’investigation clinique Cochin-Pasteur recherche des volontaires pour tester un vaccin contre le virus responsable de cette affection respiratoire, qui touche chaque année 30% des moins de 2 ans. Un rhume banal, qui dégénère chez votre bébé en une toux digne d’un fumeur de longue date. Une respiration sifflante et cette toux qui s’éternise... La bronchiolite est une affection d’origine virale, qui touche particulièrement l’enfant de moins de 2 ans. Bénigne dans la plupart des cas, elle inquiète pourtant les parents et peut dans de rares cas mener à l’hospitalisation. Chaque année en France, 30% des bébés sont touchés (480.000 cas par an, selon l’Institut de veille sanitaire). Le centre d’investigation clinique spécialisé en vaccinologie Cochin-Pasteur publie un appel à volontaires afin de tester un vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS), principal responsable de cette maladie. L’idée, si le vaccin est validé, est de le proposer aux femmes enceintes. Une fois le vaccin inoculé, la mère développerait des anticorps contre le VRS, lesquels seraient transmis au nourrisson et le protégeraient de la maladie pendant ses premiers mois. «Cette technique est déjà utilisée pour la grippe et la coqueluche», affirme le Pr Odile Launay, infectiologue à l’hôpital Cochin et chef du centre d’investigation clinique. Une question de dosage L’essai en cours vise à déterminer la dose à utiliser afin que le vaccin soit efficace, en fonction du nombre d’anticorps produits par les volontaires. Une étude de phase trois pourra ensuite être envisagée sur une population plus large, chez des femmes enceintes cette fois, avec le dosage s’étant avéré le plus efficace. Pour le moment, le centre d’investigation clinique Cochin-Pasteur recherche des femmes qui ne sont pas enceintes, utilisant un moyen de contraception efficace, et âgées de 18 à 45 ans. «L’essai ne comporte pas de danger particulier dans le sens où le protocole et la technologie vaccinale sont utilisés partout. En outre, nous en sommes à la phase 2, ce qui signifie que le vaccin a déjà été utilisé sur un nombre limité de personnes sans qu’il y ait eu de complication», précise Odile Launay. À ce jour, «une trentaine de femmes, sur les 50 attendues, ont répondu présent à l’appel».
L’appel à candidatures est ouvert jusqu’à janvier 2017. (Si vous souhaitez participer, contactez le CIC de vaccinologie de Cochin-Pasteur au 01 58 41 28 60 ou envoyez un mail à francoise.delisle@aphp.fr.)

mam
je peux pas participer
 
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